Le décompte escomptait trois victimes, trois camarades de classe, trois jeunes filles de onze ans. D’abord déclaré comme disparues c’est avec l’acharnement des recherches des brigades policières, que deux corps identifiés comme les victimes sont retrouvés dans les entrailles de la ville de Moscou après quelques mois. Les visages funèbres des proches rassemblés autour des cercueils chétifs partagent un désarroi commun, cette injustice impunie fait qu'envenimer leur malheur.

Il ne connaissait pas très bien la première victime, Elvira Savin, une jeune warg. Recluse des autres élèves, elle faisait peu pour s'intimiser parmi ses pairs par sa nature solitaire. Sa disparition n'ébranle pas la majorité. C'est avec dû recule que le garçon regrette ne pas avoir appris à la connaître. Trop afférer à prendre ses distances et à écouter l'opinion de ses camarades de classe pour se permettre de fonder sa propre opinion ainsi qu'une amitié réelle avec la jeune fille au coeur de louve.

Lorsque le malheur s'abbat sur la deuxième victime, son amie Snezhana, une créature  Ispolin, la nonchalence n'a plus sa place. Quand enfin l'équipe d'enquêteurs eut du succès dans leurs recherches, les nouvelles circulent rapidement.

Snezhana, Ils l'ont finalement trouvée.

Feliks était extatique, littéralement incapable d’attendre plus longtemps, traversa le bureau du médecin en un clin d’œil. Ils l'ont finalement trouvée. Les mains des adultes glissent incapable de le saisir. Ils l'ont finalement trouvée... dans un crique. Le médecin a déclaré qu'elle devait avoir été déposé là, les fractures aux hanches et aux jambes l'empêchant ainsi de sortir de la fosse. Crier aurait été inutile, le vent avait une voix plus forte que n'importe quel hurlement qu'une petite fille pourrait pousser avec sa trachée. Elle est morte de froid dans la tempête de neige. Sa douleur était atténuée par la température; elle dormit jusqu'à ce que sa conscience soit complètement partie. Sa mort ne fut pas sans douleur, mais de courte durée. C'étaient les mots du docteur.

Ces mêmes mots résonnent dans son esprit lors des funérailles, asourdisant les louanges du prêtre. Il ne trouve pas le sommeil cette nuit-là, ni la suivante.

Quand la troisième victime est annoncé, une résolution naît


Dans un instant, le garçon est confus, ses sens dépourvus de sens alors qu’il cherche à reprendre contrôle sur son esprit. L’inconnue qui lui fait face, semble tout autant déstabilisé. Cela ne fait en rien pour le calmer. Il se débat au sol, repousse de coups de pied l’adulte, qui cherche à l’incapacité par sa stature intimidante.

Il la ressent, il la voit - une explosion de flammes jaillissant du dos de l'homme, explosant contre sa chair, envoyant une vague de fumée et un feu se propageant dans toutes les directions. La lumière engloutit sa vision et ensuite, il se rend compte qu'il est catapulté sans grâce dans un coin de la pièce, poussé par la force du coup explosif. L'homme gémit au sol, roule contre le sol pour éteindre les flammes, qui dévorent sa chair goulument. Tatiana se tient debout, observant la manifestation de ses dons. La présence du garçon avait été l'élément lui permettant d'avoir le temps de se ressaisir, de réfléchir à un plan et de se rebeller contre son kidnappeur.

Le criminel était une créature surnaturelle, un Lyhkos. Perturbé par un désir profond de perpétrer la mort contre d'autres entités surnaturelles, il usait de son don pour torturer ces enfants, assouvissant chez lui un pouvoir destructeur et ainsi une mort lente pour celles concernées. Son corps ligotté sur la civière, son visage gonflé par les cloques percées, l'homme hurle de souffrances et de rage, il conjure une malédiction à celui qui a mis fin à son cycle de chance, une denrée rare pour les créatures de son espèce. Son règne de cruauté fut éphémère par faute de ce garçon insignifiant.

Lors de son procès, l’homme garantit qu’un jour, il sera libéré et sera capable d’assouvir ses envies à nouveau. Ce moment scelle le destin de Feliks, le garçon refuse d’accepter un tel prédicament funeste futur. Il se jure que dès qu’il est dans l’âge légal, il s'enrôle dans la force policière pour s’assurer que cet homme et ceux qui ont les mêmes convictions meurtrières reste en prison, enfermé pour prévenir des incidents comme ceux qui ont coûté la vie d'Elvira et Snezhana.

Présent

Dissimuler parmi les circulaires et les lettres superflues reçues par la poste, une lettre si glisse. Dans un caractère manuaire bien trempé, l’interlocuteur s’adresse à lui avec familiarité. Les premières phrases anodines expriment une curiosité réelle sur le devenir du garçon, la succession des mots se transforme comme par frénésie en un questionnement dérangeant, voire glauque. Il le questionne sur l’étendue de ses malheurs; combien d’allergies a-t-il contracté depuis leur dernière rencontre? À quel degré s’accumule la gravité des brûlures qu’on atteint son épiderme et derme? Combien de litres de sang s'est-il échappé de ses veines par sa maladresse? Quelle est sensation d’être happé par une voiture de police lors de son premier jour de travail et de sévir d’une commotion cérébr -

Étendus dans son lit d’hôpital, des cernes violets creusent son visage dépeint par la fatigue et le malaise de cette lecture. Il s'était levé tôt ce matin, afin de se préparer pour sa grande journée. Il devenait enfin un flic. Le jeune homme n'avait pas réussi à mettre les pieds dans l'enceinte. Lui, qui voulait rentrer dans la police, s'était littéralement fait rentrer dedans par un véhicule motorisé des forces policières.

Il fait tôt dé d'abandonner la lecture et de jeter la carte dans la corbeille près de son lit. Par extremis, elle fléchit et s'accroche sur son côté long contre le rebord de la poubelle, reflétant le dos de la carte en police de caractères Sucks To Be you.

Un plâtre au bras droit, une fracture nasale une fracture à la clavicule ainsi que 3 côtés de fêlés. Son corps couvert de bandages, dissimulant des plaies superficielles, il soupir et jette un regard vers la table de chevet. Bien qu'elles sont toutes plus laides les unes que les autres avec leurs couleurs saturées, leurs images absurdes et la surutilisation flagrantes d'exclamations, les cartes de voeux et de prompts rétablissements apportent un réconfort à Feliks. Elle brise la monotonie de la pièce désinfectée de la chambre l'hôpital. Des bouquets de fleurs et une petite banderole bleue ornent en arc le tout, lui souhaitant la BIENVENUE DANS LE DISTRICT ! .

Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie !

Que de malchance par ici! Mais, il n'en est que plus charmant!      Il faudrait juste penser à se relire pour éviter quelques erreurs d'inattention à l'avenir. Mais, le personnage est à croquer! J'ai vraiment hâte de voir ce que tu en feras!      

Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille !

Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis !