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| Sofiya Lyudmila Martinov Josefine Frida Pettersen 1. mon nom dans les airs. Lorsque le son distinct du cri liminaire de la vie retentit dans la salle d’accouchement, il ne semblait plus y avoir aucun doute. C’est lorsqu’on lui déposa prudemment cet être si fragile dans les bras qu’elle chuchota son prénom pour la première fois, cet assemblage de syllabes aussi délicates qu’une plume qui la suivraient pour le restant de ses jours. Jolie poupée s’appellera alors Sofiya. Le choix du second prénom fut laissé au géniteur. Il n’eut besoin de réfléchir bien longtemps, grand sensible qui ne voulait jamais le montrer au cœur mélancolique, il décida de lui léguer le faible héritage d’une demoiselle qui n’était, à ce jour, plus qu’un souvenir. Un cœur qui n’avait battu que dix-sept petites années, l’identité d’une enfant qui n’avait vécu que trop peu aux yeux de beaucoup. Désormais, Sofiya perpétue avec fierté la mémoire de celle qui aurait dû être sa tante, celle qu’on prénommait avec grâce Lyudmila, celle qui avait ainsi été, à une époque, la sœur de son père, avant de disparaître tragiquement dix ans avant sa venue au monde. Enfin, Martinov, nom de famille qui traîne depuis des générations dans la Russie froide et mystérieuse, telle une ombre que personne ne remarque vraiment. Du moins, c’est ce que Sofiya pense. À le lire ou à l’entendre, son patronyme n’évoque pas grand-chose, si ce n’est ses origines qui ne laissent place à peu de doute. Pour autant, il semblerait que le nom de Martinov, aussi peu extravagant soit-il, s’est fait une place dans la mémoire de certaines personnes au sein même des quartiers de Moscou, sans que l’on ne puisse vraiment savoir pourquoi et que Sofiya, en tant que l’une de ses porteuses, ne le sache.
2. mes cris sur la terre. Poupée aussi fragile que du porcelaine a ouvert ses grands yeux pour la première fois sur un grand sourire gorgée de bonheur, peint sur un visage étrangement pâle et tiré par la fatigue. Son gazouillis digne d’un oisillon fut reçu par moult soupirs de félicité, une maigre chance que peu de personnes ont eu, et elle le sait, malgré tout. Ça s’est passé un matin de juin de l’année 1996, dans la majestueuse capitale de la Russie elle-même, en la date du 28 plus précisément. Sofiya n’a jamais quitté son pays natal. Elle a visité des lieux en dehors de la grande ville qu’est Moscou, mais rien que sa mémoire a imprégné d’une marque indélébile. Pourtant, l’oisillon devenu colombe a rêvé plus d’une fois de quitter son nid pour apprendre à voler de ses propres ailes. Ici, elle a l’impression de voleter faiblement dans un endroit trop petit, trop étroit, mais un endroit qui l’a vue grandir malgré elle. La Russie fait intégralement partie d’elle, en dépit des origines étrangères mais inconnues de Maman, et elle a fini par l’accepter. Ladite colombe s’approche doucement mais sûrement de ses vingt-trois ans, et semble maintenant avoir peur de l’immensité du monde.
3. mes tourments ventriculaires. Sofiya a un cœur gros comme ça, trop plein d’amour qu’elle est prête à offrir sans compter, et avec assez de places pour ceux qui n’auraient pas peur de l’accepter. Elle est romantique, très fleur bleue, elle rêve des idylles qu’elle lit parfois dans les livres et soupire en s’imaginant à la place de l’héroïne. Pourtant, elle n’est jamais tombée dans le grand vide qu’est l’amour. Dans son adolescence encore toute récente, elle a vécu des amourettes, des flirts sans grand avenir avec des garçons rapidement tombés dans l’oubli. Et puis, elle s’est déjà surprise à admirer une inconnue dans la rue ou à l’école, de sentir son cœur palpiter alors que son regard restait accroché sur la silhouette d’une jolie jeune fille. Sofiya ne s’est jamais posée de questions à propos de son orientation sexuelle, à dire vrai, aussi semble-t-elle attirée par les deux sexes. Demoiselle est prête à ouvrir son cœur à n’importe qui, parfois un peu trop vite, mais elle semble se lasser très vite si rien n’alimente ses rêveries bien trop nombreuses. En résumé, Sofiya est prête à aimer et à être aimée, tout en se plaignant de sa raison parfois un peu trop exigeante, forgée par ses romans à l’eau de rose cachés sous son lit.
4. mes espoirs éphémères. Poupée encore petite, haute comme trois pommes, s’émerveillait devant ces mouvements du corps grâcieux et voluptueux, fruits d’un long travail et d’entraînements acharnés, gestes hypnotisants sous des costumes qui laissaient promptement pantois. La danse fait battre son cœur depuis de longues années, premier vrai amour qu’elle ait connu dans sa courte existence. Elle voulait faire de la scène son doux foyer, laisser la lumière des projecteurs réchauffaient son âme pleine d’espoir. Un jour on lui dit qu’elle est talentueuse, qu’il est possible qu’elle fasse de cette passion un métier pour la vie. Le lendemain, on lui déclare que c’est trop tard, qu’elle n’a aucune chance, que c’est trop difficile. Aujourd’hui, la danse ne reste qu’un rêve inatteignable, trop haut, trop lumineux pour elle, sûrement. À l’esprit nostalgique les idées de l’avenir, les souvenirs des après-midis cuisine avec sa mère finissent par la guider vers le monde de la gastronomie. Des papilles s’extasiant davantage pour le sucré que pour la salé, les fines mains de Sofiya œuvrent désormais sous la coupe d’une pâtisserie de renommée, opérant méticuleusement telle une fourmi ouvrière pour créer des chefs-d’œuvre sucrés qui terminent, généralement, dans l’estomac des plus aisés. Sofiya ne fait guère partie de ceux qui vivent dans le besoin, et ce depuis enfant. Elle peut se faire plaisir quand elle le souhaite, sans pour autant pouvoir tomber dans l’excès, chose qui, de toute façon, ne lui ressemble pas.
5. mon cocon mortifère. Jeune femme devenue adulte a encore, parfois, un cœur d’enfant. La vie ne peut la faire flancher si facilement, ses espoirs s’accumulent mais ne tarissent jamais, et l’optimisme est une devise qui rythme ses jours et peut-être même ses nuits. Attentionnée et bienveillante, elle dédie son existence, peut-être trop ordinaire à ses yeux, aux autres dès qu’elle en a la possibilité, tendant la main sans hésiter au premier qui en ressent le besoin. Une épaule sur laquelle on peut se reposer, une oreille attentive à qui l’on peut se confier, même un cœur de pierre pourrait se laisser attendrir devant le sourire si communicatif de cette douce poupée loyale et attachante. Des rêves s’entassent dans cet esprit pourtant plus sérieux que frivole. Son regard ne capte que les jolies choses, les gens semblent tous bons et demoiselle peut alors paraître naïve, quelque fois. Toutefois, il ne faut guère penser pouvoir lui marcher sur les pieds. Discrète, elle l’est souvent, mais Sofiya sait être brave quand elle se bat pour ce en quoi elle croit. 8. le monde délétère. L’acceptation. Les regards intrigués d’autrefois se sont dissipés, mais pas entièrement envolés. Certes, l’écart entre mortels et créatures semble large et profond, immense fossé que beaucoup examinent d’un œil mauvais. Mais Sofiya les a acceptés, pleinement, depuis toujours, voilà tout – après tout, ils étaient comme elle avant, pas vrai ? Elle traîne souvent dans le quartier commun, soit dit en passant. Elle regrette l’existence de ces murs qui les séparent tous, d’ailleurs, mais tant pis, c’est comme ça. Et puis, elle doit bien l’avouer, dire qu’elle ne ressent aucune once de crainte envers certains serait mentir. Ça se comprend, en même temps, non ? Enfin bon, tout ça pour dire que Sofiya, elle n’a pas d’avis tranché sur la question. Elle vit à Moscou, parmi eux, et elle n’y voit aucun problème. pseudonyme : Merricup, ou Merri pour les intimes. âge : 18 ans et quelques mois… hi, i’m a babyyy... pays : France. comment as-tu connu le forum ? Grâce à Peanut et Mathou ! des questions, des suggestions ? Ce design et tous ces personnages que je vois là : pepitas muchachas. crédits : lilousilver et ailahoz sur Bazzart. |
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Invité Invité |
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| my story begins mes épopées écrire ici l'histoire de votre personnage, dans les grandes lignes. vous pouvez employer la forme de votre choix : RP, chronologie, narration, l'essentiel étant de comprendre l'évolution de votre personnage, ainsi que ce qu'il est.
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasureBut I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasureBut I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Ce vide! Vite, on veut en savoir plus ! Bienvenue ici! |
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Ilya K. Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| Oooooh la victime de Minou et cacahuètes ** Bienvenue par ici |
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Arsenia Savina YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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Invité Invité |
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| Haaan, un autre bébé sur le forum, je vais arrêter de me sentir seul entouré de vieux Bienvenue par ici!! J'ai hâte d'en lire plus sur ta demoiselle hehe |
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Invité Invité |
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| Merci beaucoup pour cet accueil chaleureux, j'ai vraiment hâte de tous vous rejoindre (pas envie de me faire torturer davantage par le matou et la cacahuète /sort) Promis, je remplis cette fiche (un peu trop vide ) le plus rapidement possible ! |
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Isild Lolkova MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Moh cette bouille de poupée ! Je ne connaissais pas cette mignonne ! Bienvenue par chez nous, petite fleur. |
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Invité Invité |
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| Bonsoir tout le monde ! Je poste ce message déjà pour m'excuser d'avoir disparu ces derniers jours et de ne poster ça que la veille de la date limite Mais je ne vais finalement pas m'inscrire, après réflexion je me suis rendue compte que je n'aurais pas le temps de m'investir pleinement dans ce forum. Merci pour votre accueil, pardon pour le dérangement occasionné et au plaisir de vous recroiser un jour, peut-être Bonne continuation à vous tous, et encore désolée |
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