BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?
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Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Le début des complications.
Le Klub Orkestr n'accueille pas la belle ce soir. C'est un autre quartier, un autre bar beaucoup plus simple qui l'appelle, celui de son propre quartier. À deux pas du commissariat. Nul envie d'opulence et de danse, Atalia est d'humeur un peu acariâtre. Elle ne cherche pas de compagnie, pas réellement. Sans être capable de rester enfermer entre les murs de sa villa. Son être vibre pour la nature, le contact avec la terre, loin des perquisitions, des politiques et des monstres qui sortent de sous votre lit, pour hanter vos rues. On lui a ravi la possibilité de jardiner, du moins, pas sans des gants pour chaque étape. C'est ce qui la ronge, l'achale et l'oblige à se perdre jusqu'à ce petit endroit, fréquenter par très peu de personnes à cette heure de la journée. Un verre, sans alcool pour cette fois, entre les doigts, elle cuve ses émotions à sa table. En solitaire. Son aura chaleureuse, enfuit à toute jambe n'invite pas les autres à l'approcher. Aucun effort sur sa tenue, ses cheveux laissés à eux-mêmes. Elle est loin de la séductrice qui hante Moscou, à chaque soir. C'est l'herboriste qui se trouve derrière la table, la véritable femme et non la parure qui sert à séduire et arnaquer. Loïc au fond de ses pensées, elle contemple le vide. La semaine percutant ses pensées, malgré son envie d'enfouir la tête dans le sable pour obtenir ne serait-ce que quelques heures tranquilles.
L'heure du dîner arrive, le bruit d'un quartier qui s'agite l'obligeant à revenir un peu sur terre. Elle lève son regard vers le groupe qui vient d'entrer, s'oblige à ne sourire à personne, de n'inviter personne. Il ne lui manquerait plus qu'une sangsue cherche à l'asticoter. Une serveuse vient lui porter de quoi manger, une gentille fille, qu'elle connait depuis plusieurs mois déjà. Elle la remercie d'un sourire honnête, avant de la regarder retourner glousser pour les nouveaux arrivants. Une silhouette accroche son regard, malgré son état. Elle l'observe du coin de l'œil. Se surprend à envisager sa présence avec plaisir. Hésite à se faire remarquer, s'apprête à lever la main pour lui faire signe, pour mieux se figer au début de son geste. Ce n'est pas le visage de Desislav qui se tourne dans sa direction, mais celui d'un autre. Vaguement familier et ressemblant à l'avocat. Elle fronce les sourcils, ne se gêne plus pour le dévisager. Presque certaine qu'il ne lui est pas inconnu, sans remettre son visage en association avec un prénom. Quand leurs regards se croisent, elle sourit. Par politesse, par curiosité. Son esprit distrait de sa mauvaise humeur.
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Ven 12 Juil - 8:52
Miromir Naoumov
MONSTER UNDER YOUR BED
Impétuosité : 28
Le début des complications.
Miromir pointa le bout de son museau dans un bar quelconque, entouré de ses collègues aux lèvres fleuries de blagues. La journée s’achevait et les policiers avaient exprimé leur désir de se détendre autour d’un bon verre et d’un bon repas ; le warg les avait suivis de bon coeur, désireux de se changer les idées en agréable compagnie. Manger, boire et comparer la taille de ses armes, voilà un programme alléchant !
Mais alors que yeux parcouraient distraitement la salle, un sourire l’interpella et Miromir se figea, oubliant momentanément la présence de ses collègues autour de lui. Derrière ce sourire se déployait un visage séduisant - quoi que légèrement abattu -, dont les yeux sombres chatouillèrent l’instinct du warg. Cette femme... il la connaissait. Mais… d’où ? Avait-il déjà enfoui ses doigts au milieu de ses mèches sombres, s’était-il gorgé de leur parfum ? Son nez se retroussa légèrement alors qu’il approchait d’elle, cherchant à humer son odeur derrière les effluves lourdes du bar - où l’air était saturé par l’alcool et la transpiration humaine. « Beh cap’taine, qu’est-ce que vous faîtes ? » s’étonna un homme derrière lui. « Allez-y les gars, je vous rejoins plus tard » répondit-il sans quitter la femme du regard. Les autres hommes hésitèrent, puis s’esclaffèrent en comprenant que l’attention de leur capitaine était accaparé par cette inconnue attablée non loin de là.
Ignorant leurs moqueries, Miro’ se dirigea droit vers la femme, alors que peu à peu ses souvenirs remontaient à la surface. Elle s'appelait... Attie… Atta… Atalia ? Voilà, c’était ça : Atalia. Un prénom qu’il avait retenu, car c’était l’un des rares prénoms féminins qu’avait prononcé Desislav et qui ne se rapportait pas à une diablesse aux cheveux blonds. « Atalia » dit donc Miromir en rejoignant la femme, à laquelle il adressa un sourire chaleureux. « Vous avez une petite mine chiffonnée. » Il n’y avait ni moquerie ni reproche là-dedans ; il s’agissait simplement d’un constat. « Puis-je vous offrir quelque chose pour accompagner votre dîner ? Un verre ? Un peu de ma compagnie ? » Et comme la jeune femme ne semblait pas vraiment le reconnaître, Miromir ajouta, souriant : « Je suis Miromir, le frère de Desislav. Mon frère me parle très souvent de vous, vous savez… » « Très souvent » était peut-être excessif, mais il était si rare que Des’ ait une autre femme que Zorya dans la bouche…
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Ven 19 Juil - 9:34
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Le début des complications.
« Atalia » Son prénom prononcé lui fait froncer les sourcils, bien qu'il ne soit pas entièrement inconnu. Sa réputation, précédent l'homme si familier et étranger, à la fois. Elle hoche tout de même la tête, son sourire ne quittant pas son visage. Encore un peu loin de son sourire de fée, mais assez accueillant pour qu'on devine le tempérament chaleureux de la femme. « Vous avez une petite mine chiffonnée. » Commentaire, qu'elle peut prendre mal. Qui roule sur sa peau et lui rappel un peu son humeur du jour. Elle ravale cette réaction, pour se contenter d'un haussement d'épaule et d'un rire amusé. Au moins, il n'a pas la langue dans sa proche celui-là et pour se distraire, c'est une bonne chose. « Puis-je vous offrir quelque chose pour accompagner votre dîner ? Un verre ? Un peu de ma compagnie ? » Il y a quelque chose chez lui, de familier. Une aisance avec les autres, qui n'est pas sans lui rappeler la sienne. Un murmure au creux de son oreille, celui de ses vices, qui lui demande s'il tomberait dans ses filets. Comme la plupart d'entre eux. Vilaine arnaqueuse, bien qu'un doute persiste sur l'intérêt d'y penser. Flic ne rime que très rarement avec argent ou luxe. « Je suis Miromir, le frère de Desislav. Mon frère me parle très souvent de vous, vous savez… »
Un éclair d'intérêt dans le regard, elle l'observe sans gêne des cheveux aux orteils et son sourire prend plus de vigueur. « L'avocat marié. Je me disais aussi, que vous m'étiez familier. Ça doit être les traits de famille. Enfin, vous ne semblez pas aussi… Réservé que votre frère. » Elle tend la main pour l'inviter à s'asseoir, porte son verre à ses lèvres. Retrouvant un peu de son entrain naturel. « Ce prénom… Je suis tout à fait certaine de l'avoir entendu de la bouche de bien d'autres femmes. À moins qu'un autre Miromir butine dans cette ville. » Ses yeux deviennent espiègles, alors que la succube se détend. La compagnie chassant ses humeurs au loin et le souvenir de la terre sur ses doigts. « C'est moi qui vous invite. Un verre? »
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Dim 28 Juil - 10:07
Miromir Naoumov
MONSTER UNDER YOUR BED
Impétuosité : 28
Le début des complications.
Le sourire d’Atalia aiguise son appétit. L'estomac du loup gronde, avide de se repaître de sa compagnie.
Certes, elle ne semble pas le reconnaître immédiatement, mais Miromir a confiance : elle ne tardera pas à se rappeler de lui. Elle ne tardera pas à retrouver, dans ses traits, l’esquisse du visage de Desislav, même si ce dernier dispose d’une figure bien plus sérieuse que la sienne. Après tout, c'est Des' le sage, l'intouchable - et incapable de toucher quoi que ce soit - avocat…
Et il a raison : alors que le regard d’Atalia cascade le long de sa silhouette, elle semble le reconnaître. « Oui, c'est l'avocat marié. Même si j'aurais plutôt dit : l’avocat avec un boulet au pied. » Un sourire grignote le bas de son visage et sans plus de cérémonie, il prend place face à la brune. Et sa satisfaction croît lorsque Atalia affirme avoir déjà entendu son nom dans la bouche d’autres femmes. Collectionner les conquêtes - ou, plus généralement, les putes - ne fait naître aucune honte chez Miromir. C’est un fait, tout comme le fait qu’il boive sa vodka sans glaçon ou qu’il rêve d’encastrer le doux visage de Zorya derrière les barreaux d’une prison. « Je suis sûr qu’il y a aussi beaucoup d’hommes et de femmes qui murmurent ton prénom, Atalia » répond-il sans ciller. Le passage au tutoiement se fait naturellement. « Ça nous fait un point commun, en-dehors de notre affection pour Des" . »
Puis il acquiesce. « Volontiers pour le verre. La journée a été longue. » Une vodka ne tarde donc pas à prendre position entre ses doigts, mais c’est le visage d’Atalia que son regard emprisonne. Oh, comme il aimerait en percer les mystères... Le policier est toujours à l’affût, trop curieux, comme un jeune chiot reniflant soigneusement les jambes de son maître pour deviner son parcours de la journée.
Et Miromir ne connaît pas trente-six recettes pour s’approprier les secrets d’une femme : alors qu’il boit son verre, son genou frôle de temps à autre celui de la brune, tandis que ses yeux pétillent de malice. « Dis-moi, il y a une question qui m’a toujours intriguée. Desislav parle souvent de toi, mais… s’est-il déjà passé quelque chose entre vous ? Je sais que mon frère peut être un peu, euh… » Coincé ? « … têtu, surtout lorsqu’il s’agit des femmes. Mais je me disais que peut-être… une femme comme toi… » Il incline son visage vers le sien, l’invitant aux confidences, alors que la pression de son genou contre le sien s'accentue. Mais peut-être est-ce encore trop tôt… peut-être ont-ils besoin de plus de verres pour avoir cette conversation. Et d'un lieu moins bruyant. Plus intime.
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Mar 13 Aoû - 21:27
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Le début des complications.
« Oui, c'est l'avocat marié. Même si j'aurais plutôt dit : l'avocat avec un boulet au pied. » Sourire en coin, amusé. Le mot mariage et boulet, une manière de voir les choses. Pour l'escroc, elle le voit comme une manière d'obtenir ce qu'elle souhaite. Survivre dans un monde de requin, dont elle fait clairement partie. Le sourire plus charmant, néanmoins. Les dents menaçantes en moins. Bien que les siennes s'acharnent parfois sur la peau, question de plaisir. « Chacun voit l'épouse ou l'époux d'un autre comme un boulet. Je ne crois pas que ton frère la perçoive ainsi. » Bien qu'elle-même y voit un défi. Une conquête, mais aussi… Le sourire tendre de Desislav et le respect qu'elle possède pour cet homme, avouons-le, différent de la norme. Elle prend son verre entre ses doigts, joue avec, alors qu'elle s'amuse de découvrir les différences entre les deux frères. Miromir beaucoup plus frondeur. « Je suis sûr qu'il y a aussi beaucoup d'hommes et de femmes qui murmurent ton prénom, Atalia » Petite moue amusé, alors qu'elle mordille sa lèvre sans chercher à vraiment séduire. Avec Miromir, elle sait qui se tient devant elle et lui, sait qui se tient devant lui. Entre prédateur, on se reconnait.
« Ça nous fait un point commun, en-dehors de notre affection pour Des". » Elle se penche vers lui, la tête légèrement sur le côté. « C'est vrai et beaucoup l'espère aussi. » Taquinerie, d'une femme certaine d'elle-même. Atalia n'est en rien l'une de celle qui doute de son pouvoir de séduction. Trop confiante pour même avoir quelques amies du même sexe, ça et sa tendance à briser les ménages. Miromir s'installe, l'invitation acceptée. Le verre ne tarde pas à les rejoindre, alors que ses yeux ne le quittent pas une seconde. Frôlement de genoux, qui lui tire un haussement de sourcil. Elle se met à frôler du pied le mollet, en ajoutant à ce petit jeu qui s'installe.
« Dis-moi, il y a une question qui m'a toujours intriguée. Desislav parle souvent de toi, mais… s'est-il déjà passé quelque chose entre vous ? Je sais que mon frère peut être un peu, euh… » Elle attend la suite, remontant son pied jusqu'aux genoux, son visage aussi innocent que possible. « … têtu, surtout lorsqu'il s'agit des femmes. Mais je me disais que peut-être… une femme comme toi… » Son pied remonte encore, pour mieux appuyer sur l'entre jambe, une pression presque menaçante qu'elle accentue, visiblement amusé. « Une femme comme moi? Dois-je entendre que je suis de petite vertu, une femme facile qui saute sur le premier mec marié venu? Une salope assez séductrice pour détourner ton frère de son charmant mariage chaste? » Elle retire soudainement son pied, croise les jambes et appuie son menton sur ses mains. « Tu as raison. Mais, je suis aussi discrète sur les gens qui ont passé dans mon lit. Pourquoi t'intéresses-tu à sa vie sexuelle? »
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Mar 20 Aoû - 23:30
Miromir Naoumov
MONSTER UNDER YOUR BED
Impétuosité : 28
Le début des complications.
Difficile de savoir à quoi Atalia pense. Sourit-elle à ses paroles ? Ou est-elle en train de songer à Desislav ?...
Miromir décide de ne pas s’encombrer de questions. Car ce soir - comme presque tous les soirs -, son monde trop sérieux se transforme en jeu. Et il a terriblement hâte d’en connaître les règles, pour mieux les outrepasser.
Les pieds qui frôle sa cheville emballe ses pensées. Atalia et lui sont sur la même longueur d’onde, pour son plus grand plaisir. Il s’en lècherait presque les babines, mais se contente de passer la langue sur la bordure cristalline de son verre. Mmmhh... La vodka est délicieuse. Et il en a bien besoin : il lui faut irriguer un peu son organisme, surtout lorsque son cerveau est menacé de sécheresse. Son sang s’est retiré de sa cavité crânienne pour pulser férocement sous son épiderme, alors que le pied de la jeune femme devient plus enjôleur et remonte insidieusement le long de sa jambe. Un frisson agréable caresse son échine, son corps s'emballe, la chaleur s'accroît... et c’est à regret qu’il la sent reposer son pied au sol.
Pour autant, Miromir ne se défait pas de son sourire et se penche davantage vers Atalia, bien décidé à répondre à ses interrogations. « Tu es exactement la femme qu’il faut à Des’ » lui répond-il, aussi sérieusement qu'il le peut. « Il a besoin de quelqu’un pour… » Il ne sait comment l’exprimer. Les insultes à l’encontre de Zorya trébuchent sur sa langue, mais qu’est-ce qu’Atalia peut en avoir à faire ? La blonde ne lui est rien. Et Miromir n’est pas certain qu’elle comprendrait. Personne ne semble comprendre le danger qu’elle représente. Les gens prennent sa haine pour une lubie, un caprice de gamin jaloux, mais il sait que Zorya est nocive, quoi qu’on en dise.
Cependant, ce n’est pas Zorya qui accapare actuellement ses pensées, et les yeux de Miromir brillent alors qu’il fixe Atalia. « Il a besoin de quelqu’un comme toi pour lui faire découvrir qu’il y a monde, derrière son épouse. Un monde beaucoup plus intéressant que ce qu’il vit actuellement. » Car Des’ ne peut pas être heureux en compagnie de Zorya. Il ne le peut pas. Miromir réfute farouchement cette hypothèse. « Si je m’intéresse à sa vie sexuelle, ce n’est que pour son bien. Et quelqu’un comme toi lui ferait beaucoup… beaucoup de bien. » Il se penche encore, les yeux rivés dans ceux de la brune. Incapables de s’en détacher. « Car c’est l’effet que tu fais aux hommes, n’est-ce pas ? » Et du bout des doigt, il ose effleurer une boucle sombre. Miromir est peut-être trop gourmand, comme le loup qui gémit dans le creux de son ventre... mais à quoi bon lutter contre son instinct ?
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Mer 11 Sep - 20:30
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Le début des complications.
Les images défilent dans son esprit, les paroles tout autant. Desislav l'a marqué de par cette amitié qui l'a pris par surprise. Un homme… Différent pour le moins. C'est toute autre chose qu'elle découvre chez son cadet. La lueur dans son œil, l'attention qu'il lui porte. Elle devine le loup qui couve sous sa peau, sans savoir à quel point elle a raison. Atalia inspire le liquide de son verre, se régale de l'arôme riche et familier. Alors, qu'elle tend l'oreille. Écoute les paroles de Miromir, sans l'interrompre. Les bonnes manières lui imposant un peu de tenu. Après tout, ce n'est pas Maksim, son armure ne peut être entièrement mise de côté. « Car c'est l'effet que tu fais aux hommes, n'est-ce pas ? » Elle penche légèrement la tête sur le côté, son sourire de fée s'épanouissant sur son visage. Elle ne recule pas à son approche, joue même avec la limite en avançant le buste à son tour. Dépose son verre, avant de le renverser et bat des cils, pour imiter l'innocence. Sachant que le geste sonne faux. Ses doigts, viennent doucement remonter le long du bras qui lui fait face, alors qu'elle détourne le regard pour observer le geste. « Parfois… Ils retrouvent leur liberté et découvre bien des façons d'avoir du plaisir. Une véritable bouffée d'air frais… » Elle fixe de nouveau ses pupilles aux siennes, laissant ses lèvres s'écarter davantage pour attirer son regard. « La plupart ont fini par le regretter, Miromir. Il n'y a jamais rien de parfait. Qui te dit que je serais vraiment mieux pour ton frère, que sa femme? La moindre petite recherche sur moi, t'apprendrais que j'ai trois ou quatre ex époux pour témoigner du contraire. » Sa main se retire, alors qu'elle retourne s'adosser au dossier de sa chaise, prenant une gorgée de son verre au passage.
« Et puis, j’ai définitivement l’impression d’être une prostituée, qui négocie son tarif. Très peu flatteur et encore moins excitant qu’un de ces nobles qui composent ma famille. » Elle hausse les épaules, sans se départir de la lueur amusée dans son regard. « Combien de femmes as-tu essayé de lancer dans les pattes de Desislav? »