Dorreh n’avait pas vraiment envie d’être ici, au milieu de la foule. Pas après ce qu’il s’était passé la dernière fois. Pas après ce qu’il avait appris, pas après son sevrage forcé d’Ilya. Mais il avait proposer d’accompagner Yulian parce qu’il savait combien il en avait besoin. Son ami avait tellement perdu à cause des règles injustes instaurées par le tsar. Il avait été battu, marqué et forcé de quitter son appartement parce qu’il était tout simplement incapable d’y rester. Le conservateur n’avait même pas eu à réfléchir quand il lui avait offert son canapé. C’était bien la moindre des choses qu’il pouvait faire pour son ami n’est-ce pas ? Et puis, ça lui faisait de la compagnie ce qui n’était pas pour lui déplaire. Surtout avec sa décision de couper définitivement les ponts avec Ilya. Ce dernier allait se marier et être père et la dernière chose que Dorreh voulait, c’était de détruire une famille. Une décision qui le tuait mais il refusait d’être la cause de la détresse d’un enfant.
Alors peut être qu’au final, venir ici n’était pas une si mauvaise idée. Il avait lui aussi besoin de se changer les idées et une pièce de théâtre serait parfaite pour ça. Il avait enfilé un veston et une fine cravate sur une chemise blanche et des bretelles, une tenue simple et élégante même s’il avait toujours ses éternelles Chuck Taylor aux pieds. Dorreh avait aussi prit le soin de porter ses prothèses auditives. Il avait eu plusieurs crises d’hyperacousie ces derniers temps et il ne voulait pas en avoir une en pleine représentation. Il repoussa une mèche de ses cheveux fraîchement coupés en haussant les épaules.
-On fait comme si on ne les voyait pas okay ? On est là pour se vider la tête, pour aller mieux alors, on se concentre sur nous.
Sa voix était beaucoup plus assurée qu’il ne l’était vraiment mais il refusait de se l’avouer. Laissant son regard se promener sur l’assistance, il a perçut bien vite deux têtes bouclés un peu plus loin, dont une terriblement familière. Les yeux de Bambi plongèrent dans les noisettes de l’homme de sa vie pendant un court instant qui sembla prendre une éternité. Puis il détourna la tête et offrit un sourire à son ami avant de lui saisir la main.
-Je crois que je viens de les voir. Allons plutôt par là.
Et il entraîna Yulian dans la direction opposée, espérant échapper au regard qu’il sentait sur lui.
Spoiler:
Dorreh arrive au théâtre en compagnie de @Yulian Letov son ami et colocataire pour se changer les idées. Il porte son appareil auditif à la suite de problèmes avec ses oreilles. Il croise le regard de @Ilya Karenine et se tire vite fait dans la direction opposée, obligeant Yulian à le suivre vu qu'il le tient par la main
Lun 5 Aoû - 3:03
Skadi Ohlsen
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 57
DISTRAIRE LE PEUPLE
Alors qu’Esfir mêle ses doigts aux tiens, tu te laisses bercer par la surprise, avant de t’y perdre toi aussi, en serrant plus fort. Le désarroi qui hante ton visage s’efface enfin, un peu plus, laissant place au bonheur de la voir elle, ici, avec toi. Et tu te doutes que tu ne te trouverais pas ici si ce n’était de la rousse qui te fait rêver. Alors tu essaies d’oublier, et tu lui glisses un sourire après avoir contemplé vos mains accordées. « Oh. Oui… J’ai cru voir un fantôme. C’est rien. » Tu essaies de te convaincre aussi. Alors que cette réalité brumeuse t’effraie, tu la remercies. Parce que tu te méfies de tes émotions et de tes réactions face à un passé qui revient te tourmenter. Ta concentration se pose sur le contact d’Esfir, sur ses mots, sur son rire, si rare soit-il. Si précieux. « Je… crois que c’est un miracle qu’on soit toujours sur place ? » Tu tentes de t’unir à sa rigolade ; tu sais pourtant qu’écouter tes instincts signifierait t’enfuir maintenant, tout de suite.
Des pas t’arrachent à la bulle que tu t’étais créée. La chevelure soyeuse que tu avais remarquée plus tôt s’est installée près de toi et de la rousse à tes côtés. Tu l’observes un instant, interdite, avant d’éviter son regard furtivement. Tu remarques Esfir se rapprocher de toi, et tu hasardes tes prunelles sur le brun à nouveau. Il te fixe. Tes joues se peignent de rose, trahissant l’embarras qui se saisit de toi. Cette attention offerte est si inhabituelle. Énergie étrangère, mystérieuse. Réconfortante ? Tu sembles débattre t’enfuir, trouver abri sous un siège qui pourrait voiler ta silhouette ; Tèryky t’incite à demeurer et à contempler l’inconnu en retour, d’un regard curieux, intéressé. Tes yeux se noient aussi sur sa peau, son visage. Tu oses une œillade vers ton amie, à la recherche de son accord peut-être, de sa direction. L’accent de Thomas t’éveille, et tu te consternes à lui offrir un sourire vrai, amusé, avant d’entendre les présentations. « Thom… Thomas ? » C’est la prononciation originale de ce prénom tu risques. Les souvenirs de ta Finlande natale te rappellent tes bases en anglais, mais tout ce qui s’anime dans ta voix est un accent scandinave. « Enchantée ! » Tu relèves l’air taquin d’Esfir en aventurant des regards entre les deux silhouettes à tes côtés, et c’est comme si la foule qui t’embêtait venait de disparaître momentanément.
Soudain des mains, et je me retourne pour découvrir Néhémie. Sa présence, son sourire, me mettent immédiatement à l'aise. Et pourtant, il en connaît sur moi mais Néhémie inspire une sorte de confiance que je ne saurais expliquer. Est-ce parce qu'il a toujours su faire preuve de franchise sans jugement, ou sans méchanceté ? Je ne sais pas trop. J'esquisse un sourire en coin, espérant tout de même qu'il n'aborde pas Dorreh en public...
▬ C’est sûr que ça devient difficile à cacher quand le polichinelle dans le tiroir prend la taille d’un ballon, lance-t-iel d'ailleurs en déboulant.
Je ne lui réponds pas, et soudain tel un papillon il s'envole vers Yeva qui a su trouver une place assise. Je lui adresse un regard doux, prêt à la rejoindre. Les mots qu'elle a prononcés au moment de... sceller notre accord reste dans un coin de ma tête, étrangement. Sur sa définition du couple notamment. Et je me sens prêt à affronter les responsabilités qui vont de pair avec notre contrat. Et pas que pour ça, aussi parce que je tiens à elle. Je reste prêt à être un compagnon de vie, et c'est étrange... je me sens prêt à accorder de l'attention à ce mini-croque-mort en gestation...
Tiens, parlant de croque-mort... en suivant Néhémie du regard, je lance une oeillade rapide vers l'entrée. Il est là. Ses grands yeux innocents qui percutent les miens et je me sens soudain me décomposer, pris d'une émotion sans nom, à moins que ce ne soit de la tristesse. Je ne l'ai pas revu depuis notre week-end. Je ne comprends ce que j'ai fait de mal, ni comment j'ai pu lui faire du mal, cette fois... Je me sens terriblement démuni, le souffle court et un poids énorme sur les épaules, qui m'écrase et m'écrase. Il est là, mon Autre, mon Amour, prenant la fuite dans la direction opposée... Et je ne suis toujours pas prêt à lui rendre sa liberté... Je me pince l'arrête du nez entre le pouce et l'index et inspire profondément, avant de reposer mon attention sur Claus : ▬ Il y a beaucoup de monde n'est-ce pas ? Tu... te ménages quand même ?
Spoiler:
Parenthèse parce que Néhémie, Yulian et DORREEEEEH viennent d'arriver... et qu'Ilya se fait honteusement snobber par ce dernier et ça brise son coeur de bureaucrate.
Lun 5 Aoû - 10:31
Niilo Dahl
MONSTER UNDER YOUR BED
Impétuosité : 244
distraire le peuple intrigue
« Tsarevna Yeva, mes hommages. »
Tu te détournes un instant de Claus pour la saluer, te gardant bien de féliciter la princesse devant tout le monde pour un acte aussi intime. Lorsque t’es né, c’était pas tellement un truc qu’on disait sur les toits. Parfois, c’était même la honte. Toutefois tu penches respectueusement le buste, les sens aux aguets devant cet étendard pour un éventuel adversaire. Il va falloir rester très concentré, plus que jamais, ce soir.
« Je vous rejoins tout de suite. »
Ton regard glacial percute la silhouette d’Alyosha Kourakine, toujours au mauvais endroit au mauvais moment, et toujours vivant malgré ça, comme c’est étonnant.
« Monsieur le Ministre. »
Tu gardes à l’œil ce fauteur de trouble de Kourakine et avant que Claus ne disparaisse, poses ta main sur son bras.
« S’il y a quoique ce soit, appelle-moi. »
Mais quelque chose te dit que s’il y a quoique ce soit justement, tu en seras informé bien vite parce qu’avec le monde qu’il y a ce soir, ça va péter partout. Ton regard accroche aussitôt une personne familière sur laquelle tu n’arrives pas à remettre le nom mais qui se drape sur les épaules du Ministre d’une manière qui ne laisse pas de place à la confusion.
« On ne quitte jamais le devoir monsieur, même quand on semble s’adonner au repos. C’est du vôtre dont il s’agit ce soir, et il faut bien le protéger. »
FRIMELDA
Spoiler:
Niilo salue @Yeva Romanova et lui assure qu'il garde un oeil sur elle ; d'ailleurs il lance un regard noir comme l'enfer à @Alyosha Kourakine à qui il ne fait pas confiance. Après avoir salué le Ministre @Ilya Karenine, il se laisse abandonner par @Claus Bauer en lui faisant promettre de le contacter si y'a une merde. @Néhémie N. Paley arrivé, il lui assure qu'il protège leurs culs à tous au détriment de son propre repos parce que c le viking héroïque tavu.
Lun 5 Aoû - 19:48
Yeva K. Romanova
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 71
Distraire le Peuple
La commissaire lui rend sa politesse, lui assurant son habitude quant à ce genre de situation tendue, même si Yeva sent tout de même une certaine tension. Il faut dire qu'elle a l'impression que son oncle ne fait rien pour améliorer leurs conditions, si ce n'est que l'empirer d'avantage, avec des décisions aussi soudaines qu'inexpliquées.. Elle répond tout de même à son sourire, partant donc à la recherche d'une assise pour soulager son corps pour deux, Niilo confirmant qu'il se joindrait à elle après.
Elle s'éloigne avec un dernier regard vers le géant au physique d'un Poséidon puissant. Un colosse qu'elle observe la tête levée depuis ses 13 ans. Image rassurante et protectrice, premier surnaturel qu'elle a dû admettre, pas si mauvais qu'elle ne le pensait... Même si elle a dû s'en méfier au départ, à un âge où elle commençait à prendre ses positions, à avoir un avis plus politique. Mais l'ignorance de l'enfance toujours présente, fut chassée peu à peu par l'expérience. Voyant bien que le protecteur de sa famille remplissait son rôle à merveille.
C'est Alyosha Kourakine qui lui laissa généreusement la place. Fidèle à lui-même, enchaînant les questions avant même qu'elle ne réponde. Ce qui la fait sourire, elle a toujours apprécié cette nature énergique et volontaire et prend donc le temps de répondre à ses questions.
« - Merci bien, mais ça ne sera pas nécessaire. La scène est surélevée, je verrai bien assez.. »
Et ce n'est pas comme si la pièce l’intéressait tant que cela.. Elle sentait plus le besoin d'être ici et que de nouvelles choses allaient se tramer. Pourquoi son oncle offrait donc ce divertissement, qu'allait-il se passer encore une fois.. ? Elle soupire, se tournant vers le visage d'Alyosha avec un sourire. Elle a toujours trouvé quelque chose d'impénétrable dans son regard, comme s'il était difficile de croire qu'il y avait constamment une étincelle de bonheur, comme ils le laissaient croire. Néanmoins cette étincelle avait quelque chose d'apaisant,
« - Même si non, je n'ai aucune idée de la pièce. Mon oncle a dû encore oublier de fournir quelques informations importantes.. À moins que ce ne soit sa fâcheuse tendance à nous réserver quelques surprises.. »
Sourire quelque peu acide, elle ne se rendait pas compte que sa frustration était telle que les mots lui échappaient. Mais le comportement inexpliqué du Tsar commence visiblement à vraiment l'agacer. Elle regrette ses paroles, mais n'en montre rien... La réputation du roi est déjà bien suffisamment entachée par ses propres actions, qu'elle n'a pas besoin d'en rajouter. Elle préfère passer à un autre sujet.
« - Mais je me porte à merveille ! Mariée.. Et comblée, que demander de plus ? »
Tout, parce que tout cela est faux. Mais il ne faut rien en montrer, faire semblant. Peut-être que la pièce a déjà commencé au fond, depuis longtemps..
« -Et vous-mêmes ? Vos chevaux vont biens ? »
À peine eut-elle posé la question qu'elle se fait aborder par un(e) nouveau(elle) venu(e). Un nouveau sourire s'étend sur ses lèvres en reconnaissant son(a) lointain(e) cousin(e) venant tout droit de France. Elle a toujours apprécié sa personnalité forte, qui a souvent su rompre l'ennui de son enfance régie par les codes et autres protocole.
« - Je vais bien, merci et toi ? Mon enfant se porte bien.. Merci. Il paraît que maintenant il peut percevoir les sons à l'extérieur. Le médecin m'a conseillé de commencer à lui parler.. »
Mais pour dire quoi au juste ? Que son père ne sera pas son vrai père ? Que ce vrai père ne peut pas l'être pour des raisons politique ? Que sa mère a fait croire à tous qu'elle le désire plus que tout, alors qu'il n'est que le fruit d'une série d'erreurs.. ? Elle regarde son ventre, le caressant doucement... Qu'elle est incertaine de son futur dans ce pays prêt à s'embraser .. ? Elle n'aurait qu'une chose à lui dire. Reste bien caché où tu es, ici la vie n'est pas très belle...
En chemin pour trouver des places, je complimente Isay sur son élégance. Il possède un certain charisme naturel, amplifié par son smoking. J'ai très envie de défaire la boucle de sa ceinture et de déposer des baisers le long de sa mâchoire. Mais je préfère me contenir jusqu'à la fin du spectacle, peut-être me ramènera-t-il chez lui pour la soirée ?
Je traîne Isay à ma suite en lui souriant, nous dirigeant comme je peux vers des sièges libres. Isay me fait alors le plus beau compliment du monde, alors que je me retourne vers lui. Je me sens rougir tellement le compliment est charmeur. Je ne sais pas quoi répondre à part un sourire un peu gêné.
J'attrape finalement Isay par la main à la place du bras, pour me déplacer à travers la rangée de sièges. J'arrive sur les deux places libres, presque au bout de la rangée, et je me cale sur celle de droite. Je l'observe s'asseoir sans pour autant lâcher sa main. Je me sens rougir à se contacte, un sourire d'imbécile amoureux sur mon visage. Je tique à peu à sa phrase, ''quoiqu'il puisse arriver ce soir''.
- "Tu penses vraiment qu'il va arriver quelque chose ?"dis-je d'un ton un peu sérieux.
Je récupère le sac d'achats pour offrir un paquet de cacahuètes sucrées à Isay tandis que je m'en prends un.
- "Je compte sur toi pour me protéger encore une fois."dis-je d'un ton plus léger, et légèrement romantique.
@Isay Staline et Andreï trouvent des sièges, ils discutent et ouvrent des sucreries.
Mar 6 Aoû - 14:46
Invité
Invité
Douce ville aux divertissements corporels
Tu passes une main sur ton visage, plus fort que toi tu jettes un long regard sur la salle. Tu cherches les petits visages que tu pourrais connaître, cherche les, frayeurs de voir celui qu’il désire brûler. Tu viens hausser doucement les épaules, tourne le visage de nouveau vers l’homme assit à tes côtés. Doux sourire sur les lèvres, comme celui pour le rassurer, tu sais que ça fonctionne pas si mal, plutôt fier de la façon dont tu as une telle influence sur lui.
«Oui.»
Passe la langue sur tes lèvres, ne veut pas l’effrayer mais c’est une obligation non? Tu parles de mensonges, tu dis ce qu’il te passe par la tête, mais là, là c’est une base de vérité que tu instaures.
«Je n’ai plus vraiment confiance lorsque l’on sort. Que ce soit dans tous ces groupuscules ou dans notre propre gouvernement. Si quelqu’un voulait frapper d’un grand coup, réunir le peuple dans un théâtre, c’est une façon de le faire.» Frisson Douceur Fatigue Crainte Anxiété
Un rire t’échappes, tu regardes ton compagnon, vient poser une main sur sa cuisse, proximité qui est nécessaire dans cette état d’esprit, la dragonne qui grogne.
«Oh, je n’ai rien fais de particulier la dernière fois, porter ton corps et te mettre en sûreté, c’était un grand plaisir.»
Petit sourire, franc, mais amusé, un peu aguicheur, avec l’envie de le faire frissonner peut-être.
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Spoiler:
Les deux hommes discutent et Isay fait part de son idée que ça va mal finir
Mar 6 Aoû - 20:05
Anatoli Romanov
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 116
C'est une présence plus jeune, et encore plus appréciée, qui vient s'écouler dans son ombre, et qu'elle accueille d'un sourire maternel. « Malheureusement, c'est mon travail. » Elle accueille un baiser qu'elle rend, et la simple présence d'Ilya tend soudain à détendre ses muscles. « Le Bal précédent s'est déroulé à merveille, j'ai même pu participer quelque peu. J'imagine que ça constitue une forme de bonne nouvelle. » C'est une main attendrie qui se pose soudain sur l'avant-bras du jeune homme, de cet homme qu'elle aime comme un fils, qu'elle chérit plus que sa propre existence, et ce, bien malgré elle. « J'ai appris la nouvelle, et celle-ci en est une excellente. Je n'ai pas eu le temps de te présenter mes félicitations. » L'idée même d'avoir un enfant lui enserre le myocarde, lui intime quelques pulsations. Qu'elle aurait aimé être mère... Et quel bonheur lui recevra. Ce sont finalement d'autres ombres qui viennent enrichir la ronde, la première qu'elle reconnait à peine, mais qu'elle salue bien bas. « Par devoir. Il faut nous assurer qu'aucun d'entre vous ne finisse par faire n'importe quoi. » Elle rit légèrement. Mais finalement, c'est le fantôme qui la guette qui se fait plus insolent, lorsque le chemin de Niilo quitte le sien, non sans un égard, puisqu'elle lui adresse un léger hochement de tête. « Tu seras le premier que j'appellerai. » Il le sera toujours, bien qu'elle ne lui en dise rien, bien qu'il le sache déjà.
Spoiler:
Claus est finalement entourée par @Ilya Karenine, qu'elle salue avec tendresse et qu'elle félicite pour son futur enfant, puis par @Néhémie N. Paley, et bien qu'elle ne le connaisse que moins, elle le salue malgré tout. Enfin, @Yeva Romanova et @Niilo Dahl s'en vont.
Mer 7 Aoû - 8:10
Oda Tolma
MONSTER UNDER YOUR BED
Impétuosité : 128
Cosmique exanthème. Apophis aux noires brouailles. Apophis à la basane tavelée de céphéides. Sous ce pernicieux firmament se chélate Gévaudan et sa progéniture. Oda, Gretel et Halvard. L’hémoglobine scandinave se mitonne jusqu’au panthéon où fermentent félons et sagouins. Qu'elle est charmante...la rupine plèbe saucissonnée sous ruineux apparats. A l’orée du Vulgum Pecus fleurit les ogres norvégiens cornaqués par l’ove canin d’un fieffé Fenrir. Des poignées de binettes, des lingots de simulacre. Et parmi eux, jolie comme un dernier carat, Vénus radie parmi chiures. L’or aux nervures du charbon, l’ignescente blondine. Un frisson rabote le nombril à l’horizon de l’odalisque hyade, un spasme rugine jusqu’aux entrailles au souvenir des couennes bélinant sous l’opale. Depuis, c’est le trouble qui corroie sous tétin, le vestige d’une Aphrodite exhumée de l’abîme. Mais Orphédia n’est pas Theresa. Alors pourquoi cette entropie ? Pourquoi le ventricule qui chavire comme une nef dans la houle atomique ? Sans doute lorgne t’elle avec un peu trop d’instance qu’une hommasse octave la déchaume à son extase.
« N’oubliez pas mère »
Un zéphyr tiède s’affirme mordicus contre son splénius. Halvard veille. Sous la houlette de Cerbère oblique-t-elle regard vers sa géniture, sourcilleuse, pensive.
« Tous les crimes pardonnables tant que nul œil ne peut s’en régaler »
L’hymne de ses convictions solfié à l’oreille des marmots durant rognons d’années. Quelle ironie! Celle d’un rejeton sachant où le mât blesse. D’un gnard mué adulte dans un véloce interlude. Tension suinte de chaque pore. Doit-elle alors rendre grâce à l’ostrogoth ballant jusqu’à ses petons ? Remercier @Maksim milosevic de la défricher des diatribes et des blandices ? Fenrir retrousse babines, flaire le bestion sous godiche.
« Mon petit monstre »
Elle roucoule, pince mandibule et pétrit masseters dans un tendre compagnonnage. Halvard et Gretel sont plus modestes. Une affable politesse, une oeillade phébus et un intérêt cachectique pour la sauvageonne.
« Profitez de votre amie, nous allons découvrir du monde »
Vraiment ? Délaissée aux articulations du béotisme, Oda lorgne l’exode de ses momillons dans le puzzle des pulpes et des soieries. Que mignotaient encore ces lézards ? Maksim empaume cependant toute son attention.
« Une cigarette volontiers »
Débris de ronron. La vésanie d’un brasier dans le sinus de ses lippes.
« Les oursons sont les bienvenues dans ma tanière, tu viens quand tu veux. Tant que tu n’y laisses morpions et autres infamies de ta souillonne besogne »
L’incuriosité des gourgandines flanquées en tout coin de rue. L’aversion des tares enchâssées entre leurs cuissots.
« Et ne ramène pas d’autres séides. Ce n’est pas l’auspice des putes. Mais toi je t’aime bien »
Fanion de perspectives pour l’ébouriffée. Cantilène sans villanelle. Et dans la tangente d’une bavette sculptée entre python et grizzli, c’est l’ignorance d’un duo de crotales faufilés jusqu’aux nougats de l’Adulée. Halvard en avant-garde, Gretel mottée dans son sillage.
« Nous n’avons pas eu l’occasion de nous saluer la dernière fois, miss Bellavance »
Le prototype du parfait gentleman lorsque phalanges viennent ferrer paluche pour y limoger baiser létifère.
« Halvard, second de la portée Solberg. Et voici Gretel, l’aînée »
La réplique parfaite d’une adolescence maternelle. La muse cime ses agates dans les puits de l'interpellée.
« Vous semblez fort complice avec notre mère. Nous serions joie d’apprendre à vous connaître »
Sourires carnassiers se badigeonnent sur les maxillaires.
« Comment vous êtes vous connues? »
Spoiler:
Oda débarque avec Gretel (fille aînée), Halvard (premier fils) et Fenrir (berger noir) au théâtre. Oda remarque @Orphédia Bellavance au loin et trémule sous la chair. Son fils lui fait remarque de se contenir avant que ne débarque @Maksim milosevic dans une tornade bruyante. Pendant qu'Oda taille causette ave, Halvard et Gretel s'éclipse pour rejoindre @Orphédia Bellavance, intrigués et prudents, à l'ambition moissonnant leurs entrailles dès qu'ils saluent la blondine.
Jeu 8 Aoû - 22:22
Nikolai Kozlov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 70
Distraire le peuple
Tu renifles avec quelque chose qui ressemble à du dédain. La vérité c'est que tu n'as pas réellement envie d'être là. Le théâtre, ça n'a jamais réellement été ta tasse de thé. Pourtant tu fais l'effort, ravale l'envie de tourner les talons et d'attirer ta compagne à ta suite par le fait même. Tu n'es pas le seul à subir, ayant trimbalé Ludmilla. Une demande que tu avais faite en ayant expliqué la situation dans un soupire, l'air nonchalant, puis soudainement penaud, tandis que tu lui proposais de t'y accompagner. Ton esprit agité était plutôt porté sur les noms défilant sur les écrans, mais tu supposais que la distraction ne pouvait faire de mal. Un mensonge que tu n'étais certainement pas le seul à te dire. Tu devinais malgré tout la tension, le malaise tandis que tu manœuvrais avec ta compagne pour vous trouver une place. Vous arrivez tard, ta propre paresse en faute et tu portes ta main sur celle plus délicate nichée au creux de ton coude, tes doigts peignant des excuses à la louve. Un instant, puis ils s'envolent. Se portent au nœud papillon te serrant la gorge et tu maugrées de ne pas plutôt avoir choisi une cravate. La foule se mêle, les gens font la conversation, mais tu n'as pas réellement envie de participer à tout ceci. Tu t'avances, jusqu'à ce que deux silhouettes se lèvent. Ceux que tu reconnais sans vraiment les connaître encore, leur nature appelant la tienne. Les wargs te cèdent leurs sièges et tu hoches la tête, reconnaissant, pour finalement prendre place. Ludmilla à tes côtés, tu te permets cette fois un soupiré, déboutonnant ton veston. « Espérons que ce ne soit pas aussi cauchemardesque que je me l'imagine... » que tu murmures, observant la foule – Iejov faisait-il partie de la sécurité encore une fois? – avant de repérer une autre brune très familière au loin. Tu la regardes, curieux, voit le petit troupeau qui s'éloigne et malgré que tu ne sois pas certain qu'elle t'ait repéré, tu patientes jusqu'à ce que ses iris se posent non loin pour la saluer.
code by EXORDIUM.
Spoiler:
Nick débarque avec @Ludmilla Vodenicharova à son bras. Il prend la place que des wargs lui cèdent, se demande si Artiom est là puis repère @Imala Cohen et la salue respectueusement de loin.
Sam 10 Aoû - 1:33
Invité
Invité
Event
épisode #5 - distraire le peuple
Qui aurait pu croire que cet homme au allure de géant de 2m de haut adorait le théâtre ? L'homme avait dû insister et payer le prix fort pour que Malphas accepte de venir avec lui, et non pas sans aussi inviter sa meilleure amie Astrea. Le mercenaire avait jugé qu'elle avait besoin d'activité pour se changer les idées, bien que cette défaite était surtout pour lui-même. Depuis quelques jours, il était sans sortie, peu de gens faisaient appel à lui, ou il se refusait les quelques contrats qu'il voyait sur le dark web. Mik' avait besoin de sortir, de quitter le loft avant de devenir complètement fou. Cette soirée de spectacle en extérieur était une excellente opportunité pour remettre un peu de vie dans ces jours enfermés au loft.
Seul détail, arriver a ce que son amant l'accompagne a l'heure, lui savait qu'il faudrait arrivée en avance pour avoir de bonne place, hélas, c'est Astrea qui fut à la traîne et qu'ils durent attendre. Peu patient, on le voyait s'énerver et Mal dû calmer son homme par quelques petits baisers rapide.
La jeune femme arriva enfin et c'est rapidement qu'il força ces deux compares a traversé la foule, lui a la recherche de chaise, mais hélas sans grand résultat. On aurait pu certes, rester debout, mais trop dangereux que les trois compares s'éloignent et ne profitent aucunement du spectacle. Non, il n'en était pas question. Mikhail ne perdit aucun instant pour s'éclipser sachant ou il pourrait trouver des chaises, ou plutôt savait ou il en avait de placer. À croire que l'organisation avait décidé d'en placer le moins possible.
Revenant dont on ne sait où, il avait les trois chaises qu'il posa assez prêt d'un couloir. Ce qu'il n'appréciait pas trop, lui n'aimait pas trop les bains de foule. Il faut avouer, ce soir, Malphas semblait s'être transformer en chaud lapin plutôt qu'en dragon. Mikhail les jugeait trop a la vue,alors il était beaucoup moins prompt a démontré des marques d'affection à son homme qui pourtant l'accourageait grandement. Mal à l'aise, de démontrer trop de geste sur son homme, car non, jouer les gays en public, ce n'était pas lui.
''- Tu aurais dû mettre Astrea au milieu.''
Viendra-t-il murmurer au creux de l'oreille de Malphas, qui devait pourtant se douter que son homme n'était pas le genre a trop en montrer devant les gens.
''- S'il te plait, échange avec elle.''
Spoiler:
Remplacement du pnj par le joueur avec ces réactions depuis le début de l'event - Il demande a Malphas de changer de place sur les chaises pour que le couple soit moins a la vue.
Sam 10 Aoû - 6:06
Istochnik
THE GODS ARE WATCHING
Impétuosité : 362
distraire le peuple
épisode cinq
Sous une pluie d'étincelles, qui attire l'œil, une silhouette se dessine sur la scène. Elle s'incline profondément, avant de retirer son chapeau, se redressant pour mieux faire entendre sa voix.
« Bonsoir mesdames et messieurs! Nous sommes ravis de vous découvrir en si grand nombre! »
Des lumières s'allument pour mettre en avant le rideau rouge, alors que la nuit tombe sur la ville.
« Nous vous avons réservé un spectacle inoubliable ! Les acteurs les plus talentueux attendent dans l'arrière scène, prêts à vous éblouir ! Nous espérons que vous resterez sans voix devant ses merveilles cachées de Moscou... »
Le présentateur laisse le silence s'installer, accentuant les murmures qui parcourent la foule.
« Les divertissements commenceront dans quelques minutes, veuillez prendre place le plus rapidement possible ! »
L'homme lance son chapeau dans les airs, disparaissant sous une nouvelle pluie d'étincelles. De nombreux vendeurs de confiseries s'ajoutent à la foule, barbes à papa, bonbons et breuvages offerts à tous ceux qui en montrent le désir. Alors que des artistes en costume les accompagnent, distraction en attendant que la pièce commence.
▼ ▼ ▼ ▼ ▼
2.en détails ❃ L'action se déroule le 03 Août 2019, au Théâtre Yermolova, aux alentours de neuf heures du soir. ❃ Le Tsar offre une soirée de distraction pour calmer le peuple, suite à l'implantation des nouvelles mesure de sécurité. ❃ La sécurité est toute autour du périmètre décrété, laissant libre place au peuple pour s'installer. ❃ Il n'y a aucune place réservée, noblesse et plèbe se mélangeant sans distinction. Quelques chanceux auront le droit à une chaise, s'ils sont prêts à se battre pour la garder.
3. le fonctionnement ❃ Cette intrigue est ouverte à tous les joueurs. ❃ Vous pouvez poster comme vous le désirez jusqu'à la prochaine intervention. Cependant, nous vous demandons de veiller à laisser le temps aux autres joueurs de répondre. ❃ Essayez d'interagir avec plusieurs personnages, de façon à prendre en compte tout le monde et qu'aucun personnage ne se retrouve seul. ❃Vos actions influenceront le déroulement de l'intrigue. ❃ Nous vous demandons d'utiliser un SPOILER à la fin de chaque post afin de résumer vos actions. ❃ Votre objectif actuel est de commencer à profiter de la soirée et les retardataires, à vous dépêcher d'arriver pour ne rien manquer.
Sam 10 Aoû - 8:30
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Distraire le peuple
Elle a chouiné, pleuré, essayé de te faire culpabiliser et elle a réussi. Elle commence à connaître les ficelles, lesquelles tirer quand tu ne t’opposes pas avec trop de véhémence. La rendre présentable avait été difficile, ses manières, son style, son apparence de môme la fait dénoter parmi la population rassemblée, même parmi les gens du commun. A la voir se trémousser aussi à chaque fois que quelqu’un marche sur son ombre te fait lever les yeux au ciel mais hors de question de la lâcher d’une semelle. Tu risques de la retrouver avec sa main dans une poche et une étrangère dans sa pogne.
Propre, autant que tu puisses te rendre présentable, tu la tiens presque par le bras pour l’empêcher de fuir parmi les gens rassemblés, tu as presque ta main sur sa bouche pour éviter qu’elle ne sème le trouble et presque les yeux vers la sortie pour savoir quand est-ce que tu pourras prendre la tangente. Tu n’es pas à la sécurité aujourd’hui mais tu aurais presque préféré te retaper des trop longues heures à surveiller le beau monde que te retrouver là, avec l’impression d’étouffer dans tes affaires et essayer de fuir tout le monde. Un peu plus loin tu reconnais Ludmilla, accrochée au bras de Nikolai – krrr – et tu détournes prestement le regard en invitant Yuliya à se décaler pour partir ailleurs.
code by EXORDIUM.
Spoiler:
Artiom arrive avec Yuliya et n'a qu'une hâte : partir de cette foule. Il voit plus loin @Nikolai Kozlov et @Ludmilla Vodenicharova à son bras. Il tente d'inciter Yuliya à aller voir ailleurs s'ils y sont.
Sam 10 Aoû - 13:09
Invité
Invité
Ses sourcils se fronçaient un peu chaque fois qu'un malheureux piétinait son ombre, mais Yuliya était décidée à ne laisser aucun désagrément occulter la soirée – surtout pas la pensée que la moitié des convives seraient modérément indisposés par une malchance mineure au cours de la fête. Son insistance avait porté ses fruits et elle se tenait aux côtés du capitaine de police Iejov, pas parce qu'elle avait commis la moindre faute, pour une fois. Impossible pour elle de mettre la main sur quoi que ce soit de présentable de façon légale, alors elle avait réussi à se procurer quelques morceaux plus décents dans une boutique de seconde main avec l'aide d'Artiom, qui avait décidément quelque bassesse à se faire pardonner pour être aussi patient avec elle dans les circonstances. « Quoi, t'en veux? » demande-t-elle au policier en voyant qu'il l'observe d'un drôle d'air, persuadée qu'il reluque plutôt une pincée de la généreuse barbe à papa sur laquelle elle a réussi à mettre la main plus tôt. Suivant plutôt le regard du blond, elle remarque une figure connue, une magnifique femme à son bras, et son sourit s'élargit. Elle agite la main pour saluer Nikolai, espérant qu'il la verrait à travers les convives pourtant nombreux. « Aïe – hey, poussez-vous de là, z'êtes dans ma bulle », insiste-t-elle lorsqu'une douleur aiguë lui traverse les côtes, voyant qu'une personne s'est installée dans son ombre sans faire attention.
Spoiler:
Yuliya accompagne @Artiom Iejov sans comprendre qu'il vaut mieux qu'elle fasse de l'air. Elle salue @Nikolai Kozlov de loin en espérant qu'il l'aperçoive avant d'être interrompue par une douleur causée par un convive qui se tient dans son ombre et qu'elle interpelle.
Lun 12 Aoû - 19:11
Ludmilla Vodenicharova
MONSTER UNDER YOUR BED
Impétuosité : 20
Distraire le peuple
Les yeux grands ouverts, tu observes les lieux sans porter un quelconque jugement – tu laisses plutôt ce plaisir à ton compagnon, Nikolai. Celui qui ne profite pas plus de la soirée, que de ta compagnie, semble-t-il. Il regrette déjà sa décision, n’est-ce pas ? Pas de t’avoir invité, mais d’être présent. Il gigote près de toi, tire sur son nœud papillon et tu pinces les lèvres pour ne pas rire de ses réactions. « Du calme… » que tu souffles doucement. Gentiment. Sans grand résultat, malheureusement. Après tout, tu n’es là que pour lui servir de joli accessoire – à quoi bon le nier, hein ? Vous êtes bien trop honnête, l’un envers l’autre, pour ce genre de faux semblant.
Et voilà qu’il vous déniche des places – les récupère plutôt, les autres wargs cédant leur siège à leur alpha, tout en te réconfortant dans ton choix de le pourchasser. Lui, le grand chef. Ne serait-ce que pour avoir droit à un siège lors d’une représentation – surtout engoncé dans ta jolie, mais inconfortable, parce que trop ajusté, robe. Victoire ! Une fois assis, le voilà qui s’inquiète un peu plus encore, jusqu’à ce que tu laisses flotter un petit rire. Ton corps pivote légèrement vers le sien et tes doigts trouvent son nœud papillon, celui que tu ajustes gentiment. « Jusqu’ici, tout se déroule au mieux. Tu es très sexy dans ton costume et… je vais te prendre une barbe à papa » que tu souffles, malicieuse. Et voilà, tu te redresses dans un froufrou soyeux et remue délicatement une main, afin d’attirer l’attention d’un vendeur de douceur.
Puis, tu retournes sagement près de ton alpha, la barbe à papa pour offrande. « Et voilà, maintenant le cauchemar est plus… sucré. » Tu ricanerais presque, mais tu préfères lui tendre un bout de friandise, attendant sagement qu’il ouvre la bouche. Lorsque tu croises le regard d’Artiom, au loin. En charmante compagnie d’ailleurs, la jeune femme faisant visiblement signe à Nikolai. Un sourire en coin, tu fixes Artiom, tout en questionnant Nikolai – la barbe à papa attendant toujours le contact de sa bouche : « Je ne savais pas qu’Artiom avait une copine… C’est récent ? » Non pas que ça te regarde mais, tant pis. « On devrait les inviter à nous rejoindre, non ? ... »
code by EXORDIUM.
Spoiler:
Ludmilla suit sagement @Nikolai Kozlov et tache de le détendre. Elle lui offre même une barbe à papa, qu'elle essai de lui faire manger à la main, avant de remarquer @Artiom Iejov en compagnie de @Yuliya Porovskaya - leur relation l'intéressant aussitôt.
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FRIMELDA
