Ludmilla Vodenicharova MONSTER UNDER YOUR BED  |
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| Ludmilla Adina Vodenicharova gal gadot 1. mon nom dans les airs.
Ludmilla en l’honneur de la sainte du même nom. La faute à grand-mère, terriblement pieuse. Adina ou le vain espoir que la petite fille soit plus paisible et délicate que le reste des siens. Mauvaise pioche, bien entendu, le sang en ébullition de son père, hurlant déjà dans ses veines. Vodenicharova pareille à un cri de guerre, famille de soldat, famille de guerrier. Elle n’a jamais douté de ce qu’elle deviendrait.
2. mes cris sur la terre.
C’est de l’autre côté de la mer noire qu’elle a vu le jour, la Bulgarie pour berceau, Varna et son port, pour terrain de jeu. C’est auprès de la mer qu’elle a grandit, grand-père passant pêcheur une fois sa carrière militaire, au sein de la flotte, achevée. Or, entre un père militaire – et donc souvent absent – et une mère n’ayant pas survécu a un cancer, ce sont les grands-parents Vodenicharova qui l’ont élevé et aimé depuis déjà 36 ans.
3. mes tourments ventriculaires.
Hétérosexuelle par défaut, plutôt que par expérience, Ludmilla n’a jamais expérimenté en dehors des chemins tout tracés. Par la société, mais surtout, par les conseils et histoires de sa mamie. De fait, elle c’est casé il y a déjà une douzaine d’année – dix où elle a été mariée, mais elle ne compte plus, tente d’oublier. Officiellement, elle n’est toujours pas divorcée, mais elle considère que la warg qu’elle est devenue, ne possède aucune attache avec l’homme qui l’a trop longtemps possédé. Célibataire pour l’instant, elle convoite la position – à défaut d’une relation – de compagne de son alpha. Nikolai pour objectif, pour doudou qu’elle n’ose pas encore tout à fait, mordiller. Ça viendra...
4. mes espoirs éphémères.
Chez les Vodenicharov, ont nés soldats, même de père en fille. De fait, c’est vers les forces de l’ordre que Ludmilla c’est tourné. Ayant toujours rêvé d’une carrière militaire à la hauteur de celle de son père – et de son grand-père, tien – ce n’est pas par manque d’envie qu’elle n’a pas poursuivie son service militaire, mais par nécessité. Il faut comprendre que si le combat l’appelle, Ludmi reste majoritairement une louve qui défend, qui protège. Or, ses grands-parents ont joués un grand rôle dans son éducation – remplaçant père et mère. C’est donc leurs âges avancés et leurs soucis de santé qui l’ont retenus sur terre – abandonnant la flotte et son possible futur. Ainsi, c’est le commissariat de Varna qui l’a accueillis, qui lui a même présenté son futur époux. Mais aujourd’hui, sa vie à bien changé et c’est plutôt au sein de la compagnie de sécurité privée MENACE, qu’elle se refait. Petit à petit. Un jour à la fois. Auprès d’un homme qui lui redonne, tout aussi prudemment, envie de faire confiance au sexe fort.
5. mon cocon mortifère.
Protectrice - Anxieuse - Loyale - Fragile - Franche - Méfiante - Généreuse - Possessive - Encaisse très bien - Jalouse - Patiente - Excessive - Fiable - Fait du zèle - Combattive - Rancunière - Persévérante - Intransigeante - Déterminée - Besoin d'être entouré - Tactile - Nerveuse - Organisée - Opiniâtre - Maternelle - Têtue - Possède un excellent sang-froid - Frondeuse - Prudente - Rouspéteuse
6. la gangrène sanguinaire.
Warg, loup fait humain, deux pattes au lieu de quatre. L’esprit aiguisé, les griffes encore davantage. La colère qui gronde dans le ventre, affamé de justice et de nouveaux combats. Quitte à chercher l’apocalypse, pour peu qu’elle redresse ce monde de fou. Le besoin constant de protéger les siens, les autres wargs pour nouvelle famille. Un soutient / mal, nécessaire. Puis il y a la franchise, les filtres qui se dissipent en même temps que le corps disparaît dans l’ombre. Il y a le combat constant, entre l’humain et l’animal, celui dissimulé à l’intérieur, celui qui ressent tout.
7. l'existence secondaire.
C’est Zarko qui à appelé la louve jusqu’à elle. Son tendre époux, sa terrible moitié. Jusqu’à ce que la mort nous sépare, qu’ils ont jurés, tous les deux. Elle y a cru, Ludmilla. Elle espérait si fort, que l’amour pouvait être éternel, que ses excès de rage n’était jamais que passager. Elle a pardonné, encore et encore, quand son époux se fâchait. Quand les enfants ont commencés à devenir « trop » pour lui et que le ton est monté. Que les coups ont commencés à pleuvoir. Oh, il avait déjà fait preuve d’une « main ferme » par le passé, avant Milan et Nikol. Mais jamais autant. Jamais aussi longtemps. Le mois précédant la dernière correction, gracieuseté de Zarko, Ludmi aura exprimé quelques craintes à ses proches. Sa grand-mère lui aura bien suggéré d’achever le salaud, seulement la flic en elle s’y est refusé. Alors c’est elle, qui a du y passer. Les scrupules de la mère, n’étant visiblement pas partagé par le père.
Le corps disloqué, Ludmilla a cru que son combat était terminé. Que plus jamais elle ne pourrait défendre ses enfants, qu’elle les laissait – bien malgré elle – à la merci d’un homme cruel. Et à travers sa souffrance et son désespoir, les cris muets lancés par des yeux qui s’éteignent trop rapidement, Hati et Sköll sont venus à elle. Pour recoller les morceaux épars et consoler le coeur brisé. Quand son époux est revenu avec la voiture, prêt à y hisser son corps, Ludmi était déjà redressée. Vivante. Un miracle, en quelque sorte. Pour la mère retrouvant ses petits, mais aussi pour l’époux, savant mélange de soulagement et de sadisme. Prêt à recommencer. Beaucoup moins inquiet de la force à insuffler dans les coups à venir – parce qu’ils viendraient bien assez tôt, bien entendu.
Elle n’a pas tout de suite compris ce qu’elle était, naïve Ludmilla. Vaguement consciente des changements de son corps. Des ongles trop durs. De cette nouvelle haine pour le mensonge – évidemment que Zorka l’a frappé, mamie. De cette fascination – pour ne pas parler d’attraction – pour les ombres. Puis un jour, ce fut trop et Ludmilla – nouvellement louve – vint à montrer ses dents à son époux. Celui blanc comme neige, selon leurs collègues communs, le commissariat comme une bête pleine de tête. La gifle qu’elle se prit suffit à la convaincre. De serrer les dents, pour ne pas hurler. D’attendre son départ, une quelconque soirée entre homme, pour faire ses sacs et ceux des enfants.
C’est la louve qui lui aura insufflé la force de partir. D’arracher ses enfants à la brute et qu’importe si Milan l’a supplié de ne pas le faire. Que son fils aurait préféré rester avec son géniteur, Ludmilla n’a pas pu. Ne le pourra certainement jamais. Le divorce ne sera jamais prononcé, Zorka s’y refusant, mais la louve refuse de retourner auprès de son ancien compagnon. La peur au ventre, de le dévorer. De briser le coeur de ses enfants, trop jeunes encore pour faire autrement que d’idolâtrer un père jouant la comédie.
8. le monde délétère.
Ludmilla s’adapte plutôt bien à sa nouvelle condition, il faut dire qu’elle c’est toujours sentie « louve » à quelque part. De fait, elle ne s’inquiète pas trop des ongles trop durs – quand bien même elle abime nombre de vêtement et s’excuse constamment des égratignures dont héritent parfois ses enfants. La créature ne la dérange pas à proprement parlé, même qu’elle voit plutôt en sa nature de warg, un renouveau. Un soulagement : elle est moins faible. Plus apte à défendre ses petits. Toutefois, elle remet énormément en question sa présence à Moscou. Oh, évidemment, elle devait fuir Varna et la petite armée de son époux, mais pourquoi s’écarter tant de tout ce qu’elle connaît ? De plus, le quartier qu’elle occupe ne la rassure pas réellement – en réalité, si ce n’était de la présence des autres wargs, tout autour, elle aurait probablement continuer son chemin. Seul son émissaire, sait réellement l’apaiser, sa présence se voulant synonyme de meute. De réconfort.
Du reste, Ludmilla ne s’inquiète que de l’opinion de ses enfants. Parce qu’ils savent, jusqu’à un certain point, qu’elle n’est plus la même. Plus une victime. Plus aussi « faible » comme aimait le dire Zorka. Elle n’a d’ailleurs pas de préjugé quant aux autres créatures et encore moins, face aux mortels, mais elle se méfie. Tache de ne pas « paraître » changé, afin de rassurer sa marmaille. Afin de ne pas attirer d’ennui aux siens. Vers son fils, qui calque sa colère sur son géniteur – sans comprendre que celle gonflant en son ventre maternelle, est bien pire. Vers sa fille, qui pleure trop souvent et n’a de cesse de réclamer son père. Alors oui, Ludmilla à parfois honte, mais pas d’être louve. Honte de ne pas être assez forte, avec ou sans la louve. Heureusement, la meute est là pour les accueillir, que cela plaise ou non à Milan, qui réagit plutôt mal à tous ses étrangers qu’il doit maintenant côtoyer. Tout l’opposé de sa petite sœur, Nikol, qui semble plus souriante auprès de la bande d’adulte.
9. les ombres-mères.
PHASE NUMERO 1 – Traumatisme. Comme une absence, qui va et vient, alors qu’elle est censé achever de laver la vaisselle. Quand elle attend que Nikol soit installée au lit, pour commencer à lui lire son histoire. Quand elle fixe un client, sans comprendre qu’on attend une réponse de sa part, pas avant que Nikolai se racle la gorge. Ludmilla s’égare, pour peu qu’elle cesse de redresser ses barrières et de s’inquiéter pour tout et rien. Puis il y a la panique, qui remonte dès que le monde devient trop exigeant. Comme une proie qu’on pourchasse. Paranoïaque à ses heures, le visage de Zorka, dissimulé dans chaque coins sombres.
DON UNIQUE - Ombres Chinoises : Si les tiens savent manipuler les ombres et y disparaitre, toi tu sais les sculpter. Pour peu que tu aies déjà vu la forme, tu peux façonner l'ombre de qui ou quoi que ce soit. Tu fais des chatons qui grouillent dans les ruelles, d'immenses bêtes aux dents pointues. Des dessins que tu peins sur les murs, pour écarter les prédateurs. Les monstres se dissimulent dans l'ombre d'une voiture, dans l'angle d'un immeuble, qui grossis pour tout effacer. Pour distraire les proies. Ton don comme un pieu mensonge, la survie l'exigeant.
Et quand tu relâches les ombres, qu'elles reprennent leurs formes d'origines, la colère s'enroule autour de toi. Le besoin terrible de mordre, de griffer. De déverser la rage qui te tord l'estomac. Tu te fais féroce. Tu jappes plus que tu ne parles. Tu montres les crocs. Et tant que tu ne relâches pas toute cette agressivité, tu n'es bonne à rien. Il te faut détruire, pour retrouver ton calme.  pseudonyme : bat’phanie. âge : 32 ans. pays : Canada. comment as-tu connu le forum ? C’est toujours la faute de Lys.  des questions, des suggestions ? Juste un ÉNORME merci de votre compréhension et de me laisser jouer Ludmi avant Alie et blblblblbl. Bref, merci d'être adorable.   crédits : praimfaya & HOODWINK. |
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Ludmilla Vodenicharova MONSTER UNDER YOUR BED |
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| my story begins The beginning doesn’t flash red like it should. Sadness is never painted in neons. It trickles in the palest of pastels and turns concrete in your chest, and by then it’s too late, and you’re sinking,
you’re sinking, you’re sinking. C'est en observant les bateaux qu'elle a grandit. À la recherche de celui ramenant ou emportant son père. Fut un temps où la main de sa mère s'attardait dans ses cheveux, où elle était ramené doucement dans le cocon rassurant des bras maternels. Des baisers, pareil à des perséides, pleuvant contre son visage, se perdant dans ses cheveux. Jusqu'à ce que l'odeur des crêpes de mamie se mêle aux médicaments de sa mère. Que les bras rassurants se transforment en bras fragiles, des étreintes aussi délicate que la porcelaine de son service à thé. Sa mère pour poupée de verre. /// Elle n'avait que sept ans lorsque sa mère c'est éteinte, le cancer pour ennemi. Une peine terrible teinté de soulagement, la souffrance ayant assez durée. C'est alors ses grands-parents qui l'ont prise en charge, petite fille à adoucir. La peine semant la rage dans le coeur trop petit. Les coups qui s'élancent tout seul et les garçons qui pleurent, du sang sur le menton. Fallait pas commencer. Fallait pas l'embêter. /// Si le sport la calme, c'est la présence - quoi que sporadique - de son père, qui la rassure le plus. Et à chaque départ de ce dernier, la flotte le rappelant, la rage revient. La frustration, comme un vieux traumatisme impossible à traiter. Papie l'entraine alors avec lui sur l'eau, lui apprend à pêcher, à apaiser la colère auprès de l'eau. Les vagues pour remède. /// Alors qu'elle plonge dans l'adolescence, c'est les cours d'art martiaux qui l'aide à repousser l'absence de son père et les souvenirs trop flous de sa mère. Elle cesse de crier sa colère dans tous les coins, se concentre plutôt pour un jour rejoindre la flotte bulgare, elle aussi. En vient même à rêver de travailler avec son père, porté par les histoires de papie - à qui la retraite ne réussit pas pleinement, la pêche ne suffisant pas à gommer les vides laisser par sa carrière militaire. /// Son service militaire est, sans grand étonnement pour qui que ce soit la connaissant, tout ce qu'elle espérait. Bon soldat, quand bien même on lui reproche de faire un peu de zèle, elle apprend à ravaler. Et lorsqu'elle revient sur terre, c'est dans l'intention d'embrasser ses grands-parents, pour mieux repartir. C'est que sa carrière militaire l'appel, qu'elle a toujours sut qu'elle y ferait sa vie.
Malheureusement, elle n'a pas même le temps de déballer ses affaires, que la santé de papie se dégrade. La faute à son âge. La faute à un hiver trop rigoureux. Elle ne peut décemment pas les abandonner à leur sort - quand bien même mamie lui affirme que oui, qu'elle à la situation en main. Seulement, on l'a bien trop élevé pour agir de la sorte. Fille du couple âgé, avant d'être la fille de son père, elle refuse de repartir. Enterre son vieux rêve et se réinstalle avec ceux qui comptent davantage. /// Elle jongle dès lors entre les petits boulots, les rendez-vous médicaux de son grand-père et ses études - l'académie de police ne l'acceptant pas avant le second essai. Elle s'entête, elle s'acharne et quand elle obtient enfin son insigne et son diplôme, ses grands-parents sont tous les deux présents. Tout va bien. Tout est parfait. /// C'est probablement parce que, justement, tout va très bien dans son existence, qu'elle se laisse happer par Zarko. Un collègue de travail, trop charmant pour son propre bien - à elle, évidemment. Plus âgé et charismatique, il flirt gentiment avec elle pour commencer. Éveille en elle des désirs de femme qu'elle n'a fait qu'effleurer par le passé. Avec lui, elle se sent femme, elle se sent importante. Elle sombre tout naturellement, dans ses yeux puis dans ses bras, jusqu'entre ses draps. /// Six mois de vie commune et elle dit oui, les yeux noyés de larme - celles qui l'empêchent certainement de voir clairement son erreur. La colère que Zarko ravale, quand elle ne donne pas les bonnes réponses. Elle gomme ses remarques blessantes, quand elle ne partage pas son opinion. Ne s'attarde pas aux quelques brèves humiliation qu'elle subit de sa part. Elle refuse qu'il soit autre chose que l'amour de sa vie et bientôt, le père de leur fils. Milan, qui est censé le calmer. Parce qu'elle croit, naïvement, que l'amour apaise la rage - qu'elle le croit fait du même acier qu'elle. Elle a tort, tellement tort.
Suite à la naissance de leur second enfant, les conflits s'accumulent entre eux. Les quelques gifles qu'il lui a soufflé par le passé, ne sont alors plus seulement de vagues souvenir d'un débordement. Non, Zarko subit visiblement trop de stress et il n'hésite plus à la menacer. Il se plaint constamment que les enfants réclament trop, lui qui n'est pourtant jamais présent pour eux. Il ne comprend pas combien les deux petits sont avide de son affection. Qu'ils ont besoin d'être aimé par lui aussi. Certains soirs, elle s'emballe aussi, le laissant l'entrainer dans des joutes verbales qui s'achèvent dans les cris. Dans la douleur. Les larmes qui lui mouillent les lèvres, alors qu'il se perd en excuse. Qu'il lui demande de ne rien dire, que c'était - encore - un accident. /// La vie comme une montagne russe, elle alterne entre les rires et les pleurs. Entre la force et la faiblesse. Lionne qu'on a mise en cage, amoureuse de son geôlier, alors qu'elle devrait fuir. Sa grand-mère tente bien de la convaincre de partir, l'accompagne même au poste, le jour où Zarko lui aura bleuit les côtes. Mais personne n'y croit. Personne ne peut l'aider. Ses collègues voient en elle une menteuse, une manipulatrice. Parce qu'il arrive, oui, que les mensonges sont plus rassurant que la vérité. /// Un jour il va trop loin et elle s'éteint. Quand elle revient en louve, la justice réclame la gorge de l'homme. Elle devrait la lui arracher, mais la voix de Milan résonne dans la maison et elle repousse ses nouveaux instincts. Zarko se perd en excuse, il ne voulait pas. Il ne veut jamais, hein. Assez. Elle attend quelques jours, cache quelques sacs chez sa grand-mère, puis s'enfuit à la première occasion. Adieu Varna et ses faux amis. Adieu les stèles de maman et grand-papa. Il est temps d'avancer.
C'est à Moscou qu'elle gare la voiture. La pulsation sous sa peau l'ayant guidé jusque là. Elle ne sait pas trop ce qu'elle cherche, sinon un peu de sécurité. La protection du nombre. Ici, elle trouve une nouvelle meute et pas de mensonge, pas de ceux qui sont comme elle. Près de son alpha, mais pas encore suffisamment près. Oh, le commissariat veut bien la laisser rejoindre leur rang, mais elle s'y refuse. Elle ne fait plus confiance aux flics, terminé. La blessure est encore trop présente et c'est vers Nikolai qu'elle se tourne. À lui qu'elle réclame du travail, un choix que mamie approuve. Il est temps de recommencer. De refaire sa vie, ses deux petits tout contre elle. Et cette fois, elle ne compte pas laisser un quelconque élan romantique la pousser contre un homme. Non, elle exige davantage que des fleurs et du vin. On ne l'y prendra plus.
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| tu es validé ! bienvenue ! Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie !    Tant de souffrance et tant de perfection dans cette Warg! J'adore, j'aime!  Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille ! Tu peux également aller demander ta récompense pour avoir terminé ta fiche dans le système de points ! N'oublie pas que tu pourras aller en demander, ou en dépenser, tout au long de ton aventure. Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis ! |
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re-bienvenue parmi nous ! il nous faudra un lien entre wargs 
Garde moi ma place au chaud! Que je puisse te faire des nattes et qu'on se raconte nos bêtises. 
il faut se soutenir entre membre de la même meute. 
*soulève les draps* 
Et après, ça me croque les fesses, tsk. 
