Page 1 sur 2 | Page 1 sur 2 • 1, 2 | Miromir Naoumov MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Miromir Yasha Naoumov zac efron 1. mon nom dans les airs. Naoumov, famille qui s’est acoquinée avec la Bolshoy, réputée pour ses talents en droit - et en travers, gronde volontiers Miromir. Papa est juge, ce qui a de quoi inquiéter les plus fervents défenseurs de la justice. Son aîné suit les traces brillantes de son paternel, puisqu’il est avocat. Avocat ! Plutôt charlatan, aux yeux du benjamin, qui ne voit dans ce rôle qu’une farce - dont Desislav est, au mieux, le dindon. Miromir, « la paix sur terre ». Ha ha ha, si seulement ! La paix, il aimerait l’avoir, mais depuis sa naissance, le monde lui semble être une bataille perpétuelle. Yasha, « défendre ». Peut-être espérait-on, par ce prénom, l’encourager à défendre les plus sombres criminels peuplant Moscou, aux mains barbouillées de sang. Miromir préfère songer qu’il est plutôt là pour défendre les innocents, les damnés, les âmes perdues, avant qu’elles ne se perdent définitivement sur le mauvais chemin.
2. mes cris sur la terre. Cela fait vingt-neuf ans que Miromir parcourt les rues de Moscou ; il connaît presque par coeur ses rues chatoyantes et ses zones envahies d’ombres rampantes. Il est né un vingt-neuf avril, deuxième fils d’Anisim Naoumov, qui lui a légué la nationalité russe ; mais ce sont les origines slaves - et féroces - de sa mère qui battent dans ses veines.
3. mes tourments ventriculaires. Miromir se complaît dans sa liberté, incapable de lier son coeur à une unique personne (ce n’est pas faute d’avoir essayé une fois ou deux… et d’avoir magistralement raté). Avide de chaleur, assoiffé d’étreintes charnelles, ses mains se perdent contre les peaux brûlantes de ses conquêtes ou, plus fréquemment, des employés de l’Abyssal, dont il remplit régulièrement les corsages de monnaie sonnante et trébuchante. Au moins, il est certain de ne pas être déçu ! Ses goûts sont variés, son corps s’encastrant tantôt contre celui d’autres hommes, tantôt contre celui de femmes.
4. mes espoirs éphémères. Bien décidé à s’écarter du chemin tracé par son père, Miromir s’est fait un plaisir de grossir les rangs de la police à la fin de ses études. Il voulait rendre la justice à sa manière : droit dans ses bottes, plutôt qu’en louvoyant, en faisant des effets de manche et en se protégeant derrière le statut d’avocat (et le titre mielleux de Maître Machin). Bon, il a rapidement réalisé qu’il y avait aussi quelques fruits pourris au commissariat, mais il s’est toujours fait un plaisir de rester fidèle à ses valeurs (quitte à ressembler parfois à une publicité de recrutement de la police). Cela n’a pas été vain, puisqu’il a été promu capitaine après sept ans de bons et loyaux services, avec une jolie augmentation à la clé. Malheureusement, tout le salaire qu’il reçoit disparaît presque instantanément, englouti par les jeux auxquels Miromir est incapable de résister, si bien qu'il est loin de mener une vie de rêve. Au moins, son existence n’est pas enchaînée à celle d’une héritière qui le manipulerait en monnayent l’accès à sa culotte…
5. mon cocon mortifère. Miromir est souvent désigné par ses pairs comme un « bon gars ». Il fait bien son boulot, arrive à se dépatouiller de toutes sortes situations délicates sans trop de bobo et fait même glousser les policiers et policières auxquels il décoche des sourires canailles. Malgré les a priori sur lui - c'est à dire, un gringalet avec une gueule pas trop moche -, Miromir a réussi, tant bien que mal, à se tailler une place dans l'univers de la police, et il ne compte pas s’en défaire de sitôt ! Il s'y sent bien, là-bas. En accord avec ses idéaux.
En outre, il possède un bon instinct, couplé à un sens de l’observation aiguisé qui lui sont utiles dans son travail. Ah ça, on ne la lui mettra pas à l’envers ! Il a déjà vu trop de pigeons tomber dans les filets de vils renards aux crocs dégouttant de miel. A commencer par son frère. Pas question d'en être un à son tour !
Cependant, il est parfois un peu trop sûr de lui - et de ses capacités -, et un peu trop franc, incapable de taire les reproches qui grondent dans sa gorge. Il refuse de dissimuler ce qu’il pense, et ses pensées - tout comme ses avis - se lisent sur son visage comme dans un livre ouvert. Le concept de « subtilité » lui est souvent étranger ; il préfère les affrontements frontaux aux manigances secrètes, comme celles que tisse en permanence son cher père. Et tant pis si ses interlocuteurs rêvent d’enfoncer sa tête contre un mur de briques ! De toute façon, Miromir a le crâne dur.
Il assume ce qu’il fait ou ce qu’il pense. Il assume son métier, il assume ses propres dérives, son goût pour l’Abyssal et les jeux ruineux, et il ne cherchera jamais à s’en cacher. La seule chose qu’il peine à assumer est sa nouvelle nature, qui gronde dans sa gorge, bouillonne dans ses veines et l’aveugle parfois.
C’est un donc un gars en apparence bien dans ses baskets, qui vit tant bien que mal sa vie, entre la police, les filles, les garçons et les jeux. Mais derrière ses sourires accueillants se dissimule une jalousie latente, qui lui ronge le coeur, accentuée par sa nouvelle nature de louveteau. Il aimerait avoir une véritable famille. Il aimerait que son sang, auquel il vouera toujours une loyauté sans faille, malgré ses innombrables défauts, lui rende la pareille. Il aimerait compter à leurs yeux. Être autre chose que le mouton noir qui sait mieux se servir de son flingue que de son cerveau. Et lorsqu’il voit un enfant fondre dans les bras d’un frère, d’une soeur ou d’un père, son sourire se fane, empoisonné par son amertume.
6. la gangrène sanguinaire. Abandonné par son propre sang - qui a préféré s’enticher d’une autre, une étrangère au sang d'or et de venin -, Miromir était un humain solitaire, volant au secours des âmes esseulées pour oublier sa propre détresse. Il n’a pourtant jamais renoncé à l’idée de retrouver un jour un frère. Ce désir profond d’avoir une véritable famille à ses côtés - une meute, fidèle à son sang jusqu’au dernier souffle - a conduit l’âme du loup à se mêler à la sienne après sa mort. Ainsi , ses prunelles d’humain se sont éteintes, et ce sont les prunelles du Warg qui se sont rouvertes. Un loup dans un corps d’homme, dont les ongles écorchent ses propres paumes, et dont les ombres épousent les contours de son corps pour mieux le dissimuler.
Miromir étant une très jeune créature, il est pour l'heure un louveteau solitaire qui découvre peu à peu l’attrait de l’ombre, sans savoir exactement où il met les pattes.
7. l'existence secondaire. Il s’était imaginé mille morts, mais pas celle-là. Quand on a des créanciers aux trousses, qu’on a parié et perdu des fortunes dans les bas-fonds de la ville, on croirait que c’est ce qui causerait notre perte - mais non, ce ne sont pas les jeux qui ont eu sa peau. C’est une cause beaucoup plus banale, peut-être plus triste encore : son métier. A force d’avancer en funambule au-dessus du danger, d’un pas trop désinvolte, il fallait bien qu'il finisse par trébucher…
C’était une soirée comme une autre, une soirée un peu longue, où l’on s’impatiente de rentrer chez soi pour se réchauffer autour d'une bonne vodka. Miromir faisait équipe avec un nouveau policier, qu’il avait décidé de prendre sous son aile. Ils portaient un gilet par-balles sous leurs uniformes, ils avaient leurs armes de service, ils se croyaient protégé.
Mais l’interpellation avait mal tourné, son binôme avait été menacé, et Miromir s’était vaillamment interposé, espérant calmer le jeu. Ce qui était, rétrospectivement, une belle connerie.
Le couteau de l’agresseur s’était enfoncé dans sa gorge dans un souffle léger, presque soyeux.
Miromir savait que le corps humain accueillait avec une facilité déconcertante les coups de couteau. Il savait que la chair ne résistait pas, qu’elle se laissait déchiqueter dans une cascade écarlate. Il avait déjà enquêté sur des crimes au couteau et il les abhorrait. Il y avait toujours du sang partout, les scènes de crime semblaient être l'oeuvre sanglante d’un peintre fou, et les blessures des victimes étaient dignes des pires boucheries de Moscou.
Son binôme avait eut beau hurler, plaquer ses mains contre sa gorge, il était trop tard. Il avait suffi d’un coup de couteau. D’un battement de cils, et le monde s’était évaporé dans une étreinte glacée.
Lorsque Miromir s’éveilla, tout son corps était douloureux, mais sa gorge, sa gorge ! Un supplice. Il parvenait à peine à respirer, tout juste à cracher du sang. A ses côtés, son protégé était couché dans une flaque écarlate, son uniforme noirci, plein de croûtes séchées. Lui aussi avait succombé aux assauts de leur adversaire.
Miromir se redressa lentement. Les mains tremblantes. Une cicatrice zébrait sa jugulaire. Un éclat de rire s’échappa de ses lèvres lorsqu’il réalisa qu’il était toujours vivant. Cet éclair de lucidité fut cependant de courte durée ; son rire se transforma en sanglot et ses ongles s’enfoncèrent cruellement dans les paumes de ses mains, y laissant des croissants de lune sanglants.
8. le monde délétère. Miromir est un Warg depuis deux semaines, et il peine à s'habituer à sa nouvelle condition. Il la cache tant bien que mal à ses proches, ne sachant comme ils accueilleront cette "nouveauté", mais il sait que la vérité finira par éclater... Il met peu à peu ses collègues au courant, sachant qu'il vaut mieux arracher le pansement maintenant plutôt que de le laisser s'infecter et faire naître de la suspicion autour de lui. Il tient à leur prouver qu'être un Warg ne change rien à son caractère et ne mettra jamais en cause son travail.
Pour l'instant, Il se sent plus proche des mortels que des créatures, et n'hésitera jamais à défendre les premiers contre les deuxièmes, quitte à passer pour un traître à leurs yeux.
écrire ici comment votre personnage vit quotidiennement sa condition. comment vit-il sa situation dans le quartier des créatures ? comment vit-il le regard des autres ? est-il lui-même intolérant envers les mortels ? a-t-il totalement accepté sa condition ? quel est le grade actuel de votre personnage ?
9. les ombres-mères. DON UNIQUE - INSTINCTS PRIMITIFS : à l’instar d’un loup, ses sens sont particulièrement aiguisés. Son flair est sur-développé, son ouï perçoit des sons dont il n’avait pas conscience de l’existence, sa peau décèle des changements infimes dans l’atmosphère, des goûts nouveaux chatouillent son palais et ses yeux sont plus attentifs que jamais au moindre mouvement. Cependant, dès qu’il cesse d’utiliser son don, ses sens sur-sollicités s’émoussent durant plusieurs heures : il n’a plus aucun odorat, du coton semble obstruer ses tympans, sa peau et sa langue sont plus insensibles que du marbre et son champ de vision se réduit drastiquement.
De plus, depuis qu’il s’est « réveillé » de la mort, toute couleur s’est évaporée de l’univers de Miromir : sous ses prunelles de loup, le monde se pare d’un camaïeux de gris, allant de la cendre froide à l’argenté éblouissant. pseudonyme : Lou. âge : 26 ans. pays : France Gall. comment as-tu connu le forum ? J'accuse Desislav qui m'a montré la fiche de son scénario (et comme je suis un être faible... ). des questions, des suggestions ? Pas pour l'instant, j'ai de très bons guides . crédits : Lux Aeterna & MORPHINE. |
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Miromir Naoumov MONSTER UNDER YOUR BED |
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| my story begins mes épopées Alors qu’il agonise sur le bitume glacé de Moscou, sa chair brûlante laissant échapper de gros bouillons rouge vif, Miromir se fait la réflexion que c’est le moment idéal pour se repasser le cours de sa vie.
Mais la mort ne lui en laisse pas le temps ; elle n'a pas que ça à faire ! Elle le cueille quasi instantanément, emportant son souffle et dispersant ses pensées dans les ténèbres.
Sinon, il aurait songé à son enfance. Aux bras chauds de sa mère qui l’enveloppaient pour faire tarir ses pleurs, tandis qu’il fourrait son nez dans ses cheveux longs, épais, qui sentaient bon la maison. A son père et à sa figure solennelle, à ses secrets et aux toiles qu’il tissait dans l’ombre. A Desislav et à son ombre amicale penchée au-dessus de son berceau. Déjà si grand, si digne. Un vrai modèle ! Ah, quelle chance d’avoir un grand frère ! Quelqu’un pour veiller sur soi, guider ses pas, pour se sentir toujours protégé !
Mais à peine Miromir fût-il capable de tenir sur ses jambes pour se jeter dans les pattes de Desi, que la place fut prise par quelqu’un d’autre. Une petite fille blonde, adorable, davantage trésor qu’être humain, vu la façon dont son père en parlait. Une petite fille dont les intérêts passaient avant les siens. Miromir se renfrogna, chercha à écarter l’intruse ; peine perdue, elle était là et elle resterait là, sous leur protection. Il ne comprenait pas. Cette fille n’était rien pour eux ! Elle n’était pas leur soeur, elle n’était pas leur amie. Il n’en voulait pas. Mais tous les cris, les caprices du monde n’y changèrent rien, et c’est avec un terrible sentiment d’impuissance que Miromir regarda Desislav se détourner peu à peu de lui pour se vouer corps et âmes à ce minuscule démon couronné d’or. Zo-rya Do-ma-che-va, l’un des premiers noms que Miromir fut capable d’épeler, pour mieux la maudire.
Oh, elle n’avait pas l’air si mauvaise que cela, lorsqu’on ne la connaissait pas ! Mais Miromir voyait, lui. Elle n'était pas seulement une voleuse de frère ; elle était aussi une peste, aussi sournoise que redoutable. Il voyait bien la façon dont elle traitait son frère, s’enchaînant sournoisement à sa cheville, faisant fuir quiconque avait le malheur de papillonner autour de lui, la cruauté incarnée derrière ses prunelles célestes. Elle n'apporterait rien de bon à Desislav. Il chercha à l'en avertir, pointant du doigt la tyrannie de la jeune fille, mais il se heurta à un mur. Desi préférait accorder sa confiance à l’ennemie, plutôt qu’à son propre sang.
Lorsqu'il le réalisa, la déception et la jalousie se disputèrent le coeur de Miromir, brûlant ses yeux de larmes amères.
Le benjamin Naoumov grandit donc avec la sensation d’être la quatrième roue du carrosse, sensation accentuée par les regards sévères que son père posait sans cesse sur lui. Il n’était pas aussi sage, aussi docile qu’Anisim Naoumov l’aurait voulu. Il posait trop de questions, se laissait porter par ses émotions sans chercher à les contenir, incapable d’y apposer le moindre filtre. Trop franc, trop rentre-dedans. Peut-être aurait-il fait quelques efforts, sans l’approbation muette de sa mère, ses sourires complices et ses baisers dans les cheveux, accompagnés de chuchotements fiers. Elle l'encourageait à se forger ses propres opinions, plutôt que de suivre aveuglément celles des Naoumov.
Miromir grandit donc avec la sensation d’appartenir à une autre famille que son père et son frère, désireux malgré tout d’attirer leur attention, d’être autre chose, pour eux, qu’un vilain petit canard dont on ne savait pas exactement quoi faire. On chercha bien à le rallier à la Bolshoy à sa majorité, mais Miromir refusa obstinément. Les Domachev asservissaient sa propre famille, les prenaient pour des moutons, lui volaient SON frère, et il devait en outre leur baiser les pieds ? Erk, jamais ! Au contraire, la Bolshoy était son ennemi numéro un, pour tout le mal qu’elle représentait. Et lorsqu’il s’enrôla dans les rangs de la police, il se fit la promesse qu’il la démantèlerait, même s’il lui fallait y laisser des plumes. Et qu'il en arracherait son frère.
Heureusement, les choses étaient différentes, hors de la maison ; là, des gens semblaient l’apprécier pour ce qu’il était, et certains paraissaient même sensibles à ses paroles, à sa fougue… et à ses lèvres, qui ne tardèrent pas à goûter à diverses peaux, à se désaltérer de chair pour oublier la solitude qui menaçait d’engloutir son coeur. A quoi bon résister ? Il n’y avait rien de plus étourdissant, de plus enivrant que de se perdre contre des lèvres brûlantes, que de se glisser entre des cuisses accueillantes. Il ne tarda pas à payer pour cela ; pourquoi s'en priver, lorsqu'il y avait des professionnel-les, prêts à partager un peu de leur chaleur avec lui ?
Il y avait aussi les jeux, le tintement des pièces sur la table, les poches qui se remplissaient pour être aussitôt vidées. Depuis que Miromir avait gagné une grosse somme en jouant, il était incapable de résister à l’attrait des tables de jeux, aux cartes aussi merveilleuses que cruelles, lui promettant monts et merveilles - et, surtout, lui promettant de quoi racheter la liberté de sa famille. Lui faire quitter le giron malfaisant de la Bolshoy.
Emporté par les paris, n’hésitant pas à s’endetter jusqu’au cou, il se retrouva plus d’une fois dans la panade, mais ses dettes s’évaporaient rapidement, payées par Zorya. Pour son plus grand malheur. Il n’avait aucune envie de devoir quoi que ce soit à la jeune femme, aucune envie de desserrer les lèvres pour la remercier - les seuls sons qu’elle lui inspirait étaient des grognements hargneux.
Et ses grognements se muèrent en protestations acerbes lorsqu’il apprit l’intention de Desislav de l’épouser. Se lier plus étroitement encore à ce serpent humain ? Elle ferait de sa vie d’un enfer, il en était persuadé ! Elle était incapable d’aimer qui que ce soit, sauf sa propre personne. Et, surtout, elle achèverait de les séparer. Alors il tenta le tout pour le tout, et emmena Desi à l’Abyssal pour son enterrement de vie de garçon, espérant que les charmes des employés le feraient redescendre sur terre. Il avait tout prévu, avait payé les filles qu’il considérait les plus susceptibles de faire craquer son frère. Sirènes tentatrices, beautés froides, jouvencelles adorables ; rien ne fonctionna.
Il refusa alors catégoriquement d’être le garçon d’honneur de ce mariage. Il se contenta d’y pointer le bout de son museau après la cérémonie et de se perdre au milieu des boissons. Il tenta bien de faire un discours pour revenir sur les « mérites » de la future mariée - et la façon dont elle traitait son frère comme un pigeon - mais il n’en garda aucun souvenir, si ce n’est l’arrière-goût pâteux de l’alcool et le regard assassin de son père.
Celui-ci lui en voulut, évidemment. Mais Miromir avait décidé de s’en moquer, malgré les tiraillements dans son coeur à l’idée de s’être un peu plus éloigné de sa famille. Mais il parviendrait à la sauver de là, il en était toujours convaincu. Même si ce mariage avait réduit ses espoirs à peau de chagrin.
Jusqu’au jour où on lui trancha la gorge et où on l’abandonna dans cette venelle glauque de Moscou, baignant dans son propre sang.
***
Quelques jours après son « réveil », Miromir hésite à retrouver son frère. A lui confier sa nouvelle nature. Mais… à quoi bon ? Que pourrait-il faire pour lui ? A cette pensée, un frisson lui ronge l'échine. C’est l’époux de Zorya, désormais. Il fera que ce que Zorya lui dira de faire.
Jusqu’à ce qu’il l’arrache de ses bras pernicieux.
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Zorya Domacheva YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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Dahlia Cohen RULE THE MONSTERS WORLD |
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| Moh, v’là le gringalet ! Quel plaisir de voir un Naoumov de plus par ici. Bienvenue par ici gamin ! N’hésite pas à venir violer la boîte MP du Staff si tu as besoin de quoi que ce soit. |
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Orphédia Bellavance RULE THE MONSTERS WORLD |
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| BLBLBLBL, j'crois que j'suis amoureuse Bienviendue par ici avec cette trogne fort sympathique et ce personnage des plus intéressants, je suis en émoi L'Abyssal... on va avoir du lien avec Maksim moi j'dis J't'attends (et ta plume est une beautey ) |
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Néhémie N. Paley YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Ouuuuuh ! J'admire l'avatar et le choix de scénar ! Un flic comme je les aime. Je viendrais te voir pour un lien En tout cas bienvenue parmi nous et courage pour ta fichette ! |
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Oda Tolma MONSTER UNDER YOUR BED |
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| J'ai renoué avec cet acteur après sa performance dans The Greatest Showman Un capitaine brisé par une ruineuse faiblesse, quelle délicieuse idée Un fringuant jeune homme qui promet dans les ruelles de Moscou! Bienvenue parmi nous |
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Anastass Domachev MONSTER UNDER YOUR BED |
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Yulian Letov MY MIND IS POWER |
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| Craquer C' est bien. Regarde moi je craque sur toi |
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Miromir Naoumov MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Merci à tous pour cet accueil du tonnerre ! Je vais me donner un coup d'accélérateur pour vite vous rejoindre @zorya domacheva : ÇA VA ÊTRE LA GUERRE (je vois bien Des à la place du smiley rose et de chaque côté, Zorya et Miro ) J'ai hâte aussi qu'on se fight ! Et merci @dahlia cohen : Comment ça, un gringalet? C'est Desislav le gringalet, pas moi ! Plus sérieusement, merci beaucoup Je n'hésiterai pas si j'ai une question (Pour l'instant je me contente de baver devant les nouvelles couleurs et toutes les nouveautés Ce forum est un plaisir à découvrir ) @orphédia bellavance : ooh merci beaucoup ! Ce serait avec plaisir pour le lien Je vais aller zyeuter la fiche de Maksim A très bientôt @néhémie n. paley : Merci ! Il faut dire que Desislav a envoyé du lourd avec ce scénar De même, ce sera un plaisir pour le lien (oh et ça fait trop longtemps que je n'ai pas vu Robert Sheehan, ça fait trop plaisir de le voir joué ) @oda solberg Héhé merci beaucoup ! Je n'ai pas vu The Greatest Showman mais je crois qu'il serait temps (haan ton avatar aussi TROP DE BEAUTÉ ICI) @anastass domachev Tiens tiens, un Domachev Merci beaucoup ! @yulian letov ouuh Craquons ensemble *s'enfuit* |
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Desislav Naoumov YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| LOUUUUUUUU MY BABY GIRL !!! Je kpojknbhgyhu que tu sois là, que tu aies craqué, QUE TU AIES PRIS MIRO ! (quand j'ai balancé le lien, je m'attendais à un « awww il est cute mais je sais pas trop » alors sur ta bouille ma Loulou !) Maintenant, cette fiche... oh gawd. Déjà, ta plume est toujours une tuerie. On sens déjà la personnalité de Miro et je craque à mort. (why je joue le frangin, ça m'échappe... c'est con... vu qu'on fait pas dans l'inceste, toi et moi.) Il est tellement kjnbhghyu complexe ! J'adore le côté frustré, rebelle à sa façon, grand défenseur de la justice et addict de chaleur et de jeu. Il est PAR-FAIT ! Et un warg... PLZ ! Ça lui va TELLEMENT BIEN ! (Sérieux, j'ai le coeur tout serré pour ce pauvre bébé, Des est un gros connard avec lui, mais juré IL L'AIME OK ! ) VIVEMENT LA SUITE ! (et pis de vous voir jouer ensemble à nouveau, Dédé et toi, avec votre meute de warg quoi ! ) WELCOME HERE BABY ! C'est ta nouvelle maison (tu le sais juste pas encore... ) |
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Velvet de Montpensier YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Copain de prénom ! Comment ça faisait longtemps que j'avais pas vu cet avatar ça fait ziziiiiir ! C'est déjà un tel plaisir de te lire et puis waaa le métier qui arrive à ce stade de l'intrigue ! Perfection ! Bienvenue et au plaisir de rp avec toi ! |
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Miromir Naoumov MONSTER UNDER YOUR BED |
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| @Desislav Naoumov Mais *rougis et se cache* Merci pour ton message adorable, je suis super contente d'avoir craqué pour le petit frère ! (En plus, au début j'étais plutôt partie pour jouer un sexy quadra mais quand je me suis penchée sur le scénario, c'était impossible de ne pas craquer, il était trop parfait La famille, le métier, les penchants pour l'Abyssal et le gambling, tout me faisait de l'oeil ) Mais je te retourne les compliments hinhin, Desislav quoi, il est trop yum, c'est vrai ça : pourquoi je joue son frère ? Plus sérieusement j'ai trop hâte qu'on les joue et merci de m'avoir montré ce forum *installe tranquillement ses affaires en s'étalant partout* @Yasha Tarr Ooh je n'avais pas vu qu'il y avait un Yasha mais je ne peux que souligner que c'est un très bon choix de pseudo Merci beaucoup ! Hâte de RP avec toi aussi, et de découvrir le forum et les intrigues et tout ça |
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Ilya K. Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| Bienvenue jeune loup |
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Miromir Naoumov MONSTER UNDER YOUR BED |
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Contenu sponsorisé |
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| Stop drowning for people who won't even get in the damn water for you | Miromir | |
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