BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?
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Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Oh mon héros?
Toute la journée un nom lui a tourné dans la tête, se mêlant parfois à celui de son bourreau de premier mari. Azarov, Lyov Azarov. Croiser sa route n'a été qu'un hasard et pourtant, le poignard n'en est pas moins enfoncé entre ses côtes. Azarov, Azarov, Azarov! Alors, c'est cette tête-là qui lui sert de père biologique? Le pourceau accroc aux putes? Le proxénète de luxe? Son géniteur? Bien, maman… Pour une fois, elle comprend son choix d'homme. Plus charmant, tu meurs. Plus narcissique aussi, cela dit. Un cocktail qui n'est pas sans familiarité, si elle s'observe dans un miroir. Une explication à son incapacité de fonctionner dans le moule Von Wulf, que sa mère a adopté rapidement. Lyov Azarov… Propriétaire des plus beaux culs payants de la ville. Si ça ne l'écœurait pas autant, Atalia se serait risqué à visiter. Trop obsédé pour chasser son quatrième époux ou sa première femme, la brune dérive jusqu'à un bar, semi-fréquentable. S'y installe avec un sourire pour le serveur, quelques battements de cils plus tard, elle reçoit déjà son verre, offert par la maison. Sans surprise. Un coup d'œil à ses pieds, une fois ceux-ci en contact avec les barreaux du tabouret froid, lui apprend qu'elle a encore oublié ses souliers en route. Perdu à jamais, très certainement. Offrande à plus pauvre, qu'elle espère et non pas, à une garce au portemonnaie plus que remplis. Sirotant son whisky sec du bout des lèvres, elle se laisse aller, à discuter avec le fameux serveur. Lui tirant des rires et un ralentissement du service.
Après une bonne demi-heure au ralentit, les grognements se font entendre. Les voix montent et Atalia calme certains mauvais caractères en s'excusant de toute sa sincérité. La plupart se reprenne, sous le visage avenant et l'énergie chaleureuse de l'herboriste. Elle roucoule avec plusieurs, continue de noyer Azarov et son titre de père sous l'instant. Le chassant au loin par quelques gorgées plus qu'apprécié. On l'agrippe soudainement, serrant d'une poigne de fer son bras, la forçant à se retourner vers l'agresseur. Ce sont les yeux qu'elle remarque en premier, puis la ressemblance peu flatteuse qui se dégage de l'homme. Son nom lui échappe désormais, information devenue inutile depuis le divorce. « Oh tiens, mais qui voilà! La pute des beaux quartiers! » Charmant, qu'elle pense intérieurement, se contentant d'attraper son verre de son autre main pour continuer à en boire le contenu. Le cadet de la famille de l'époux numéro deux. Manque de classe flagrant. Dieu merci, il était sorti avec son aîné quand elle les avait rencontrés. « Tu ne dis rien? C'est parce que tu sais que sucer ma pauvre! » Atalia inspire profondément, alors que la scène est clairement observée par la plupart des clients. Elle se retient de peine et misère à ne pas lui lancer ses quatre vérités à la figure. Entre autre un ‘'Jaloux que ça n'ait pas été toi?'', qui lui chatouille la langue à en devenir douloureux. Elle se contente de tirer son bras vers elle, malgré sa poigne qui ne la lâche pas et de chercher du regard quelqu'un de sa connaissance ou d'assez aimable pour intervenir. Ses yeux croisent bien un visage qui semble se rapprocher, mais Atalia préfère se reculer sur son tabouret, déposant le verre de vitre pour ne pas faire de dégât. Ce n'est pas comme s'il risquait de véritablement agresser une femme à la vue de tous. « C'est mon bras, lâche le s'il te plait. »
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Ven 14 Juin - 8:43
Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 47
When people say a knight's job is all glory, I laugh and laugh and laugh. Often I can stop laughing before they edge away and talk about soothing drinks.
I don't damsel well. Distress, I can do.
† ♰ †
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Dim 16 Juin - 9:07
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Oh mon héros?
La pression sur son bras s’accentue, tirant une grimace d’inconfort à sa propriétaire. Dont le regard durci de mécontentement. Elle se fiche pas mal des mots qu’il utilise, adolescente, pire a été racontée à son sujet. L’impact de sa réputation ruinée, l’ayant blindé face à la langue malhabile d’un novice en insulte. La situation lui échappe, jusqu’à ce qu’une silhouette s’ajoute à l’équation. Un nouvel homme, une nouvelle silhouette… Appétissante celle-ci. « Tu as entendu la dame, lâche là. » Elle se retient de tirer la langue à son agresseur, la seule survit de son bras lui important. Elle n’aime pas qu’on lui marque la peau sans préliminaire… Enfin, selon la personne. Le souvenir d’une morsure en particulier lui revenant soudainement en mémoire. L’imbécile proteste, mais la poigne du bon samaritain est trop forte pour lui, douce vengeance sous les yeux d’Atalia. La situation se renversant en un clin d’œil. La poigne lui retenant le bras s’affaiblissant, elle en profite pour le retirer, le ramenant en sécurité près de sa poitrine. Ne lâchant pas des yeux la scène, muette pour une fois.
« Tu n'auras pas toujours de garde du corps, on se reverra tous les deux! » Qu'il siffle comme un chien rentrant la queue entre les jambes. Une menace vaine et inutile. Atalia ne compte pas recroiser sa route sans avoir les moyens de l'éviter. Ce bar entrant dans les endroits, qui ne la reverront plus jamais, désormais. Ses yeux se posent sur son ‘'héros'', ce brave homme qui a pris sa défense. De beaux vêtements, une coiffure parfaite et un regard doux. Doux comme celui d'un agneau, il lui rappelle le premier regard d'homme qui a attiré son attention. Une familiarité dans ses yeux d'inconnus. Elle sourit en coin, massant le bras malmené par l'ancien beau-frère. « Vous allez bien? » Qu'il demande d'une voix honnête, franche. La question n'est pas qu'une vaine entrée en matière. Ce qui plait à la belle, qui lui offre un sourire franc et chaud, comme seule Atalia en a le secret. Dommage qu'elle ait plus ou moins mérité l'agressivité qui a forcé l'inconnu à l'aider. Peut-être, une vraie demoiselle en détresse aurait agis différemment, mais Atalia étant Atalia, elle se lève de son banc et sans prévenir, se jette au cou de l'homme. Lui offrant un baisé emplit de sa reconnaissance et de la femme volatile qu'elle peut être. Le prenant par surprise, à l'évidence. Tout contre ses lèvres, bras à moitié pendant dans son dos, elle lui murmure sa réponse. « Oh mon héros… » Dit-elle dans un rire ouvert, avant de reprendre sa bouche avant qu'il n'ait véritablement le temps de réagir. Elle chatouille ses lèvres de sa langue, s'offrant à l'image d'une femme épanouie et en fleur. Son baisé est sans retenue, aimant passionnément l'homme qu'elle embrasse, les secondes que dure cet échange. Avant de le relâcher, retournant sur la plante des pieds, reprenant la distance normale entre deux inconnus. Son sourire s'attachant toujours sur ses propres lèvres. « Merci. » Son mot sonne étrange après le baisé volé, mais elle tient à lui offrir. Ses yeux dévorent chaque détail de ses traits et dans une lointaine conscience, le bruit de l'argent se fait entendre. Envisager de prendre pour nouvelle proie, son ''presque'' sauveur l'ennui un peu. De plus, elle est en congé ce soir. Autant remettre la décision à plus terre.
« Je vais bien, rien qu'une bonne journée ne pourra pas régler. » Ajoute la dame, caressant la peau, un peu rouge, de son avant-bras. Ses yeux observant qu'il n'y a, effectivement, aucune raison de s'inquiéter. Une légère douleur, tout au plus. Elle se retourne sur la pointe de ses pieds nus et sautille à moitié jusqu'à son tabouret, dont elle reprend possession, en ignorant les regards curieux. « Steve! Offre à mon héros un verre, je lui dois bien ça! » Dire qu'elle connait déjà le prénom du serveur… « Vous m'accompagnez, n'est-ce pas? » Qu'Atalia ajoute en relevant un sourcil interrogateur. Le regard pétillant, taquin.
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Lun 17 Juin - 7:34
Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 47
When people say a knight's job is all glory, I laugh and laugh and laugh. Often I can stop laughing before they edge away and talk about soothing drinks.
I don't damsel well. Distress, I can do.
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Mer 10 Juil - 8:07
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Oh mon héros?
La sensation de ses lèvres sur les siennes réchauffe le pouls du succube, qui s'amuse de voir la réaction de l'homme. D'autres l'auraient déjà renversé sur le bar, mais pas celui qui lui fait face. Celui dont les lèvres attirent son regard. Son héros impromptu. « Je… c'est la moindre des choses... » Cette main sur sa nuque et ce malaise dans ses paroles. Elle s'en tortille presque d'appréciation. Son attention absorbée par lui, en oubliant le reste du bar. Sourire en coin, son visage se détend et brille de cette chaleur qui est la sienne. Elle s'en sert telle une arme, mais pas ce soir. Préférant simplement charmer par ce qu'elle est, que de vraiment chercher à troubler une victime. Celui-ci n'étant pas de ce lot. Pas après son intervention, lui l'unique à avoir bougé dans une salle comble. De nouveau un petit rire léger, quand elle remarque le regard qui se glisse vers la sortie. Elle sent son envie de le taquiner qui gonfle, celui de découvrir s'il est aussi appétissant nu qu'ainsi vêtu qui commence à gronder. Atalia ne peut nier l'attrait qui se dessine sous ses yeux.
L'alcool coulant pour remplir leurs verres, l'herboriste insiste de son regard sur ses épaules. Pour voir cette rougeur monter de nouveaux à ses joues. « Merci... » Elle porte le liquide à ses lèvres, puis en chasse une goutte avec sa langue. Caresse délicate et subtil, qui n'en reste pas moins adresser à son interlocuteur. « Le temps d'achever votre cadeau, avec plaisir... » Elle lève son verre avec lui, pour mieux lui adresser un sourire éblouissant. De ceux qui lui viennent spontanément. Un véritable sourire. Elle n'a pas envie de le voir partir et compte bien se l'approprier encore quelques minutes. Pour le plaisir de ses yeux et de sa compagnie. Parce qu'elle est véritablement reconnaissante, tout autant. « Autant faire en sorte que ce verre s'éternise, alors… » Petit regard vers Steve, qui hoche la tête pour venir remplir ce que l'homme vient juste de boire.
« Je… suis Desislav » Qu'il se présente, l'anneau à son doigt brillant dans la pénombre. Elle souffle son rire, son sourire se changeant en quelque chose de plus mutin, limite coquin. Bat des cils avec innocence pour ajouter au tableau qu'elle offre sans gêne. « Si jamais une marque persiste... » Elle suit des yeux son geste pour revoir cette marque sur son bras et inspire profondément. « Et que vous connaissez le nom du goujat, je peux facilement vous avoir une injonction. » Avocat, titre qui tombe et colle au personnage. Elle tend sa propre main, libre d'anneaux, même si trois lui ont déjà été passé au doigt. Pour mieux serrer celle qu'on lui tend. « Atalia. Ravi de vous rencontrer, Desislav. » Qu'elle prononce de sa voix amusée. Avant de retirer sa main de cet échange pour mieux la pointer vers le plafond. En signe d'une reddition, qu'elle ne ressent pas réellement. Ne ressent même absolument pas. « Avec cet anneaux au doigt. Je suppose, que je vous dois une excuse pour mon comportement. » Elle incline légèrement la tête, laissant ses cheveux, cacher son visage clairement peu coupable. « Pardonnez-moi, j'ai un faible pour ceux qui viennent à mon secours. Mais, je promets de ne plus franchir les limites de votre mariage… » Elle relève légèrement les yeux, mordillant rapidement sa lèvre inférieure. « Du moins, tant que vous ne le demanderez pas. » Un murmure, presque inaudible, alors qu'elle reprend son verre et en bois une gorgée. Du bout des doigts, elle caresse ses lèvres et hausse les épaules. « Vous m'excuserez à votre femme, je n'avais pas l'intention de me jeter sur un homme marié. » Oh… La menteuse que lui souffle son esprit, puisqu'elle n'a jamais considéré les femmes dans son choix d'hommes, ni les hommes dans son choix de femmes. Elle reste prête à respecter Desislav et son mariage. Atalia n'étant pas purement un monstre, après tout.
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Lun 22 Juil - 16:21
Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 47
When people say a knight's job is all glory, I laugh and laugh and laugh. Often I can stop laughing before they edge away and talk about soothing drinks.
I don't damsel well. Distress, I can do.
† ♰ †
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Dim 4 Aoû - 5:24
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Oh mon héros?
Le ‘'miss'' la fait rire, d'un son joyeux et chaud. Le miel de sa personne s'écoulant depuis sa gorge. Elle laisse son œil pétiller d'amusement en l'observant. Son expression avenante, contrastant avec ses sourires mutins. « Atalia, c'est bien suffisant. J'ai abandonné les miss et les mesdemoiselles, il y a quelques années déjà. » Du moins, la plupart du temps. Ses liens avec la noblesse affaiblie avec son adolescence. Ce qui lui permet une certaine liberté dans les convenances et ses choix de vies. Elle voit le choc, lorsque les mots franchissent ses lèvres. Ceux qui ne prennent même pas la peine d'être discret. Ses cils papillonnent, son sourcil légèrement remonter avec le coin de ses lèvres. C'est un amusement de voir un homme aussi facile à lire. Une certaine beauté dans ce comportement qui la change des lourdingue du coin. « Je… » Elle renvoie ses cheveux derrières son épaule, ne chassant pas l'atmosphère qui se dégage de cette rencontre. Atalia jubile, en oublie la malédiction… Ou les deux malédictions qui pèsent sur sa vie.
Elle laisse l'instant faire son effet et ses mots l'empêcher de fuir. Consciente de jouer avec la vie d'un homme engagé ailleurs. Rien qui ne l'ait empêché auparavant. Briseuse de ménage, un terme qui est revenu mainte fois à ses oreilles. Un qualificatif qui lui colle à la peau. Qu'en penser? Si ce n'est que le terme est vrai. « Oh, croyez-moi, il vaut mieux la laisser en dehors de ça… ce ne serait pas bon, ni pour vous, ni pour moi. Quoi qu'elle ne vous reprocherait pas tant l'acte, que d'avoir posé le pied sur sa propriété privé. » Ses yeux glissent sur son verre que l'on remplit de nouveau, avant de revenir se poser sur Desislav, mordillant très légèrement sa lèvre inférieure pour retenir le sourire qui est le sien. Elle tique néanmoins à la fin de sa phrase, sans pour autant lui répondre. Elle le laisse se rapprocher, s'accouder au comptoir. Prendre la vraie décision de rester encore quelques minutes entre ses mains. Un choix qu'elle approuve amplement. « Possessive? Ce n'est pas un mal… Après tout, il y a beaucoup trop de tentation dans une ville comme Moscou pour ne pas l'être. » Taquinerie, qu'elle souffle. Sachant pertinemment que ce sentiment est loin de sa personne. Mais… Atalia ne s'est jamais sentie comme les autres femmes. N'en porte presque aucune en amitié. Peut-être, parce qu'elles ont peur de la présenter à leurs conjoints?
Desislav semble fatiguer soudainement, son soupir las lui parlant plus longuement que les mots qu'il peut prononcer. Elle connait ce soupir, l'a souvent entendu dans la bouche d'hommes ou de femmes qui sont mariés. En reconnait chaque secret qu'il peut contenir. Elle penche la tête pour mieux le voir, appréciant cette proximité qui efface ce qui les entoure. « Et puis, je peux être franc avec vous, Atalia ? Mon épouse est bien plus dégourdie que moi. Ces baisers… » La succube s'agite sous sa peau, cet effleurement sous son menton éveillant son attention. « … elle aurait su vous les rendre, elle. » Déjà, l'instant passe et des questions envahissent son esprit. L'idée de goûter l'époux et l'épouse effleure la surface, mais elle se tait. Croisant son regard, pour mieux le contempler. Sans gêne face à cet étranger. « Difficile de vous reprocher d'avoir goûté, par mégarde, ce qu'elle n'a pas l'appétit de déguster. Ne vous inquiétez pas… buvez. Et dite moi plutôt ce que vous faites ici, toute seule. » La femme se redresse et plisse les sourcils, avalant ce qui reste de son verre avant de s'approcher autant que lui permet son tabouret. « Attendez, hors de question de changer de sujet. » Sa main venant trouver le bras de Desislav pour s'assurer qu'il la regarde de nouveau et pas ce lieu peu fréquentable. « Vous êtes trop jeune et beaucoup trop charmant pour endurer un mariage… Disons froid. » Elle regrette presque de ne pas se jeter sur l'os et de le ronger jusqu'à la moelle. Sans vraiment pouvoir s'empêcher de réagir de la sorte.
« Vous dites que votre femme est plus dégourdie, mais manque d'appétit à votre sujet? Et si je vous apprenais à éveiller son envie? » Elle n'en glisse pas moins ses doigts le long de son bras, avant de ramener sa main sur sa propre cuisse. Sa voix s'étant faite aussi prometteuse que possible.