| Page 1 sur 1 | Nikolai Kozlov RULE THE MONSTERS WORLD  |
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| Nikolai Yuri Kozlov jon bernthal 1. mon nom dans les airs.
KOZLOV est un nom qui ne signifiait rien avant lui. Un anonymat simplifié, un simple visage dans la foule. C'est un nom qu'il a forgé à coup de griffes et d'ambition, qu'on murmure maintenant avec respect parmi ses paires. NIKOLAI est susurré avec plus d'intimité, passe les lippes pour parfois se transformer en un NICK ou même NICKI familier qui sied mieux son faciès que l'éloquence de son prénom entier. Un surnom qui vient avec une certaine nostalgie, qui rime maintenant avec une distance qu'il impose naturellement, se détachant de plus en plus. Et dans l'oubli, uniquement retrouvé sur ses papiers, sans jamais vraiment être prononcé se trouve YURI.
2. mes cris sur la terre.
C'est la quarantaine passée qui semble marquer son air austère, qui cherche à creuser les rides ici et là. Il ne s'embête déjà plus à lui chercher un chiffre exact, marmonne qu'il en a parfois quarante-deux, puis, une autrefois -plus honnête- QUARANTE-SEPT, les babines retroussées dans un certain dédain. Une espèce de jeu funeste, une tentative de trompe l'oeil avec la vieillesse qui s'installe. Il se dit également purement RUSSE, parce que c'est moins compliqué. Que Moscow a toujours été son repère, même s'il entend parfois autre chose faire écho entre ses deux oreilles. SOCHI et l'air au goût salin. Un autre endroit, un autre temps peut-être.
3. mes tourments ventriculaires.
Des amours et des ébats sans vraiment s'attacher pour l'éternité. Des flammes perdues et parfois simplement éteintes, c'est la SOLITUDE qui revient toujours au galop. Peut-être parce qu'il la recherche inconsciemment, qu'il ne s'embête pas à chercher plus loin que des simples étreintes, perdu dans les COURBES FÉMININES, des douces voix criant plaisir dans le creux de son oreille, si l'on veut bien de sa carcasse.
4. mes espoirs éphémères.
Des promesses et des poings de fer selon les besoins, Kozlov s'est insinué dans l'illusion du bouclier qui peut être acheté, selon un certain prix. Son parcours militaire et sa nature pratique lui ont valu une place de consultant pour la compagnie de sécurité privée MENACE. Rares sont les fois où il ose lui-même se salir les mains maintenant, se voulant plutôt tête pensante qui déploie ses pions pour ceux trop effrayés même dans leurs intimités. Un rôle noble et honnête qui couvre bien ses basses besognes pour la bolshoy. TRAFIQUANT D'ARMES, c'est jouer des deux côtés de la guerre, perpétuant la terreur pour mieux y récolter son dû.
5. mon cocon mortifère.
Ambitieux – Détaché – Audacieux – Impulsif – Assertif – Sarcastique – Combatif – Abrupte – Confiant – Déterminé – Débrouillard – Agressif – Dévoué – Méfiant – Ferme – Franc – Arrogant – Indépendant – Intuitif – Brute – Capricieux – Méthodique – Pragmatique – Égoïste – Ordonné – Protecteur – Frondeur – Réaliste – Orgueilleux – Tenace – Nonchalant – Loyal – Méprisant. 6. la gangrène sanguinaire.
Celle qui cherche à croquer les astres entre ses crocs, à plonger le monde dans le grand chaos de l'apocalypse. Aux griffes acérées, aux canines toujours un peu trop aiguisées, il fait partie des WARGS. Mieux encore, il s'est forgé à devenir leur guide, à grimper jusqu'au sommet pour mieux les guider. Il est leur ÉMISSAIRE, celui qui gouverne la grande meute qu'ils sont. Les ténèbres sont devenus leur allier, les ombres comme une caresse d'une amante passée, celle qui invite aux pires folies lorsqu'elle les enveloppe. Et ses mains serrent toujours un peu trop fort, ses ongles s'enfoncent toujours un peu trop, défigurant les matières en y laissant des lanières.
7. l'existence secondaire.
C'est lui qui a crié au loup, depuis plusieurs années déjà. Lui qui s'est laissé dévorer au creux de la nuit, pour se hisser hors du gouffre, crocs dévoilées. Il n'avouera jamais se souvenir précisément de la date fatidique où il a pratiqué le rituel pour changer sa vie. Un quatorze décembre. Il se souvient du froid mordant ses entrailles, de la neige glaciale contre le creux de ses paumes, tellement il avait peur que ces derniers l'emportent avant qu'on ne le réclame. Qu'on le déchiquette pour lui permettre de mieux renaître. Qu'il laisse le cadavre de lui-même derrière, désormais inutile et sans le véritable avenir à ses yeux. Parce qu'il était brisé avant sa nouvelle chaire, n'était plus qu'un soldat honorable qu'on avait excusé, lui et son genou bien amoché. Celui qu'il jure qu'il peut sentir faiblir parfois, s'il y pense trop, qui pulse et demande à se faire masser lorsque les nuages couvrent le ciel et cherche à pleurer. Kozlov n'a pas peur de dire qu'il n'était rien, auparavant, pour peu qu'on lui demande. Qu'il avait l'impression d'avoir été qu'une ombre cherchant à guider un pantin dont les ficelles étaient difficilement rabibochées. Ridicule dans son faux-semblant de fierté.
Un simple homme, honnête sans vraiment l'être. Entretenant de mauvaises relations, empruntant de mauvais chemins. Un homme simple, loin d'être foncièrement bon, mais qui avait tout donné et qui se sentait maintenant trahi. Trahi par son propre corps, par ses propres blessures, par ce vide qui semblait emboîter le pas sur le reste de sa vie, sans carrière ni rêve ni même de famille dans lequel il pourrait se nicher. Se reconstruire. Il s'est aventuré, seul. Le désespoir en compagnon, celui qui lui a écorché la voix tant il a hurlé. Et lorsque, enfin, son être est devenu festin, la douleur en fut salvatrice.
8. le monde délétère.
Kozlov croit profondément en l'idée de devoir être élu pour accéder à cette nouvelle vie. Pour lui, devenir un warg était un choix, une dernière tourmente en espérant en voir enfin la bénédiction. S'il était au départ un jeune homme qu'on qualifierait presque d’extrémiste dans ses croyances, les années ont brossé un dur réalisme pour en faire quelqu'un de toujours fier certes, mais de détaché. L'âge et l'expérience sont venu ternir un certain idéalisme et s'il a récolté le respect de ses paires en tant qu'émissaire, c'est une passion plus étouffée qui se lie maintenant à ses propos. C'est la prudence qu'il porte maintenant tel un manteau, afin d'assurer la survie des siens. Et s'il ne souhaite pas nécessaire l'extermination des mortels, il ne les porte pas non plus dans son coeur. Les voient comme des êtres faibles, des enfants qui n'apprennent rien et qu'il méprise plus qu'autre chose. Il fera des courbettes, pliera le genou le temps demandé, en attendant que leur heure vienne.
9. les ombres-mères.
PHASE NUMERO 5 - DEUIL. Deuil de quoi ? Il ne sait pas vraiment. Les années défilent et il se voit de plus en plus reclus, de plus en plus solitaire. Le regard traîne parfois sur des idées éphémères, des songes et des envies qu'il balaye ensuite d'un sentiment incrédule à la pénombre de la lumière. Plus agressif qu'il ne devrait l'être, la raison s'estompant trop facilement dans le maelström d'émotions qui s'emparent par moments. Il est choisi, lui le grand loup, à la tête de sa meute. Les regrets n'ont pas leur place et il refuse d'en être proie.
DON UNIQUE - Peau de pierre : Ce qui rend Kozlov si difficile à abattre, si compliqué à mettre à terre, c'est que ce ne sont pas uniquement ses griffes qui peuvent devenir aussi solides que le roc. Les coups semblent toujours moins laisser de traces, la violence moins d'impact contre sa peau. Les dommages physiques se font moins importants, ce qui l'avantage surtout à mains nues. Une balle restera toujours ancrée dans sa chaire trop difficile à traverser. Aucune chance d'une blessure nette, d'une trajectoire simple. Le corps étranger s'y enfonce, rend la guérison plus longue. Une lame, elle lacérera moins mais semblera toujours d'autant plus trancher lorsqu'on la retire, causant plus de douleur, plus de dommages aussi. Kozlov se plaît à paraître invincible, jouant de son don pour être en avantage, conscient de ses faiblesses qui pardonnent peu.
EN RÉSUMÉ : C'est une résistance au corps-à-corps qu'il a gagnée. Les coups se font moins ressentir, il ne semble pas vraiment fléchir, même quand le goût du sang naît sur sa langue. Les lacérations se creusent toujours un peu moins que l'intention voulue. Plus difficile à poignarder, certes, mais un enfer pour lui lorsqu'on y parvient.
CONSÉQUENCES : Les balles ne le traversent jamais. Elles restent coincées dans la chaire, l'oblige à se réfugier par la suite. La guérison se veut beaucoup plus longue - le double du temps - s'il ne peut l'extirper de lui-même, dans l'attente qu'elle ressorte. Lorsqu'on le transperce, la douleur est vive et brûlante, causant davantage de dégâts à l'entrée qu'à la sortie de par la difficulté à l'extirper. Un calvaire, une violence baignée de douleur qu'il cherche le moins possible à vivre et qui lui demande, là aussi, davantage de repos.  pseudonyme : AmusableSky. âge : dépassé le quart de siècle déjà  . pays : Canada. comment as-tu connu le forum ? Après une très longue pause rp, j'ai parlé de mon envie d'écrire à nouveau à bb Desi, elle m'a montré le fofo et voilà.  des questions, des suggestions ? Comme ça fait bien longtemps, si je fais nawak, hésitez pas à me le dire.  crédits : beloved. |
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Nikolai Kozlov RULE THE MONSTERS WORLD |
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| what survived may not be kind but it's me what you're capable of isn't always good 1972-1990
Il est né à Sochi, sans pourtant y avoir vraiment vécu. De flous souvenirs en mémoire, une impression d'air salin lorsqu'il tente de se remémorer le tout. Sochi n'est qu'un vague souvenir de ce qui aurait pu. La toute première interrogation quant à ses décisions prises, qu'elles soient oui ou non influencées par l'inévitable. Parce que Sochi est depuis bien longtemps dans son rétroviseur arrière, la silhouette incertaine par l'inexactitude de ses souvenirs, tout comme celles de ses parents qu'il n'a pas vraiment connus. Un bête accident les a fauchés. L'envoie sur un nouveau chemin, sous une autre tutelle. Un oncle comme gardien, qui l'amène au loin. C'est Moscou qui l'accueille, qui le voit grandir. Une petite terreur, un gamin éparpillé qui profitait de la vieillesse de sa parenté, ayant depuis longtemps dépassé le stade de songer à faire sa propre famille, pour faire des bêtises. Des oreilles rougies et un derrière bien endoloris, mais ça ne l'arrêtait pas. Pas vraiment. La délinquance était sa compagne de jeunesse. L'attrait pour se mettre dans des situations difficiles, pour traîner avec les mauvaises personnes. Un problème qui semblait devenir trop grand pour les vieux os de son oncle, encore plus perdu que Nick dans son nouveau rôle. Il n'a jamais vraiment réussi à bien l'endosser, à vraiment s'y mouler. Comme quand il lui avait passé son veston, un soir quelconque et que les épaules, visiblement trop larges, donnaient au jeune Nicki une silhouette un peu déformée. Un corps trop frêle dans un veston d'homme. Un moule trop grand, impossible encore à remplir, malgré les tentatives. L'école, ce n'était jamais vraiment pour lui. Les grandes études, ce n'était pas quelque chose qu'il se croyait apte à accomplir. Il n'y avait pas le moindre intérêt non plus, s'il devait être tout à fait honnête. C'est dans une carrière militaire qu'il s'est tourné, faute de mieux. Faute de regarder les vieilles photos et d'entendre les mêmes histoires rabâchées de son gardien. Faute d'être doué pour chercher la bagarre, aussi, peut-être.
1990-1994
Certaines personnes disent qu'elles le savent lorsqu'elles ont enfin trouvé leur domaine de prédilection. Pourquoi elles étaient ici, dans quel but précisément. Dramatique un peu aux yeux de Nick, mais c'est ce qui se rapproche le plus de la définition de ses années militaires, alors qu'il n'était encore qu'un simple mortel. Une prémisse pour un goût et une facilité de perpétuer la violence. Une euphorie liée à la survie, un sentiment de victoire bondissant au creux de sa poitrine alors qu'il écrasait les autres. Et s'il ne côtoierait jamais certains de ses camarades dans la vie de tous les jours, il savait qu'il pouvait compter sur eux avec sa propre vie. Un sentiment étrange, d'avoir cette idée de deuxième famille – de vraie famille par moments- seulement à cheveu de la mort. Un faux mouvement et puis tout est fini. Au moment de l'impact, le métal du véhicule lui broyant le genou, il aurait bien voulu aussi. Seulement s'il ne serait pas sorti, s'il serait resté là en espérant la mort dans son cercueil de fer improvisé, il ne serait pas devenu ce qu'il est aujourd'hui. S'il n'avait pas serré les dents et traîné sa carcasse, les dents serrées devant les remerciements, les poings fermés alors qu'on l'excusait – qu'on l'expulsait, oui – il n'aurait jamais senti leurs crocs au creux de la nuit.
1994-1996
C'est la défaite au coin des lèvres et la rancune au coeur qu'il est retourné chez lui. C'est avec le besoin de ressentir autre chose que l'échec qu'il a accepté de revoir une vieille connaissance, qu'il a alors débuté sa relation malsaine avec la Bolshoy. Et cette fois, il n'y avait personne vraiment pour l'arrêter, pour l'empêcher de se hisser, avec le temps. Un peu, mais jamais assez. Toujours à se maudire, à se trouver insuffisant. Il lui fallait être mieux, être plus que sa simple existence, l'orgueil se mêlant au dégoût de lui-même. En portant un regard vers l'arrière, il n'avait rien à perdre, pas vraiment. Il n'était pas confiné à être qu'un simple homme fissuré, à s’apitoyer sur lui-même. Seulement Nick a toujours été trop gourmand, s'est toujours vu avec quelque chose en moins plutôt qu'être entier. Il aurait pu se rebâtir, vivre une petite vie rangée. Le problème avec Nick, c'est qu'il a toujours aimé se dire qu'il était spécial.
Et il l'était. Dévoré, baignant dans son propre sang, peignant un tableau carmin avec la neige suite à un rituel, il l'était. Tant pis pour la douleur, celle l'écrasant encore alors qu'il se réveillait, cherchant son souffle, l'esprit encore convaincu d'un poumon perforé. Tant pis pour le sanglot se forçant hors de sa gorge, incapable d'associer ce dernier avec la moindre émotion. Pour le froid l'enlaçant encore péniblement, si bien qu'il s'habille encore aujourd'hui un peu plus chaudement. Il l'était. Et pour lui, voilà ce qui comptait.
1996-2019
Ce que Kozlov a reçu en retour pour l'offrande de sa personne était beaucoup plus que ce qu'il espérait. Des regrets marquent des décisions et comme plusieurs, s'il pourrait changer certaines choses, il le ferait sans hésiter. Mais pas ceci, jamais ceci. C'est avec respect qu'il a traité ce cadeau remit. C'est avec une nouvelle ardeur qu'il s'est reconstruit, bâti pour devenir ce qu'il est aujourd'hui. Une sagesse venant se mêler à sa ferveur, une prudence s'apportant à la suite de quelques mauvaises expériences. Il s'est taillé une place de choix, sans pourtant avoir qui que ce soi pour partager les récompenses, si ce n'est que sa meute. Le warg Alpha, le grand loup, celui qui patiente à la pénombre que Moscou se fasse enfin dévorer.
EN VRAC
C'est une peur qui s'est insinuée avec le temps, après sa résurrection. La peur d'une douleur qu'il sait lancinante, faute de l'avoir trop expérimentée à son goût. Il vit un certain malaise avec tout ce qui semble un peu trop pointu, quand bien même ces objets en sont insignifiants. Les coins de son bureau ont été sablés pour être arrondis, de même que les bouts de comptoir à sa demeure. Il ne place jamais un crayon miné vers le haut, demande qu'n objet pointu soit déposé avant de lui-même le saisir. De petits tocs dû au traumatisme, à son cerveau qui se dégénère. •.• Les aiguilles sont pires, développées en une véritable phobie. Le coeur qui part au galop, le regard rivé sur celles-ci. Parce que lorsqu'on doit lui faire subir pareil instrument, celles ordinaires sont trop délicates et la souffrance qui en suit, semble toujours rester l'heure suivante, telle une mémoire qui palpite contre sa peau. •.• Malgré sa renaissance, sa douleur au genou n'est jamais vraiment disparue. Un souvenir d'un autre vie, comme une mauvaise blague à ses yeux. Quelque chose de fantomatique, parce qu'il sait que tout fonctionne très bien. C'est dans sa tête, dans son esprit tourmenté que tout est coincé, qu'il la crée. La saison hivernale est sans doute la pire – et la plus longue, à son grand bonheur – où l'humidité s'installe et le rend irritable au possible, quémandant massage lorsque la douleur le gruge trop, quand bien même il sait le problème absent.
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Arsenia Savina YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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Dahlia Cohen RULE THE MONSTERS WORLD |
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| Le canon, de dious ! Ces choix de malades mentaux ! Je bave. Je suis toute chose ! Viens par là que je te bisouille, garçon !  Bienvenue chez les fous !  Le staff est là pour toi si tu as besoin. Moi surtout. T’es perf’.  |
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Dmitri Romanov YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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Milesia Sorel RULE THE MONSTERS WORLD |
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| Ramené par la classe ! L'agencement de ces choix est perfection, tu arrives à point nommé. Bienvenue ! |
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Nikolai Kozlov RULE THE MONSTERS WORLD |
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| @Arsenia Savina C'est toi qui parle de swag alors que t'atterris avec Charlize  Amagad déjà tant d'amour Je me sens tout chose déjà Merci beaucoup pour ces merveilleux compliments, ça me touche beaucoup  J'espère que la suite te plaira aussi !  @Dahlia Cohen My body is ready Sincèrement je suis trop choyée dès le départ  J'hésiterai pas à vous poker si j'ai la moindre question, promis !  @Andreï Yuri Merci beaucoup !  @Milesia Sorel Mawww, ça fait super plaisir à lire !  J'espère que le reste sera à la hauteur  Un gros merci pour ces bienvenus remplis d'amour les gens !  |
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Oda Tolma MONSTER UNDER YOUR BED |
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| y d'la gueule, y d'la testostérone par ici  cette trogne, joli choix fiufiu alors comme ça on tripote les calibres? faut savoir partager bienvenue  |
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| *débarque avec toutes ses meufs et les jettent toute sur Niko*TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII! ICIIIIIIIIIIIIIIIII!!!!!!!!!   Tellement contente! Réserve moi une tonne de lien!  Bienvenue! |
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Lyov Azarov MONSTER UNDER YOUR BED |
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Invité Invité |
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Nikolai Kozlov RULE THE MONSTERS WORLD |
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| @Oda Solberg Je partage quand tu veux Merci beaucoup @Esfir Lolkova MOW tant d'amour, merci beaucoup choupiiii Trop contente de te revoir aussi !  Et je te réserve ce que tu veux  @Lyov Azarov ARRÊTE DE RENTRER DANS MES FEELS COMME ÇA BORDEL Tu me tues avec tes sous-entendus Tu sais déjà tout en privé MAIS tu m'as manqué aussi babe ! Réserve moi un rp @Isay Staline Mais mais mais tant de compliments trop de love, je suis tout chose Merci beaucoup |
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| tu es validé ! bienvenue ! Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie ! Cette plume, ce personnage! Quoi dire de plus? J'ai adoré lire ta fiche et puis la partie sur les aiguilles et les coins de ses bureaux!  Bienvenue officiellement par ici! Trop contente de te retrouver!  Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille ! Tu peux également aller demander ta récompense pour avoir terminé ta fiche dans le système de points ! N'oublie pas que tu pourras aller en demander, ou en dépenser, tout au long de ton aventure. Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis ! |
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Contenu sponsorisé |
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| | neither carefully curated nor beautiful (Nick) | |
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VOILA CEY DIT !) Outre ça, il est kpojnbhgyuh sérieusement, ce boulot, cette position, la race choisis. 
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Tu m'as manqué ok ? Les forums c'étaient pas aussi bien sans toi. 
DONC VOILÀ, ACHÈVE CETTE FICHE ET JE TE FOURRE DEUX LIENS DANS LES BRAS ! (fourre étant un mot... bref... 
