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 Slave of Zorya


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Desislav Naoumov
Impétuosité : 47
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Desislav Domachev Naoumov
Armie Hammer


1. mon nom dans les airs.
Desislav prénom slave que possédait ton grand-père maternel. « Dix fois la gloire » pour bénédiction sur ton berceau, parce que les morts ne s'en vont jamais en vain. Puis il y a Nikon, jamais utilisé, un caprice de ta marraine, prénom aujourd'hui oublié. Tu n'auras jamais été Nik, ça aurait été trop facile. Naoumov de naissance, la Russie dans le sang et la même parfaite articulation des mots, légué de ton père. Depuis un an, tu colles Domachev au tout, remplaçant Nikon par le nom que tu aurais logiquement endossé en épousant Zorya. Sauf que tu ne fais pas le bon métier pour ça, tu ne pouvais pas cesser d'être un Naoumov - quand bien même, un jour, vos enfants - s'il y en a - seront des Domachev.

2. mes cris sur la terre.
Fils ainé d'Anisim Naoumov, tu es né, comme tous tes ancêtres, au sein de Moscou la grande, la froide. La terrible. Mètre patrie aux bras trop richement parés pour être chaleureux - vision réductrice, quoique franche, qu'ont toujours eu les Naoumov. Tu as ainsi vu le jour un 20 septembre et depuis déjà 32 années, tu t'acharnes à faire la fierté de ton père, ta famille - mélange explosif d'individu slave (maman) et russe (papa) pour te juger - sur les talons.

3. mes tourments ventriculaires.
Éternel célibataire, tu as toujours été celui qu'on charriais gentiment sur son manque de compagnie. On t'as d'ailleurs même soupçonné d'être homosexuel et de ne pas l'assumer - ce que ton père à toujours trouvé ridicule, sachant pertinemment combien tu t'étais attaché à Zorya. À laquelle tu es aujourd'hui marié. Un mariage que l'on a imposé à la blonde, un mariage aux allures de concours contre lequel tu t'es opposé - même si ça n'intéressait personne, jusqu'à ce que tu deviennes le promis et que tu cesses de répéter « non » pour clamer « oui. » Il aura donc suffit d'un plan, finement orchestré par la futur mariée, pour te mettre à l'avant de la scène, toi l'homme discret et probablement trop humble. Tu ne l'aurais jamais gagné autrement, sauf que oui, puisqu'elle c'est démené pour faire de toi son mari. Tu n'en es évidemment pas peu fier - contrairement à ton statut de puceau perpétuel, aussi terrible qu'une malédiction de Lihkos. Parce que déjà neuf mois sont passés, neuf !

4. mes espoirs éphémères.
En tant que Naoumov, la justice te coule dans les veines. C'est que vous pratiquez le droit depuis déjà cinq générations, dont trois au service des Domachev, la Bolshoy comme un enfant à protéger. Aussi, vous ne marchez plus très droit par chez toi, quand bien même ton père est passé juge - un aperçu de ton futur, si tu ne fais pas de bêtise, autre que d'épouser l'une de leur princesse. Un juge probablement trop clément envers ceux qu'on n'ose pas déranger. Est-ce la peur ou la dévotion qui dirige ton père ? Même toi, tu ne sais pas. En attendant, tu gagnes ta pitance et le respect de ta belle famille en tant qu'avocat sous leur bannière. Évitant les pires châtiments à ceux qui le méritent assurément. Tant pis, la vie n'est pas juste, sinon Dieu ne t'aurais pas permis d'être aussi doué - tout le monde sait ça.

5. mon cocon mortifère.
Loyal - Têtu - Dévoué - Chicaneur - Modeste - Critique - Raisonnable - Catastrophiste - Patient - Excessif - Observateur - Guindé - Posé - La faim justifie les moyens - Doux - Un peu névrosé - Protecteur - Jaloux - Sincère - Un chouia possessif - Tendre - Compétitif - Minutieux - Acharné - Pudique - Nerveux - Tactile - Plaignard - Excellent sang-froid - À un avis sur tout


6. la gangrène sanguinaire.
Khovala, la créature aux douze yeux. Un regard solaire, dès que le jour s'éteint, des relents de lumière dans les prunelles. Il ne fait jamais noir pour le Khovala. Véritable feu follet, on raconte qu'il rougeoie dans la nuit, petit soleil indiscret. Et lorsque le jour se redresse, c'est la nuit qui s'empare de ses yeux, qui se jouent des rayons. Qui va jusqu'à dissimuler ce qu'il désire, ce qu'il regarde assez fort - rendant alors les objets ou individus, invisible. Certains le décriront comme hostile d'ailleurs, créature du malin aimant faire disparaitre l'essentiel - des rumeurs d'enfants n'ayant jamais refait surface ou de fortune évaporée. Cultivateur de mystère, il ne vit pourtant qu'en des lieux où des trésors sont cachés.

7. l'existence secondaire.
Y'a le rire de tes amis qui te hantent encore l'esprit, alors que tu continue de fixer sa fenêtre. Celle de la délicieuse, de l'interdit. Zorya, comme une malédiction sous la peau, dans la poitrine qui palpite trop fort. Quand elle te nargue, quand elle sourit. Quand elle se contente de respirer, enfant rebelle, enfant fait reine. Tu connais les risques, on te les a soufflé et si on a refusé d'inquiéter la princesse, tu la connais suffisamment pour savoir qu'elle n'écoutera pas. Si seulement on t'avait accordé le droit de lui dire, de l'avertir, peut-être que tout ce serait passé autrement. Elle n'aurait alors pas quitté sa chambre, proie alléchante pour des guerres intestines ne la concernant pas encore.

Tu l'as suivis, ombre fidèle traçant chacun de ses pas. Nerveux et le regard alerte, tu les a vu approcher. Son nom te brûlant la gorge dans un cri, furieux et paniqué. La peur ultime de la perdre. À seize ans, il est trop tôt pour mourir. À dix-neuf ans, c'était un compromis. Pour la sauver, elle. Ce n'est qu'une fois le corps foudroyé, les balles t'enfonçant un goût de fer dans la bouche, te maculant le menton de sang, que tu as compris. L'ironie de la situation, ton père t'ayant toujours comparé à un bouclier pour la jolie blonde. La séparant du danger. L'écartant de la mort, semble-t-il. Une mission mené à bien, à terme.

Douze balles, un hasard - ou pas - dans le corps et tu trouves encore le moyen de sourire à Zorya. Y'a ta main qui tremble alors que tu voudrais la toucher. Que tu cherches comment lui avouer tout ce qui brule en toi pour elle. La lueur qu'elle a semé dans ta poitrine, qu'elle alimente dans ton ventre. Mais les mots manquent, ton coeur lâche et c'est en la fixant, que tu t'éteins. Tu as le vague souvenir de ses sanglots, de ses larmes qui pleuvent sur toi. Puis, c'est Khovala qui t'a trouvé, qui a remué en toi, alors que ton corps refroidissait sans la chaleur de ta princesse - déjà perdu au loin, prête à en découdre avec les dragons et y perdre son étincelle. Khovala qui aura chuchoté dans ton esprit, ses douze yeux scrutant ton âme, s'enfonçant à travers les perforations.
- Toi aussi, tu rougeoies dans l'ombre, petit homme. Toi aussi, tu auras sut faire disparaitre un trésor, la fille leur a échappé. La fille ne survivra peut-être pas, mais toi si. Je vais te guider. Laisse moi te montrer.

Rien n'a été effacé de ta mémoire, pas plus la voix aérienne et ancienne de ce qui cohabite en toi aujourd'hui, que le soubresaut de ton corps. Les balles qui cliquètent en chutant au sol. Les douze marques, semblable à des yeux sur ta poitrine, déjà cicatrisées. Rescapé, tu t'es élancé à son secours à elle. Mais à ton arrivée, elle ne riait plus et toi, tu rougeoyais déjà - là sur cette masse de cadavre, vos tueurs achevés par Gorgonia. Depuis, tu protèges farouchement votre secret commun, votre humanité comme une virginité perdue ensemble, sans trop comprendre. Sans trop savoir, sinon que personne ne doit savoir.

8. le monde délétère.
Tu vis dans l'illégalité, n'ayant soufflé mot à qui que ce soit - outre ton épouse Zorya, compagne de malheur et de renaissance - de ta transformation. De fait, tout le monde te croit toujours humain - une situation qui t'arrange, même si le secret se fait parfois lourd à vivre. Surtout lors des contre-coups, les faiblesses de ton colocataire corporel pour châtiment. Forcé de mentir et de dissimuler ce que tu es et les tares qui te compliquent parfois l'existence - tes yeux n'étant plus ce qu'ils étaient - tu subis en silence la différence. Tu ne nies pas ce que tu es, mais tu dissimules et excuses, cherche des symptômes humains à ce qui te gruge l'âme et alors, avec Zorya, vous vous bercez d'illusion. Comme si elle ne t'avait jamais entrainé dans cette ruelle dangereuse. Comme si tu ne lui avais pas sauvé la vie, pour ensuite l'envoyer à l'abattoir. Il est de ses sujets qu'un couple préfère éviter... vos morts jumelles en est la cerise. Quant à Khovala, sa voix flotte toujours en toi, suggérant et conseillant. Il n'a pourtant pas l'intention de prendre le contrôle de ta destinée, il n'est là que pour chuchoter, que pour se nourrir de lumière et de tes malheurs.

9. les ombres-mères.
PHASE NUMERO 3 - Déni. Le refus d'utiliser ce qui est sien, le pouvoir légué. Le sauveur, terrible créature ayant élu domicile dans sa carcasse, est repoussé. Rejeté. Desislav ne veut pas être différent, refuse de perdre tout ce qu'il est censé devenir - être.

FACULTE N°1 - Lampyridae : Comparable aux lucioles et vers luisant, tu rougeoie dans l'obscurité. Il suffit que tu le veuille et que tu contractes le muscle conscient qui projette la lumière emmagasiné dans ton corps, pour que tu deviennes un lampion humain. Lueur rougeâtre qui t'entoure alors comme un halo - la couleur s'expliquant du fait que la lueur vient depuis l'intérieur de ton corps. Tu contrôle d'ailleurs - plus ou moins bien cependant - le degré de luminosité de cette faculté.

FACULTE N°2 - Mange Lumière : Cette capacité se rattache de près à ta première faculté, qu'elle nourrit en quelque sorte. Comparable au processus d'un panneau solaire, tu emmagasine l'énergie solaire t'entourant, mais pas seulement. Parce que si tu peux absorber la lumière baignant une pièce - et ainsi en diminuer la force, assombrissant la dite pièce - tu peux aussi te nourrir de la lumière électrique, plongeant l'endroit dans l'obscurité. Si tu ne peux digérer qu'une petite partie des rayons solaires (c'est à dire que tu ne peux pas plonger dans le noir, une pièce en pleine journée) tu peux avaler toute la lumière électrique, sans grand effort.

FACULTE N°3 - Vision Aveugle : Pour peu que tu aies un contact visuel avec un objet (humain y compris), tu peux le rendre invisible pour les autres. Rien à voir avec de la magie, parce que tu n'arraches pas réellement l'objet à ce monde, tu te contentes de manipuler les lois régissant sa perception. La réfraction de la lumière sur ce dernier, sa distance. Il n'est alors visible que pour toi.
- Évidemment, beaucoup de facteur sont à prendre en compte : la taille de l'objet, le nombre de yeux s'y déposant et la duré de la fameuse disparition. Tout ceci te coûte au final, exige de ton esprit, de ton regard. C'est un peu comme de tenir un objet, plus tu te concentres sur l'objet et plus il peut être dissimulé, mais il laisse une empreinte sur ton esprit. Te fatigue. De fait, tu ne peux pas faire disparaitre « définitivement » un objet.


FAIBLESSE N°1 - Distorsions Visuelles : Épicentre de tes facultés, tes yeux sont aujourd'hui synonymes de pouvoir et de faiblesse - l'un n'allant pas sans l'autre. De fait, chaque utilisation créer te créer des troubles oculaires : cécité nocturne pour commencer ou l'incapacité à voir quoi que ce soit dans l'obscurité. Tes yeux ne s'habituent ainsi jamais à la pénombre et tu te retrouves aveugle, les mains tendues devant toi. Et quand tu te montres trop gourmand de lumière, que tu t'amuses à jouer à la cachette visuelle, des cataractes font leur apparition - subite et qui se résorbe naturellement au bout d'un plus ou moins long moment. Les symptômes sont alors classique : vue qui se brouille (jusqu'à l'incapacité de pouvoir lire, au plus fort des crises), perte du contraste, halos et éblouissements face aux lumières vives.
- Si la cécité nocturne, ainsi qu'une dyschromatopsie (daltonisme) ayant fait son apparition peu après ta transformation, ne te quittent jamais, les cataractes ne sont pas permanentes. Les crises sont toujours relié à l'utilisation de tes facultés, qui en influence la gravité.

FAIBLESSE N°2 - Montée Thermique : Absorber de la lumière à bien des avantages mais te réchauffe aussi l'intérieur du corps. Aussi, tu as aujourd'hui l'habitude d'une faible fièvre permanente, la température de ton corps ayant augmentée avec l'apparition de Khovala dans ton existence.
Cependant, il suffit que tu avales un peu trop de lumière, surtout celle électrique - la plus commune dans ton cas - pour que ta fièvre prenne de l'ampleur et évolue parfois en hyperthermie. La faute à toute la chaleur emmagasinée, sans issue de secoure (et ce, même si tu tentes de briller plus fort.) S'en suit alors les symptômes habituels : étourdissements, nausées et vomissements, sudation excessive, maux de tête et somnolence. Une crise peut se présenté à tout moment, dès que tu dépasses la limite de lumière nécessaire à ton organisme ou bien des heures plus tard - crises qui durent normalement entre 24h et 48h, quand elle ne te pousse pas en direction de l'Explosion Crânienne.

FAIBLESSE N°3 - Explosion Crânienne : Migraine fulgurante.
Faire disparaitre un objet exige énormément d'énergie à ton esprit, de fait une migraine n'est jamais bien loin, quand tu décides de jouer au magicien. Depuis le petit mal de tête, presque bénin, à la migraine fulgurante, tout est lié à ton utilisation de ta faculté qui te sert le plus - du moins en tant qu'avocat. Il n'est pas rare, non plus, qu'une migraine soit le résultat d'une montée thermique qui refuse de se calmer.
La durée de tes migraines varient en fonction de tes efforts, mais elles durent toujours plusieurs jours - jamais moins de trois. Tu supportes alors difficilement la lumière et les sons, il te faut beaucoup de repos et d'isolation. Puis, il y a les fortes crises, aka dès que tu utilises ta vision aveugle plus d'une minute ou/et sur un objet plus grand qu'une boite de céréale ou/et devant plus de dix personnes. Celles-ci durent un minimum de cinq jours, où les symptômes varient en puissance, mais refusent de disparaitre avant la fin. Étourdissement, nausée et hallucination (visuelle et/ou auditive.) Aussi bien dire que dans ces cas-là, tu ne sers plus à rien.


pseudonyme : bat'phanie. âge : 31 ans. pays : Canada. comment as-tu connu le forum ? via Esfir, évidemment. des questions, des suggestions ? Outre le fait que j'aimerais bien - si c'est possible - qu'une petite place soit ajouté pour les avocats relié au Bolshoy (si si, les Naoumov le sont pour les Domachev depuis quelques générations déjà) absolument pas. Tout est parfait !  Slave of Zorya 1191760433  crédits : terpsykore & flawmingo.

  Mar 4 Juin - 9:27
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Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Desislav Naoumov
Impétuosité : 47
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my story begins
mes épopées


1986 - (naissance)
On fait les cents pas dans le corridor alors que ta mère hurle, gémis, se lamente - meurs à petit feu. Le fruit de ses entrailles se fait désirer, hésite à se présenter : tu n'es pas prêt. À quitter la matrice - le ventre chaud de ta mère. Seulement ils insistent et tu pousses ton premier hurlement, avant de te taire, te contentant de sangloter. De pleurer ta perte. Le monde, trop froid - à jamais trop froid pour toi. Anisim vient enfin d'avoir son premier enfant, un fils - et en soit, voilà qui suffit à satisfaire tout le monde. C'est déjà décidé, alors que tu commences tout juste à somnoler : tu seras leur fierté.

1992 - (6 ans)
Assis sur une chaise en plastique, tu serres les dents et les poings. Au supplice, alors que dans la pièce voisine, ta mère reprend ses chants de souffrance. Tu vas bientôt avoir un petit frère et on arrête pas de te répéter que tu dois être fier - mais de quoi ? de qui ? Tu ne comprends rien, sinon que les enfants arrachent les entrailles de leur mère en naissant. Puis, tout s'apaise, un bébé prend le relai - hurle à la mort. Tu sursautes et ton père soupire, te tapotant le dos. Il faut que tu t'endurcisses, Desi, tu es maintenant un grand frère et ce genre de titre s'accompagne de son lot de responsabilité. Tu fais dès lors ton possible, pour être à la hauteur des attentes paternelles, pour consoler ce fameux petit frère. Miromir, celui qui pleure trop souvent, celui beaucoup trop turbulent. Et quand on parle de t'offrir un second exemplaire, tu es le premier à secouer la tête. Pourvu que non.

1995 - (8 ans)
Y'a la main de ton père qui appuie sur son épaule, pour t'empêcher de bouger - même si c'est en vain. Tu n'iras nulle part, tu n'es pas ce fils là. Et devant toi, un autre homme - les mains libres, lui - ainsi qu'une petite fille : Zorya. Elle commence l'école et tu dois veiller sur elle, un ordre de ton père - celui de la petite fille ne semblant pas avoir de réel intérêt pour la situation, sinon acquiescer. Il s'en va déjà, mais ton père reste. Serre doucement ton épaule pour se pencher et t'expliquer combien la petite blonde est spéciale : une princesse. Dès lors, et même si elle est la première à pousser Miromir au sol, dès qu'il l'embête, tu fais d'elle ta mission. Tu te fais chevalier - et un peu arbitre aussi. Alternant entre être le frère de l'un et le protecteur de l'autre.
Tu n'hésites d'ailleurs pas longtemps et tu t'attaches à l'enfant délaissée, quitte à négliger ton propre sang. Ton père pourrais te le reprocher, mais les années files et il n'en est rien. La loyauté, même à un âge aussi dérisoire, vaut son pesant d'or. Non, tu continues de faire sa fierté, une quête qui n'est pourtant plus tienne - celle de la princesse pour priorité. Et à travers vos jeux d'enfants et tes observations - trop sérieux pour un enfant qu'aime chuchoter ta mère, tard le soir - les lignes deviennent flous. Bientôt tu ne sais plus ce qui compte le plus : que Zorya soit heureuse parce qu'elle est une princesse mal-aimée ou parce qu'elle est ton amie.

2002 - (15 ans)
Allongé sous un arbre, tu fixes avec obstination le ciel à travers les branches. Parce qu'encore une fois, tes projets sont annulés. Tombé à l'eau, comme les quatre autre rencards prévu au cours de l'année. Que fais-tu donc aux filles, pour qu'elles ne veuillent déjà plus de toi au bout d'une seule sortie ? Le pire, c'est qu'à chaque fois, tout semble très bien aller. Tes copains peuvent bien se moquer, toi tu n'en ris plus - à ce stade, tu ne même plus feindre la nonchalance. Miromir aime rire et dire que c'est la faute à ta tronche, mais il n'y est pas. Il est trop petit encore, pour comprendre. Un peu comme Zorya, que tu surveilles du coin de l'oeil - mais pas avec la dévotion habituelle. En fait, depuis l'année dernière, tu t'écartes gentiment d'elle - ce qui est tout à fait naturel, ton père te l'a confirmé. Tu es presque un homme maintenant, tu n'as plus l'âge de rechercher la compagnie d'une petite fille - même si en réalité, tu la préfères nettement à ton frère.
Non, tout engoncé que tu es dans tes malheurs, imaginant tous les baisers que tu rates, tu ne portes plus suffisamment attention à ta princesse. Mais tu le devrais, foi de Miromir, qui bientôt te soufflera que c'est elle la coupable. Qu'il l'a vue, s'attaquer verbalement à ta dernière petite amie express - aussitôt intéressée, aussitôt envolée. Ton frère, pas ton favoris même en étant l'unique, que tu n'écoutes pas. Que tu grondes aussitôt - personne ne parles ainsi de Zorya. Parce que t'es drôlement naïf, Desislav, trop sentimental envers une petite fille qui n'a plus rien de sucrée.

2005 - (18 ans)
Tu presses le pas, quitte à t'emmêler les jambes, alors que tu fuis. Zorya et son rire, pas aussi innocente qu'elle veut bien te laisser le croire quand elle papillonne des yeux. Quand elle c'est mise à se changer, devant toi. Sans crier gare, alors que son corps devient femme. Qu'elle prend des allures de Lolita fatale. Ce n'est pas bon pour toi, pas depuis que tu as remarqué la rondeur de ses hanches ou le creux invitant de son ventre. Non, tu ne dois penser à tout ça, alors tu presses encore le pas, tu t'élances plus loin - la course pour oublier. Pour tenter d'effacer les images qu'elle enfonce dans ta tête depuis déjà deux ans. Tu peux prendre entendre le rire de Miromir, là dans ta tête, qui te nargue sur ta candeur. Elle ne c'est pas mise à poil - pas encore, mais tu crains de plus en plus les moments passés seuls avec la belle blonde - mais c'est tout comme. Parce que tu es encore puceau, que se moque ton frère. Plus jeune et pourtant plus expérimenté. À qui la faute ? La tienne, certainement. Absence totalement de talent en matière de femme, trop timide que tu crois. Peut-être trop rapide, vu combien tu cours souvent depuis que ta princesse a commencé à jouer avec tes nerfs.
Mais il y a aussi ton frère, les traits pincés, la voix dure, qui te répète que tu n'es qu'un idiot. Trop prompt à croire tout ce qui émerge de ta protégée - ton père joignant, dernièrement, sa voix à la sienne. Il est bon d'être loyal, il est même tout à fait honorable d'être aussi dévoué à celle qui sera un jour ton employeur - l'empire Domachev pour saint patron. Mais tu vas commencer tes études de droits, tu dois apprendre à douter, à questionner. À voir sous les belles images, quand bien la dentelle qu'elle enfile te fait rougir jusqu'aux oreilles. Si tu veux pouvoir, un jour, prendre la place de ton père et devenir le gardien de la Bolshoy, tu dois ouvrir les yeux. Plus grand encore. Il ne suffit pas d'être discret et de savoir observer, encore faut-il savoir où poser les yeux. Mais tout se rattache à elle. Zorya comme une douce torture, le tison qu'on enfonce dans ton ventre. Encore un an et tu comprendras, Desislav - ton père l'a promis.

2006 - (19 ans)
Ton père t'as fait nombre de promesse - son cabinet, sa place, l'empire Domachev pour bannière - mais ta survie n'en faisait certainement pas partie. Non, ton existence ne tient qu'à toi - ou pas, puisque c'est Zorya, la princesse de sang, qui t'entraine vers ta fin. La mort pour résultat direct de ta fidélité auprès de celle qui détient le palpitant qui t'abandonne et tes pensées qui s'embrouillent. Ton aveu du soir - si seulement c'était là une soirée normale - s'éteint avec la lueur au fond de tes yeux. Parce que tu l'as vu avec l'une de ses filles et que tu veux réclamer de la remplacer - le courage t'échappant maintenant avec la vie. Mais tu n'en as pas la chance. Tu saignes à la place de quoi. Et quand tu te redresses, tu n'es déjà plus le même. Zorya non plus.
Ta main trouve toutefois la sienne et les cadavres sont abandonnés, non pas sans que vous modifiez l'angle de quelques corps - ceux de chaires, ceux de fer. Et cette fois, tu ne la ramène pas chez elle mais chez toi. Dans ta petite chambre, Miromir au bout du corridor. Le temps de vous nettoyer. Le temps de t'assurer qu'elle vivra - et donc, toi aussi du même fait. Le monde ne peut continuer de tourner sans elle. Tu songes à l'embrasser une centaine de fois, mais tout est trop étrange. Vos mains qui tremblent, les marques sur ton corps. Non. Le courage s'en est envolé, ne reste que la panique - que le secret sanglant de ce que vous êtes devenus. Celui qui resserre un peu plus vos liens, qui scelle vos destins - tu en es convaincu. Vous n'êtes plus seulement des amis, vous êtes maintenant des partenaires - pour le meilleur, mais surtout, à travers le pire.

2010 - (23 ans)
Enfoncé dans ta chaise, tu laisse retomber ta tête vers l'arrière. Là où la lumière du plafonnier traverse presque tes paupières. Il doit être trois heures du matin et tu peines à lire, la vue trop abîmée. Un souci dont tu n'oses pas parler, que tu refuses de reconnaitre - parce que tu ne veux pas avoir changé. Pas maintenant que tu as rejoins le cabinet et que tu entâmes ton master. Non, tu es l'homme que ton père espérait te voir devenir - tu ne peux pas être l'homme aux douze yeux, pas sans avoir retirer ta chemise. Il faut que tu bosses encore un peu, que tu te concentres, que tu trouves un trou dans les mailles du filet - celui qui tente de se refermer sur quelques hommes de mains de la Bolshoy, celle à qui tu as juré fidélité il y a déjà longtemps. Pas seulement parce que ton père t'a montré le chemin, non tu as appris à réfléchir et voir sans aide, mais pour elle. Pour ne jamais quitter Zorya, parce que plus que de t'enrichir en sauvant les miches des criminels de Moscou, c'est son empire que tu souhaites protéger. Pour son bon plaisir, à elle. Miromir peut continuer de cracher sa désapprobation à tes pieds, il n'est jamais qu'un petit frère jaloux. Que tu sois la relève familiale, que Zorya n'ose pas même poser les yeux sur lui - que tu l'aies choisis, elle, à sa place. Sans en éprouver de regret. Sans aucune honte.
Tu te frottes le visage, mais quand tu soulèves les mains, tu réalises qu'elles luisent. Un froncement de sourcil et tu repousses Khovala, tes mains redevenant normales. Et comme chaque fois que tu reprends contact avec tes « pouvoirs », tu songes à la princesse. Celle à qui tu envoies un sms, pour savoir si tout va bien, si elle est rentrée. Certaines choses n'ont pas beaucoup changé, quand bien même tu es aujourd'hui un adulte - trop occupé pour la suivre partout, comme autrefois. Non, tu as déjà quelques hommes, de jeunes recrues, qui s'en charge. Qui te sms à chacun de ses mouvements. Tu as vaguement conscience d'en faire trop, mais elle ne comprend pas son importance. Rien à voir avec son statut de princesse à dent, non c'est tout son être dont tu ne peux pas te passer - ni avant, ni maintenant. L'écran de ton téléphone s'illumine alors et un sourire au coin de la bouche, tu réponds à la sirène qui t'a envouté, celle qui n'a plus envie d'être babysitter. Celle qui refuse pourtant de voir toute l'affection que tu lui portes, qui préfères jouer perpétuellement de vos limites - amis et plus que ça tout à la fois. T'as un dossier à achever, mais pas avant d'avoir entendu sa voix. Pas avant de savoir qu'elle est crevée et donc, incapable de faire plus de dégât. Pas avant de la savoir sagement allongée dans son lit, alors que toi, tu te tue pour sa famille.

2014 - (27 ans)
Les mains croisées devant toi, tu t'efforces de fixer le sol. Celui-là même où on enfonce la seconde fille Domachev, la soeur de Zorya, qu'on a trouvé morte dans une ruelle. Tu tâches de ne pas prêter attention aux sanglots de la mère, évite de croiser le regard vide du père. Tu as bien pris la main de Zorya, durant l'éloge funéraire, mais ici le geste te semble déplacé. Trop intime. Trop agréable pour un moment qui ne l'est pas. Et puis il y a le doute - celui qui n'en est pas un - parce qu'au fond tu sais qui a pu tuer la jeune fille. Nul besoin de Miromir cette fois, pour te secouer, pour te faire réaliser que la déesse que tu vénères est à l'image de ce qui la possède. Gorgonia, femme fatale au regard mortel. Au coeur, de pierre - peut-être, même si tu rejettes la possibilité. Tu as reconnu sa façon de faire, tu as dissimulé plus d'un cadavre ressemblant à la cadette Domachev. Quand la blonde n'a pas sut se retenir, quand la blonde a été attaqué, quand la blonde n'a pas fait attention et qu'elle a du éliminer les témoins de tes propres échappées. Devrais-tu craindre pour la vie de la benjamine ? Est-ce que Zorya oserait tuer sa seconde soeur ? Sais-tu seulement le lui reprocher ? Y faire face ? Non.
Tu refuse de la souiller du sang de sa soeur, quand bien même tu vois presque le carmin lui mouiller les mains. Sankta Zorya, ton icône religieuse personnelle, est de toute manière, drapée de rouge. Le sang des autres pour robe du soir. Celui de sa soeur comme une couronne d'épine. Et alors qu'on enfouis la victime - de ses propres travers, oui - toi tu songes à ton frère. Saurais-tu assassiner Miromir ? Il suffit que tu le fixes pour que ton frère fronces les sourcils et te questionne d'un mouvement du menton - non, tu ne pourrais pas. Peut-être n'as-tu jamais été un « bon » frère, l'abandonnant au profit de la muselière plaquée or d'un ange terrible, mais tu l'aimes. À ta façon. Avec une distance qui, tout compte fait, le protège davantage.

2018 - (31 ans)
Les mains te démangent, comme à chaque fois où Zorya se glisse dans ta chambre. Dans ce petit appartement que tu possèdes, tout près de son château. Pour mieux veiller sur elle. Pour être disponible en tout temps, surtout au plus tard de la nuit, lorsque la fatigue encourage les écarts de conduites - qu'elle créer parfois des victimes. Et pourtant, ce matin elle ne te parle pas de faire disparaitre un corps, non. Il est trop tôt, tu devrais le savoir. Tu es à peine réveillé, te frictionnant le visage, pour ne pas la toucher. L'attirer plus près et prendre ce qu'elle aime trainer sous ton nez, sans jamais rien offrir. Son corps comme une relique trop précieuse, interdite. Jusqu'à ce qu'elle exige que tu l'épouses et que tu recraches ton café partout sur ton pantalon de nuit. Et pour une fois, elle ne se fiche pas de toi. Non, elle attrape plutôt du papier et un stylo, commence à t'expliquer comment vous allez vous y prendre. Parce que son père ne fait pas les choses comme les autres et que des hunger games maritales ont été mis en place. Le plus fort obtiendra sa main, une annonce qui t'offusque au plus haut point, qui te fais te redresser. Mais elle te ramène près d'elle, réclamant ta concentration. Parce qu'elle compte s'assurer que toi seul - ce qui est un autre choc, tien - soit l'ultime gagnant.
Comment un avocat peut-il seulement obtenir la main d'une princesse mafieuse, hein ? Zorya sait. Elle organise toute l'affaire, poussant une branche de son empire sous les roues d'un tank qui roule à toute allure. Celui duquel tu dois les sauver. Un sauvetage que tu accomplis sans grand effort, puisque tous les témoins ont en réalité été acheté - leur dévotion rattaché à celle qui prendra un jour le pouvoir. Du moins, c'est l'idée. Tu gagnes ainsi la fille, sans véritable preuve de ton talent - sinon ta loyauté envers la blonde. Celle que tu auras su convaincre de ta valeur, Zorya prête à partager son existence avec toi. La nouvelle enchante tes parents, ta mère terriblement soulagé d'avoir eu tort sur ton homosexualité et ton père, fier comme un paon que tu sois le roi de la montagne. Il n'y a que Miromir pour s'y opposer, craignant que tu ne t'enfonces trop profondément dans les ennuis en compagnie d'une veuve noir. Vos noces seront donc célébrés sans ton frère pour te servir de garçon d'honneur, ce dernier brillant par son absence - geste que ton père ne lui pardonne toujours pas aujourd'hui. Un autre crime que Miromir t'installe sur les épaules.

2019 - (32 ans)
Allongé de ton côté du lit conjugal, tu observes Zorya achever sa routine du coucher. La peau qu'elle expose par parcelle, sans jamais te laisser la toucher plus que de mesure. Vos baisers sont presque compté, tant tu crains de la brusquer - de la choquer, par le feu qu'elle fait bruler en toi. Celui que tu étouffes depuis toujours, un peu plus difficilement depuis qu'elle est devenue tienne. Que tu as été son choix - ou bien le moindre des maux, comme aime le souffler Miromir. Et alors qu'elle s'installe près de toi - cependant jamais suffisamment près - tu te lances et la questionne sur son père. Si elle est certaine de ce qu'elle fait. Si elle est consciente du danger encouru en soufflant ainsi des informations à son oncle. Parce que c'est là ton rôle : veiller sur elle, t'assurer que rien ne lui arrive. Elle ne peut pas mourir une seconde fois, tu ne le permettrais pas. Mais Zorya possède un rôle tout aussi essentiel : c'est elle qui prend les risques, jolie araignée tissant perpétuellement des toiles où faire tomber ses victimes. Son père est le prochain à être dévoré et si tu pourrais probablement le sortir de cette situation délicate, tu ne le feras pas. Pour elle. Quitte à remettre en question ton talent professionnel devant les Domachev et la Bolshoy. Puis, tu t'allonges en silence contre elle, son petit corps protéger par le tien - bouclier jusqu'à ce que la mort t'arrache à elle.
Lorsque Anastass hérite du pouvoir, tu te trouves auprès de Zorya - n'inclinant la tête que pour elle, à sa suite. Prêt à suivre ses prochaines machinations, à les faire tiennes. Pour le meilleur comme pour le pire. Quitte à éliminer tout ce qui lui est relié par le sang, si c'est là son souhait le plus cher. Les Domachev masculins, à faire tomber comme des dominos - de quoi te confirmer qu'il était plus sage de rester un Naoumov, tout compte fait.
  Mar 4 Juin - 9:27
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Esfir Lolkova
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Esfir Lolkova
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Slave of Zorya 2919754727 Que de bonheur de te voir poster la fiche de ce personnage! Je frétille sur ma chaise, si si!

Mais ce titre! Tu veux me torturer à force de rire, AVOUE! Slave of Zorya 51156128

Re-Bienvenue par ici! Slave of Zorya 2136453308
  Mar 4 Juin - 9:36
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Dmitri Romanov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Dmitri Romanov
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Re-Bienvenue ici ! Slave of Zorya 1095273054
  Mar 4 Juin - 19:04
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Dorreh Glazkov
MY MIND IS POWER
Dorreh Glazkov
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Armie THE Hammer !!!! Slave of Zorya 488847182 Slave of Zorya 2136453308 Slave of Zorya 1854227859

Ce choix de vava et ce perso qui se dessine ! Jai trop hate den lire plus !

Bienvenue parmi nous et courage pour la fichette Slave of Zorya 960012781

(sorry pour les fautes, les QWERTY cest de la mierda)
  Mar 4 Juin - 20:02
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Zorya Domacheva
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Zorya Domacheva
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*Tape une fesse, puis repars* Slave of Zorya 2439086049
  Mar 4 Juin - 22:03
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Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Desislav Naoumov
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@Esfir Lolkov j'avoue tout, je ne vis que pour te torturer - le rire, c'est la santé. Slave of Zorya 1686762583
Et merci à toi de m'avoir donné envie de DC, vile tentatrice ! Slave of Zorya 985036731 (puis Zorya, elle tape autant qu'elle veut hein, je dis ça moi, je dis rien... Slave of Zorya 4163681271)

@Andreï Yuri merci bien très cher ! Slave of Zorya 1728191175

@Dorreh Glazkov hell yeaaaaaaah ARMIE !!! Slave of Zorya 1431047942 (moi aussi je suis faaaaaan, même si je ne le laisserais pas trainer près du rayon des pêches... Slave of Zorya 2586557183)
Et merci encore ! Slave of Zorya 1724487270 Ne t'inquiètes pas avec les fautes, même sur le PC, j'en fais plein. Arrow
  Mer 5 Juin - 4:08
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Dahlia Cohen
RULE THE MONSTERS WORLD
Dahlia Cohen
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Ouh toi. Slave of Zorya 3916280402

T’es tellement bieau. Slave of Zorya 4163681271
T’es tellement propre. Slave of Zorya 4163681271

Je suis toute chose.
Slave of Zorya 2439086049
  Mer 5 Juin - 5:09
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Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Desislav Naoumov
Impétuosité : 47
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@Dahlia Cohen c'est moi, coucou toi. Slave of Zorya 3916280402
J'aime beaucoup comment tu souligne que je suis propre, une bonne hygiène personnelle c'est la base. Slave of Zorya 2736461067 (messieurs prenez des notes Slave of Zorya 4163681271)
Dans tous les cas, c'est toujours un honneur de te rendre toute chose. Slave of Zorya 1320501379 Slave of Zorya 2287495546
  Mer 5 Juin - 8:16
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Orphédia Bellavance
RULE THE MONSTERS WORLD
Orphédia Bellavance
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Honte à moi, je ne suis pas passée ici pour vénérer ton personnage Slave of Zorya 488847182
T'es bô, t'es frais, tes facultés, ma vie, ta créature, Seigneur, et la relation avec Zorya, je n'ai que trop hâte de la voir, foui foui foui Slave of Zorya 4163681271
Rebienvenue par ici, j't'aime déjà un peu trop Slave of Zorya 1854227859
  Mer 5 Juin - 9:48
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Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Desislav Naoumov
Impétuosité : 47
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@Orphédia Delacroix moi je pars du principe que tu ne peux jamais « trop m'aimer » tu sais... Slave of Zorya 3916280402 Slave of Zorya 1191760433
Alors je t'en prie, arrête pas. Slave of Zorya 2136453308 J'espère que Desi sera à la hauteur ! Slave of Zorya 1737321794
  Jeu 6 Juin - 1:49
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Invité
Invité
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Tu es si si ouf monsieur Slave of Zorya 488847182 Slave of Zorya 488847182 Slave of Zorya 488847182 Slave of Zorya 488847182

Rebienvenue par chez toi Slave of Zorya 1686762583
  Jeu 6 Juin - 8:52
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Dahlia Cohen
RULE THE MONSTERS WORLD
Dahlia Cohen
Impétuosité : 207
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tu es validé !
bienvenue !

Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie

je suis tellement amoureuse de ce gaillard. le pauvre malheureux, englué dans la toile de Zorya. il me tarde de les voir évoluer ensemble ! J’A-DORE ! Slave of Zorya 1191760433

Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille ! Tu peux également aller demander ta récompense pour avoir terminé ta fiche dans le système de points ! N'oublie pas que tu pourras aller en demander, ou en dépenser, tout au long de ton aventure.

Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis !
  Jeu 6 Juin - 8:55
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