Affamée d'un besoin qui la ronge, Atalia a ressorti cette robe blanche vaporeuse, qui lui descend jusqu'aux chevilles. Nattes et absence de maquillage donne une note bohème à l'ensemble. Chaussant des sandales délicates et confortables, la belle se glisse dans la foule. Chasseresse en besoin d'une proie consentante. Loin de la croqueuse de diamant en repérage, c'est Atalia la femme qui cherche à se combler de compagnie. Masculine ou féminine. Qu'est-ce qu'elle en sait. Ce soir, elle est d'humeur au charme. Espère secrètement croiser une certaine blonde, reine de l'endroit. Sans se faire d'illusion. Elle observe les spectacles, contemple la peau offerte avec une classe et un raffinement qu'aucune autre place à Moscou n'offre. S'installe à une table seule, invitation à venir l'envahir quelque peu. Laisse sa natte retomber délicatement entre ses seins et sourit à ceux qui s'approche. Le Klub aidant à attirer ceux qui cherchent de la compagnie. Aucun n'est invité à rester pourtant. Hommes trop semblable à ceux qu'elle côtoie, noble ou homme d'importance. Propret, gentleman. L'ennui assuré. Atalia recherche ses racines paternelles. Quelqu'un qui ne sera pas tout droit sorti de l'école des convenances, quelqu'un de plus normal… Pour passer la soirée et la nuit, si le plaisir est partagé.
Voyant une troisième copie conforme l'observer, l'herboriste abandonne sa table et la parfaite vue sur Dahlia, pour s'enfoncer plus loin dans la pièce. Près du bar et surtout, loin des voyeurs plus riches. La soirée est jeune et la Klub bondé, elle se perd un instant dans la foule. Cherche des yeux un nouvel endroit où s'installer. Fini par remarquer une tête blonde et seule. La place libre à ses côtés. Elle force un peu son passage, se fait pardonner à l'aide de quelques sourires enchanteur, tourne presque entièrement sur elle-même pour réussir à s'en rapprocher. Avant de découvrir la nouvelle silhouette plus rapide, occupant la chaise visée. Sans être agacé, Atalia hausse les épaules et retourne à sa quête. Son sourire toujours aux lèvres, petite fée qui attire la chaleur et resplendi par sa vie. Elle en vibre presque, de ce bonheur si convoiter. Elle avance d'un pas, s'accroche les pieds à même les chevilles d'un abruti qui ne regarde pas ou ne se soucie pas des gens autour de lui. Son équilibre l'abandonne et la belle tombe. Elle s'attend à un choc, sait qu'une certaine douleur ne la manquera pas. Ferme déjà ses yeux en prévision de l'impact. Pour finir par les rouvrir de surprise. Au lieu du sol froid et dur, la chaire chaude l'a cueillie. Elle bat des cils sans comprendre, tourne légèrement son visage pour mieux réaliser qu'elle a atterrit sur les genoux d'un inconnu. Fidèle à sa nature, elle lui sourit de toutes ses dents et éclate d'un rire profond, son cou légèrement tendu vers l'arrière. « Pardonnez-moi. » Réussi-t-elle à souffler entre deux rires. Sa propre main contre ses cotes, elle calme son hilarité pour mieux sourire à sa chaise imprévue. « Est-ce que ça vous dérange, si je reste ainsi une petite minute de plus? Il semblerait que la foule m'empêche de circuler normalement. »
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Sam 29 Juin - 10:49
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Chanceux, tu pouvais te considérer chanceux, un joli cœur venait de te tomber directement sur les genoux. Les bras légèrement relevés pour ne pas les appuyer sur elle, tu l’observes avec un air curieux, un peu gêné aussi peut-être. Elle a l’air de flotter avec cette robe vaporeuse et son joli minois, comme une valisk. Tu la retiens à peine pour pas qu’elle tombe plus bas, tu bandes les muscles pour la retenir là sur tes genoux et ne pas ployer. Tu l’avais entraperçue quelques minutes auparavant alors qu’elle semblait hésiter, folâtrer. Un délicieux petit être et elle ne semble pas vouloir bouger. Tu cesses de respirer un instant de peur que la belle s’échappe, fuit après s’être relevée.
« Y a pas de mal. » Que tu finis par lâcher après un temps de retard. Tu ne bouges toujours pas, tes mains n’osant pas attraper ta consommation et tu lances un regard autour de vous, nerveux. Les gens s’arrêtent rarement à tes côtés ou la discussion ne tient pas bien longtemps – tu ne fais pas grand-chose pour l’entretenir, il faut dire. « Puisque vous êtes là, je peux vous inviter à boire un verre ? » Tu lui offres un pauvre sourire, plus sincère que ceux usuels que tu arbores en permanence, un peu ravi, un peu gêné, un peu curieux, surtout étonné. Est-ce qu’en réalité cette femme qui te tombe dessus serait réellement un signe du destin ou quelque chose destiné à t’écraser à nouveau.
En tous les cas, son rire te ravit et ton palpitant accompagne ses éclats de ses battements. Le cou qui s’offre à toi, sa peau, son sourire, la finesse de ses habits, tout résonne en toi dans une litanie, une ode à l’amour que tu répètes tous les soirs mais qui te semble à chaque fois plus sincère. « Je vous cèderais bien ma place mais vous avez l’air de ne pas pouvoir bouger. » Tu ne sais pas où mettre tes mains. Non pas que tu ne sois pas habitué à la gente féminine, tu as eu ton lot de caresses et d’interludes mais tu n’avais que rarement eu une femme, relativement sobre, qui s’effondrait sur toi comme méthode d’approche.
Cette soirée, tu y étais allé surtout pour t’occuper le soir, parce que tu avais du mal à trouver le sommeil avec les horaires décalés, parce que personne n’était disponible et que tu n’avais aucun sujet important à traiter. Les perquisitions étaient un sujet qui revenait trop souvent sur le tapis et tu n’avais aucune envie d’écouter encore une fois la même logorrhée de plaintes et de lamentations, que ce soit des tiens, des autres, des flics ou des émissaires. Te rendre au milieu du quartier que tu avais pourtant inspecté était peut-être prématuré mais la joyeuse ambiance ne semblait pas avoir été de trop perturbée par cette entracte politique et il y avait peu de chances que tu te fasses prendre à partie, voire même reconnaître, parmi cette foule. Qui faisait attention à toi ?
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Sam 29 Juin - 23:28
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
Sur ses genoux, elle l'observe. Son coussin imprévu se révélant de sexe masculin, pas trop jeune pour la rebuter. Rien de pire qu'un nourrisson se pensant adulte pour lui couper toute envie de quoi que ce soit. Là, aucune trace de l'adolescence et ses mains qui ne se jettent pas instantanément sur son corps. Pour découvrir ses formes et certainement, récolter la gifle qu'elle n'aurait pas hésité à lui offrir. Il ne la chasse pas pour autant. Elle apprécie ce que ses yeux découvrent, note ses traits quelque part dans sa tête. D'aussi près, Atalia n'a d'autre choix que de remarquer son visage. « Y a pas de mal. » Elle n'a pas sa retenu, personne tactile, elle glisse l'une de ses mains sur l'épaule de son presque sauveur, question de se reculer quelque peu, sans pour autant basculer vers l'arrière. Ainsi placé, la belle est plus en mesure de lui répondre. Après tout, ils ne se connaissent pas et cette proximité forcée, n'est peut-être pas plaisante pour lui. Quoi, qu'elle en doute, il semble surtout nerveux. « Puisque vous êtes là, je peux vous inviter à boire un verre ? » La fin de son rire se transforme en sourire et elle tourne la tête vers l'alcool déjà servi à ce monsieur. Dans un coup d'audace et franchement peu surprenant, quand on connait Atalia, elle s'empare du verre et en vide le contenu. Avant d'offrir un deuxième sourire à l'homme. « Seulement, si je peux vous en offrir un, moi aussi. » Qu'elle roucoule pour réponse.
La femme sent la foule qui lui frôle les jambes, jette un œil sur ceux qui les entourent, avant de gigoter légèrement. Comme pour mieux s’installer, sa seconde main retombant sur sa propre cuisse, une fois le verre déposé. Le bout de ses doigts frôlant le corps de l’inconnu. « Je vous cèderais bien ma place mais vous avez l’air de ne pas pouvoir bouger. » Elle acquiesce, prenant le temps de croiser son regard quelques secondes, toujours ce léger sourire taquin en coin. « Avec cette foule, autant partagé. Sinon, vous risqueriez d’être celui qui tombe sur les genoux d’un inconnu et avec le taux d’alcoolémie dans le coin, j’ignore si ça finirait aussi bien. » Elle fait signe à une serveuse, une crinière rousse qui ne lui est pas étrangère, celle-ci rapplique avec l’agilité de l’habitude. « Qu’est-ce que vous buvez? » Qu’elle lui demande, en indiquant celle qui attend la commande. Puis, Atalia se penche vers son oreille, le laissant répondre à la barmaid. En profite pour lui murmurer quelques mots. « Mes cuisses et le bas de mon dos sont sans danger pour vos mains… Et ce sera certainement plus confortable pour nous deux. »
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Mar 2 Juil - 9:47
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Elle se glisse contre toi et tu te prends à te demander si elle fait ça avec tous ou si tu as vraiment eu de la chance. L’assurance des gestes te font penser à une professionnelle et tu ne parviens pas à te dire que cela te rebute. Tu profites de sa présence et de sa chaleur, tu admires ses courbes et tu observes avec curiosité ses gestes. Tu fronces cependant le nez lorsqu’elle s’enfile ta consommation. Cela ne change pas grand-chose au prix que tu aurais payé si tu lui avais offert à boire mais l’impulsivité de la chose te fait te renfrogner un instant. Ta rancœur disparaît pourtant aussi vite qu’elle est arrivée et tu offres un sourire, toujours un peu fade, à sa réponse.
Ok, tu ne sais pas si tu as ferré pour ce soir mais elle va au moins te permettre de passer quelques agréables minutes en sa compagnie. Tes yeux s’éclaircissent sensiblement à son contact, à ses gestes mesurés et semblent-t-ils habitués, ton sourire s’agrandit au fil des secondes. « Je suis tout à fait charmant, je suis certain que les hommes seraient ravis de mon approche. » Ton regard imite le sien et un instant elle n’est plus qu’un poids sur tes genoux, tu es perdu vers l’ailleurs, à observer tous ces visages, la frénésie qui vous entoure, nourrie par l’alcool, la proximité et l’excitation. Les mouvements servent à oublier les jours passés, la douleur des arrestations et des brimades gouvernementales. Les gens sont là pour oublier et se nourrir de la présence d’autrui, ne serait-ce qu’un instant. « Hm ? » Tu retournes la tête alors que ses lèvres effleurent ton oreille, tu clignes plusieurs fois des yeux face au regard de la barmaid et tu indiques le verre devant toi. « La même chose, huh…. C’était la … » Tu poses une main sur le bas du dos de la femme. « Bouteille là-bas, celle à côté de la bleue. » Ton autre main se pose sur une cuisse, près d’un genou et tu passes un pouce le long de la peau, dans un mouvement répétitif qui a le mérite de te calmer.
La sentir si près, ses lèvres proches de toi, la chaleur t’excitent autant qu’elles t’apaisent et tu parviens à oublier un instant tout ce qui vous entoure pour te concentrer sur cette inconnue. Ton sourire se fait plus sincère et ton corps se tend vers le sien, pour combler les vides entre vous. « Cette robe vous va à ravir, c’est un joli travail. »
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Mar 2 Juil - 13:48
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
« Je suis tout à fait charmant, je suis certain que les hommes seraient ravis de mon approche. » Le sourire d'Atalia se change presque en celui d'une fée, lorsqu'elle voit le visage de l'homme s'éclairer quelque peu. Répondre à sa chaleur, l'observer en tout honneur. Elle aime qu'on la contemple, la vanité n'étant pas hors de son caractère. Ce n'est, toutefois, pas le principal attrait dans sa vie. Femme vaniteuse ne lui convient pas réellement, quoi qu'en dise les mauvaises langues. Ce soir, en cette soirée offerte à sa propre personne, le regard qu'on pose sur son corps la ravit pour de bonne raison. Nul faux semblant avec lui, bien qu'elle ait la séduction au bout des doigts et de la langue, plus naturellement que sa salive. « Certainement pas leurs femmes ou leurs maîtresses. » Qu'elle dit, un éclat de rire dans sa voix et dans ses yeux. Profitant de l'arrivée de la barmaid, Atalia se réjouit de la réaction qui suit ses paroles. Son souffle contre sa peau, elle l'écoute réagir, ressentant une certaine tension s'installer dans son corps. « Hm ? » La belle se presse légèrement contre son torse, le laisse passer sa commande, sans se départir de la joie de vivre qui s'éveille dans ses sens. « La même chose, huh…. C'était la … »
Les mains qui frôlent le bas de son dos et ses cuisses, la font frissonner. Elle entend presque les paroles des nobles de son enfance, la traitant de nymphomane et de fille facile. Qu'elle chasse, préférant se concentrer sur cette nouvelle rencontre, que sur les ombres de son passé. « Bouteille là-bas, celle à côté de la bleue. » Sa peau réagit au mouvement répétitif sur sa cuisse, s'échauffe, concentre son attention sur ce simple contact. « Whisky pour moi. Merci, Es. » Sa propre commande passé, elle délaisse la barmaid pour tourner entièrement son visage vers le sien, au même instant qu'il comble le vide entre leurs corps. La rapprochant ridiculement du visage de l'inconnu. À un pouce de lui murmurer contre ses lèvres. « Cette robe vous va à ravir, c'est un joli travail. » L'instant s'étire, alors qu'elle accroche son regard au sien et laisse le coin de sa lèvre se retroussé simplement. Elle dépose sa main contre son torse pour mieux se tenir, en profite pour découvrir le corps qui la soutient. Du pouce, la belle imite le geste répétitif qu'il fait sur sa cuisse. « Ravi qu'on ose me le dire. » Qu'elle taquine un instant, avant d'ajouter, sincère : « Merci. »
Ce n'est pas qu'elle n'a pas idée de l'effet de cette robe sur son corps, plusieurs personnes le lui ont déjà fait comprendre. Peu ont pris la peine de lui dire, préférant démontrer par des gestes parfois à la limite du désagréable. Elle savoure ce rapprochement, passe ses yeux sur les lèvres de l'homme, avant de pousser de sa main sur son torse pour s'éloigner d'un centimètre ou deux. « Je suis Atalia. » Présentation tardive, qu'elle ne veut pas oublier. À d'autres, les noms sont inutiles. Ce soir, avec lui, elle s'offre le loisir d'être elle-même. Autant l'entendre prononcer le bon prénom, peu importe comment la soirée se termine. « Vous êtes libre d'engagement ce soir? Dois-je m'attendre à repartir en chasse d'une chaise pour m'asseoir? »
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Jeu 4 Juil - 9:41
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Elle est jolie, agréable à l’œil comme dans sa façon d’être. Tu es ravi, chanceux, presque heureux. Tes yeux s’étrécissent de malice et d’amusement à sa remarque. « Alors autant ne pas m’y risquer ce soir. » Même sans le faire, avec ta chance, tu pourrais aisément être confondu, subir l’ire d’un époux bafoué, d’une femme trompée, d’une amante indignée. Tu ne préfères pas tenter le destin ou Mauvais Œil. Tu aimes trop la sensation de son souffle contre ton derme pour être capable de chercher ailleurs ce soir. La femme sur tes genoux semble être une habituée des lieux, elle connait la barmaid par son prénom. Est-ce une pute ? Tu n’arrives pas à t’en offusquer ou à en être gêné, s’il fallait payer, ainsi soit-il, tu étais trop ravi que quelqu’un se soit intéressé à toi ce soir sans reproche pour chercher la petite bête qui te ferait inévitablement regretter d’être venu ici ce soir.
Tu louches sur son visage, observe la délicatesse de sa peau, accroche son regard maladroitement et observe le sourire qui se forme après un long silence. Tu clignes une fois des yeux, deux fois lorsqu’elle s’appuie sur ton torse, t’attendant presque à ce qu’elle te repousse en riant. Ton cœur bat sous sa main, fort, intéressé, anxieux aussi peut-être de la suite de la soirée. Tu n’arrives pas à te faire à l’idée qu’il faudrait te méfier d’elle mais une part de toi te dit que dans ce quartier il n’existe aucun innocent, quel que soit son crime. Dans un souffle, tu lâches. « Artiom. Enchanté. » Ton pouce a cessé son mouvement de va et vient tandis que ta main s’est figée sur sa cuisse. « Je suis tout à vous ce soir, Atalia. Cependant, aussi agréable que vous soyez, je crains de ne pas être la plus agréable des chaises. » Qu’est-ce que tu bafouilles, Temi ? Est-ce que tu essaies de la faire fuir ? Tu t’y prends mal. Ton emprise sur sa cuisse se desserre, pour ne pas être oppressant.
Tu réfléchis trop Témi.
« Mais vous pouvez rester autant que vous le souhaitez. » Vos commandes sont déposées devant vous et tu finis par la relâcher pour prendre un peu de courage liquide. Après ces journées à semer le trouble dans le quartier à faire des perquisitions et taper rapports sur rapports, tu avais l’impression d’être vidé de toute essence. « On peut aller ailleurs, quelque part de moins bruyant et où vous ne devrez pas chercher de siège, si vous voulez. »
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Jeu 4 Juil - 21:54
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
« Alors autant ne pas m'y risquer ce soir. » Elle inspire l'odeur masculine qui se dégage de sa peau, s'y complet en quelque sorte. Son succube s'affole presque à l'idée qu'il puisse répondre à son appel, elle continue de lui sourire. Se rapproche, le tourbillon d'une première rencontre l'enveloppant dans son manteau. Les contacts excitant des débuts. Atalia les goûtent, si abreuve comme une ivrogne en quelque sorte. Avec la classe qui manque à son paternel. « Artiom. Enchanté. » Elle laisse le son rouler sur sa langue, alors qu'elle murmure son prénom d'un ton taquin. Inspire profondément, en se pressant très légèrement davantage contre son torse. La légèreté de son esprit la porte loin de ses soucis. Artiom en parfaite distraction.
« Je suis tout à vous ce soir, Atalia. Cependant, aussi agréable que vous soyez, je crains de ne pas être la plus agréable des chaises. » Elle s’éloigne furtivement, plisse les sourcils, la tête pencher sur le côté. L’observant tel un oiseau. Cherchant à comprendre cette main qui relâche sa prise sur sa cuisse, qui l’éloigne pratiquement en quelques secondes. Un froid, qu’il semble hésiter à lui offrir. Elle ouvre la bouche pour répondre, puis lui laisse la possibilité de continuer. Refusant qu’un changement d’opinion soit si soudain. « Mais vous pouvez rester autant que vous le souhaitez. » Elle lâche un rire de malaise, de soulagement. La tension la quitte aussi rapidement qu’elle est venue. Elle retrouve son sourire, lui adresse de nouveau. L’imite, se désaltérant de l’alcool qu’on dépose à leur intention. Le Whisky lui brûlant à moitié la gorge, enivrant en douceur son esprit. Elle vide son verre, ou presque, le dépose pour se libérer les mains. « On peut aller ailleurs, quelque part de moins bruyant et où vous ne devrez pas chercher de siège, si vous voulez. »
L’invitation l’oblige à le regarder dans les yeux, elle se penche vers lui, dépose ses lèvres en un chaste baisé, juste à la commissure des lèvres d’Artiom. Puis, gigote jusqu’à retrouver le contact avec le sol. Elle se lève, s’étire tel le chat, tournois même sur elle-même, bouscule une malheureuse personne. À laquelle, elle s’excuse avec son sourire de fée. Son attention retourne vers la chaise improviser, à qui elle adresse un demi-sourire charmeur. « Une marche pourrait me faire du bien, ça me ferait plaisir d’être accompagné. » Elle le prend par la main, tire l’homme à sa suite, franchis la foule avec l’aisance d’une femme qui n’hésite pas. Pour trouver la sortie arrière. Celle que la foule ne bloque pas. Une certaine solitude s’installant autour d’eux. Elle ouvre la porte et s’arrête à mi-chemin entre l’extérieur et l’intérieur. « Dernière chance de changer d’idée, derrière cette porte, il n’y aura plus que moi pour vous tenir compagnie. »
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Mar 9 Juil - 3:21
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Il y a tout en elle pour éveiller tes envies et ton esprit répète déjà comme un mantra son prénom ; Atalia, Atalia, Atalia. Son odeur, sa chaleur, sa présence te font comme un baume sur l’esprit et sur le corps. Tu ne t’inquiètes plus autant que tu le devrais, bercé à la fois par Atalia, la chaleur rassénérante de l’alcool et l’atmosphère extatique, tu laisses un instant fondre ta méfiance et tes défenses pour pouvoir loucher dans son décolleté. Pourtant tu la sens se tendre contre toi, t’observer, faire preuve de gêne et tu peines à saisir si la faute vient de toi, de tes paroles ou si elle est surtout venue à reculons.
Est-ce qu’elle fait l’appât pour une autre bande de racailles du quartier pour pouvoir te foutre une rouste une fois dehors ? Ce ne serait pas la première fois qu’on essaie de t’attirer avec un joli rêve sucré. Non pas que tu étais suffisamment important – ou tu n’en donnais pas l’impression – mais parce que la malchance t’accompagnait partout où tu allais et influençait un peu trop sur les choix de victime. Ces inquiétudes sont un instant balayées par le bécot qu’elle dépose au coin de tes lèvres et ton sourire se fait un peu plus présent, un peu plus marqué. Tu la laisses t’échapper pour pouvoir mieux la suivre. Tu n’as pas le temps de payer ta consommation alors qu’elle t’attrape la main et t’attire derrière elle.
Il allait falloir que tu reviennes pour ça, ton karma venait de perdre tellement de points les derniers jours tu ne pouvais pas te permettre de rajouter des mauvaises ondes. Ton emprise sur sa main se resserre mais votre place est déjà prise et vos consommations disparues aux mains de profiteurs. Tu retournes ta tête vers Atalia que tu suis en louvoyant comme tu le pouvais entre les corps, respirant un peu mieux alors que la foule s’éclaircit, les nerfs moins à vifs une fois isolés. « Vous annoncez ça comme une fatalité. » Ton nez se fronce, les inquiétudes reviennent. Qu’est-ce qui t’attend dehors ? Où est-ce qu’elle t’emmène ? D’un coup tu n’as plus très envie de sortir mais tu n’as plus non plus envie de retourner auprès de la foule, la chaleur t’écœure et l’odeur te met mal à l’aise. Tu fatigues nerveusement et tu sens que faire des pas en arrière seraient impossibles.
Puis, tu l’aurais méritée cette curée, non ? On te le rappelle tellement les derniers temps. Lyov, Nikolaï, Claus, tous les gens que tu fréquentes, même tes likhos se plaignaient sans cesse de ton « double-jeu ». Y en a-t-il vraiment un ? Tu resserres sa main et tu la suis dehors, dans l’atmosphère liminaire d’une ruelle. Elle te rappelle celle où tu avais fait face à Sigyn Ozouf. Mauvais Œil soit loué… Sigyn Ozouf… Tu n’avais appris que plus tard dans la journée que la femme était activement recherchée. « Qu’est-ce que vous voulez ? » Sans faire d’elle une prisonnière, tu gardais sa main dans la tienne, le sourire presque disparu, le regard perdu dans la ruelle. Tu ne cherches rien de particulier, tes yeux s’accrochant à peine aux traces laissées par d’autres passages et tu avançais sans réellement faire attention où tes pieds se posaient. « Vous n’avez pas froid dans cette robe ? » Tu ne cherches pas à feindre un ton faussement enjoué qui ne résonnerait de toute façon pas dans la crédibilité de cette conversation. « Où allons-nous ? »
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Mar 9 Juil - 10:52
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
« Vous annoncez ça comme une fatalité. » Atalia se rapproche un peu de l'homme, à mi-chemin de la ruelle rouge. La porte toujours semi-ouverte. « Pas une fatalité, une envie qui n'apprécie pas d'être laissé frustrée et préfère être certaine de qui l'accompagne. » Qu'elle lui murmure, alors qu'il la suit à l'extérieur. Que l'air frais la balaye et lui permet de respirer pleinement à nouveau. Bien que Moscou ne soit pas ce qui a de plus ‘'frais'' en matière d'air. Sa robe virevolte au contact du vent et elle frisonne de plaisir par la même occasion. L'atmosphère du Klub, en cette soirée, se révélant beaucoup trop charger pour son bien. Elle avance, sans se soucier de ce qui l'entoure réellement. Quelques mots doux lui sont susurrés à l'oreille, par cette partie d'elle-même qui fait si honte à sa famille. Du moins, une partie de sa famille. « Qu'est-ce que vous voulez ? » La question, lui fait froncer les sourcils, un demi-sourire aux lèvres. N'est-ce pas évident pour lui? Autant que pour elle? Atalia a faim d'une compagnie, d'une présence jusqu'aux premières lueurs de l'aube. Le succube implore que la chance ne décide pas de lui ravir sa trouvaille.
« Vous n'avez pas froid dans cette robe ? » Elle serre sa main, ses questions l'amusant. Lui donnant l'impression d'être un homme insistant, l'un de ceux qui ne connaissent pas les limites. « Où allons-nous ? » Puis, l'absence d'entrain dans sa voix, la fige. L'oblige à se retourner complètement vers Artiom, ses cils battants à plusieurs reprises, sur son expression surprise. Elle relâche sa main, recule même d'un pas en signe d'apaisement. « Je crois que la dernière façon polie, de vous faire comprendre ce que je désire, est de vous inviter à passer la nuit avec moi. Je peux être plus directe, mais je ne suis pas certaine que ce soit aussi propre à entendre. » Elle cherche son regard, force ce contact pour être certaine qu'il l'écoute. Après tout, il reste un étranger, un risque à prendre pour une simple humaine. Un nœud commence à se former en son ventre. L'envie d'une soirée simple, de plaisir simple, c'est tout ce qu'elle demande. Sans obtenir la collaboration de la deuxième partie impliquée… Pour l'instant. « Je n'ai rien d'autre derrière la tête, Artiom. Seulement, je ne me plais pas à faire pression sur quelqu'un. Si vous préférez, je retourne tranquillement chez moi, en solitaire. Vous pourrez trouver une meilleure raison de vous réjouir, puisque je semble surtout vous inquiétez. »
Atalia se balance sur ses talons, son sourire de fée retrouvant sa place sur ses lèvres, sa robe se mouvant avec son corps. Sans pour autant dévoiler l'absence de sous-vêtement qui la caractérise … à chaque jour. « Et pour répondre à votre dernière question. J'adore un peu de fraîcheur dans cette ville aussi surpeuplé. La robe m'y aide. » Elle s'immobilise, mains croisé derrière son dos. « Ai-je une chance de passer cette nuit en votre compagnie? » La séductrice laissant place, à une femme qui demande simplement. Souhaitant que la suite débute par la propre initiative d'Artiom.
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Ven 12 Juil - 10:45
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Qui l’accompagne ? Vous ne savez rien d’autre que le prénom et l’envie hypothétique de passer la nuit l’un contre l’autre. Tes yeux fatigués se posent sans cesse sur sa silhouette légère, presque éthérée dans cette ruelle illuminée par quelques lumières lointaines et l’astre lunaire. Tu la questionnes sans espérer de véritables réponses. Qui serait honnête dans ce genre de situations ? Ton sourire habituellement faiblard est dorénavant plus qu’une ombre, une image imprimée par l’habitude qui n’a de sourire que le nom. Tu as envie de grimacer, de serrer sa main et de disparaître tout à la fois. Sa main dans la tienne, qui répond à la légère impulsion te réchauffe à peine le cœur mais fait son office et tu cesses d’observer la ruelle à la recherche de connards cachés pour te retourner vers la fée humaine.
Tu fuis son regard pourtant, elle insiste et tu finis par céder, mirer tes prunelles aux siennes dans l’espoir que l’insistance ne soit que de façade. Pourtant de vous deux elle est celle qui a le plus confiance – ou tout du moins en donne l’apparence. Tes cils s’abaissent un instant, lourds de méfiance qu’elle apaise de quelques mots. Tu n’as pas envie de te justifier alors tu réponds par cet écho de sourire qui reprend vie, à peine. Celui trop faible pour être qualifié de risette, qui orne tes babines perpétuellement pour avoir l’air faussement amical. Vos mains se sont séparées et tu finis par glisser les deux tiennes dans tes poches.
C’est peut-être mieux ainsi, le contact est pour l’instant un frottis douloureux contre tes sentiments exacerbés. Ils se calment doucement au contact de la fraicheur de l’air, avec tes yeux qui se perdent sur ses formes, sur son visage et son joli sourire. Tu clignes à nouveau des yeux et lorsque tu réponds « Oui » ça ne sonne pas comme une promesse indéfinie. Cette soirée ne vous liera certainement pas plus que les verres que vous n’avez pas payé et que vous devrez plus tard acquitter – à moins qu’ils ne passent sous d’autres noms. « Chez vous, alors. » Tu n’aimais pas ramener des gens chez toi, déjà à cause des deux fauves miniatures mais surtout parce que ton espace privé te tenait à cœur, tu ne souhaitais pas le mêler aux problèmes derniers, ni y inviter qui que ce soit que tu ne connaissais pas réellement. Tu faisais ainsi tourner en rond dans ton esprit toutes les excuses vraies ou fausses que tu aurais pu éructer sur un coup de stress si elle te demandait pourquoi pas chez toi.
Le trajet jusqu’à chez elle se fait pourtant dans un calme relatif, tu préfères l’écouter parler et tu te contentes de quelques bruits pour signifier que tu es à son écoute, d’un sourire un peu plus franc peut-être et d’attraper à nouveau sa main lorsque l’occasion se présente. Vous ne croisez en chemin que quelques personnes qui ne vous cherchent pas de problèmes plus importants que quelques paroles échangées entre gens avinés.
Tu t’attendais pourtant à te retrouver face à des escaliers obscurs, une large porte close au lambris gratté par les années, peut-être une entrée dérobée mais la petite maison cossue face à laquelle vous vous arrêtez te fait sourire un peu plus nerveusement. « C’est bucolique ? » Tu observes avec curiosité cette villa, tu n’aurais pas douté que la jeune femme puisse se permettre de vivre dans une habitation de plein pied ainsi mais la qualité de sa robe aurait pu être une indice. Toute cette végétation est comme une réminiscence de ta petite enfance où tu passais tout ton temps dehors, assis sur le bord du chemin ou à essayer de suivre tes aînés dans leur aventure alors que vos parents travaillaient aux champs. « Autant de charme que vous. » Tu la suis pourtant sans rien ajouter de plus, une main aux doigts tordus passant nerveusement sur l’arête de ton nez. Tu te sens mal dégrossi face à cette femme et ses sourires de fée. Tu n’es pas un novice de la chose et tu fréquentes assez de beau monde pour ne plus avoir à être intimidé normalement mais tu sens les oreilles qui te brûlent et tes yeux se perdent dans l’observation de tout ce que tu peux observer autour de toi. La lumière allumée dans l’entrée projette ton ombre sur la porte que tu as refermé derrière toi. D’un mouvement d’épaules tu ôtes ta veste et tu humes avec curiosité l’odeur de la maison. Un jardin si fourni ne pouvait que signifier de capiteuses odeurs à l’intérieur de l’habitation. « Par où ? » La chambre ou la cuisine ou peu importait, tu déposes une main légère dans son dos, tu cherches le contact de sa peau.
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Mar 16 Juil - 23:40
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
Elle ne cherche pas à franchir la limite du silence, le laissant s'installer, alors que le duo marche et disparaît des mauvais quartiers. Sa maison se dessine, après de longue minute. Son endroit personnel, chaleureux et luxueux. Le mélange parfait de sa propre personnalité. Ses plantes semblent lui tendre les bras, alors qu'elle se retient d'égaré ses doigts sur leur feuillage. Un pincement lui serre le cœur, sa gorge s'assèche quelques secondes. Mais, Artiom la ramène loin de sa malédiction. Au moment présent et à ce qui ronge ses envies. « C'est bucolique ? » Petit sourire en coin, alors que l'herboriste l'accapare, le guide jusqu'à sa porte. « Autant de charme que vous. » Une vague vision de ses dents, quand son sourire s'étire. Elle ne lui répond pas, se contente de l'ambiance plus intime du moment, son regard notant les mouvements. La porte ne grince pas, malgré le bois qui la complète. Elle ouvre la veilleuse de l'entrée, l'invite à entrer, pour mieux refermer par la suite. « Par où ? » Quelque chose se détend à l'intérieur de sa personne. Le sentiment d'être en sécurité, malgré l'inconnu, se refermant autour de son corps. Faux sentiment dans une ville si tordu.
Atalia lui adresse une expression moins joyeuse, légèrement plus chaude ses iris s'assombrissant sous les idées qui lui traversent l'esprit. C'est vers la cuisine qu'elle l'emmène. Glissant ses doigts le long de son bras, pour mieux légèrement tirer sur sa main en guise d'invitation. Elle détache sa tresse en chemin, laissant sa crinière noire encadrer son corps et ses seins. Sur le comptoir, elle attrape une bouteille de whisky, les deux verres qui l'attendent et en verse dans les deux. « Je peux vous faire visiter, si vous le désirez. » Elle fait glisser le liquide derrière ses lèvres, observant Artiom avec intérêt. La chatte s'éveillant dans ses mouvements, la rendant un peu plus joueuse qu'au Klub. D'un bon, elle s'assoit à même le comptoir, laissant le bas de sa robe remonter à mi-cuisse, dévoilant l'absence de collant ou même… D'un quelconque tissu. Libre comme l'air, à l'image d'Atalia. Elle tend le verre, bras tendu vers l'homme, tête légèrement pencher sur le côté. Son expression corporelle en une invitation ouverte et honnête. « Mais, peut-être que ça peut attendre à plus tard. »
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Sam 27 Juil - 7:52
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Tu laisses ses doigts se mêler dans ton espace vitale, les yeux curieux se retrouvent régulièrement sur la mine plus succube que fée. Tes doigts frôlent les siens, laissent l’invitation familière d’un corps attiré par un autre, d’une gravité sensuelle. Tu la laisses t’échapper un instant et tu prends le verre, observe à peine le liquide doré avant d’y tremper tes lèvres. Du courage liquide, un désinhibiteur facile qui te permet d’effacer la presque timidité que tu sens enserrer ton palpitant. L’émotion est plus forte que l’esprit et l’envie se bat avec une crainte que tu n’expliques pas tout à fait. La lumière que semble déployer Atalia te fait oublier ton ombre, l’obscurité terrible qui colle à tes basques semble se déliter alors que ton hôte se dévoile impudiquement.
Puis elle se fait chatte, elle minaude, elle s’ouvre et invite et tu t’approches d’elle, tu te glisses dans ce bras tendu, dans ces courbes vallonées. D’une main, tu écartes les cheveux, l’ébène liquide qui te fascine. Tu déposes le verre sur le côté, tu réponds présent comme un bon petit soldat à son injonction non verbale. Une main se perd sur son épaule, glisse le long de son bras tandis que l’autre se loge sur son genou, caresse l’intérieur de la jambe, se fait plume. Ton corps se glisse entre ses jambes, accompagné d’un soupir qui veut tout dire, le ravissement de retrouver sa chaleur se faisant plus pressant. « On peut se tutoyer… » Ta main caresse sa cuisse, remonte jusqu’à la limite imposée par sa robe, tes doigts se risquent à explorer sa hanche, à frôler les zones érogènes tandis que tes lèvres se perdent dans le creux de son cou. Un baiser, léger, presque pudique, puis un autre sur sa mâchoire, qui suivent l’avancée de tes doigts sous le tissu vaporeux. « Ca peut attendre. » Il y a d’autres choses à visiter. Tes mains se font plus aventureuses, tes baisers se dispersent, tu attends son approbation avant de devenir téméraire et tu goûtes son odeur avec un sourire ravi.
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Dim 28 Juil - 0:03
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
L'invitation acceptée, le pouls s'agite sous sa peau. Elle l'observe bouger, frisonne à ses gestes et écarte légèrement les cuisses pour qu'il puisse se rapprocher davantage. « On peut se tutoyer… » Les politesses qui s'échappent d'entre ses doigts, s'éloigne de sa langue. Elle ne vouvoie pas ses amants, du moins pas tous. Elle resserre sa prise sur les hanches de l'homme, sans nouer ses jambes dans son dos. Pas pour l'instant, se faisant plus présente, plus enivrante à mesure qu'il s'égaye à son tour. Lui offre son cou, lorsque ses lèvres viennent effleurer sa peau tendre. Tête renvoyer en arrière, dos plus cambrer. Elle respire rapidement, à mesure qu'elle perçoit sa présence sous sa robe, qui remonte sur ses cuisses, sa hanche. Ses yeux se vrillent sur les siens, son sourire se faisant aussi provocant qu'elle est femme. « Ça peut attendre. » Elle laisse un gémissement s'échapper de ses lèvres, lorsque les mains se font plus insistantes. Son dos se cambre complètement sous ses lèvres, Atalia n'a aucune gêne dans sa façon de s'arquer. Elle glisse ses jambes le long de celles d'Artiom et le presse davantage à s'approcher.
Elle profite un instant, chatte gourmande qui aime savourer l’instant. Avant, de se redresser pour mieux glisser ses propres mains sur le torse de l’homme, relevant sa tête du bout de son doigt, sous le menton. Elle trouve sa bouche et l’embrasse à en perdre le souffle. Étirant les secondes, pour se satisfaire de ce premier baisé. Avant de rompre l’échange et d’un geste assurer venir défaire les cordons qui retiennent le haut de sa robe. Le tissu s’écroule, glisse sur le haut de sa poitrine, ses seins masqué uniquement par la proximité d’Artiom. Le tissu menaçant de la dénudé à l’instant où il s’éloignera. « Je suis toute à toi. » Que la succube murmure, se reculant très légèrement. Dévoilant à peine le début de son sein, froissant sa robe, lui laissant la possibilité de finir le mouvement.
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Mar 30 Juil - 7:57
Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Impétuosité : 279
Lucky or not?
Tu la dénudes des yeux. Ses lèvres sur les tiennes, tu t’offres à elle comme elle se laisse aller avec toi. Tes mains continuent de la caresser, s’aventurant plus près de son intimité pour se stopper un instant alors qu’elle mène la danse.
Tu la dénudes des mains, flottantes sur son corps qui s’offre tout à toi, revenir en arrière serait dorénavant une hérésie. Tu souris, un vrai qui atteint les yeux et le cœur, qui te réchauffe autant les entrailles que sa présence contre toi. Elle est face à toi, dépouillée de ses atours et tu es encore vêtu de tout. Excité, tu l’es. Tu l’attires un peu plus contre toi, ton corps contre le sien, pressant sa poitrine, tu l’invites à s’allonger en l’orientant, aidant son inclinaison tandis que tu la débarrasses des tissus qui peuvent vous gêner. A nouveau tu l’explores, avec plus de courage et de témérité, les lèvres cherchent la peau à vif, descendent le long de son cou, de ses épaules pour s’arrêter un instant au niveau de ses seins.
Puis comme à regret, elles continuent leur chemin pour atteindre le ventre. Tes mains ne se sont pas arrêtées pour autant, elles s’amusent, elles cherchent les réactions, à l’écoute des soupirs et des remarques de ta conquête d’un soir. Elles s’aventurent dans l’intimité, frôlent les zones érogènes, t’aident à ne pas l’écraser, à ne pas t’écraser. Tu lèves les yeux vers elles, cherchant son regard et son acceptation, alors que ta descente risque de s’achever avec la destination atteinte.
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Dim 4 Aoû - 17:26
Atalia Hassan
EMISSARY OF DEATH
Impétuosité : 146
Lucky or not?
Sa peau s'éveille sous les caresses, vibre sous les frissons qu'il déclenche. Elle se laisse dénuder avec plaisir, savourant l'extase de l'instant. Les secondes merveilleuses qui filent sans leur attention. Ses propres mains s'activent et touche ce qu'il laisse approcher. Artiom trop concentré sur la découverte de son corps, pour qu'elle puisse en faire de même. La succube n'y voit aucune raison de se plaindre. Elle courbe le dos, soulève ses hanches, écarte légèrement les cuisses. Suis ses demandes, s'incline pour en obtenir davantage. Le contact de ses lèvres est un délice, qu'elle encourage. Mordillant la peau de son cou, lorsqu'il approche assez près pour lui offrir la chance. Ses ongles glissants par-dessus le tissu qui recouvre le corps, qu'elle veut voir et sentir contre elle. Atalia laisse échapper un soupir de plaisir, lorsqu'il atteint son ventre, ses yeux ne manquant aucune seconde de cet échange entre étranger.
Elle croise son regard, son sourire plus chaud qu'auparavant et se mordille les lèvres. Ses pieds venant glisser contre le pantalon d'Artiom, lentement. Elle se redresse, prenant une position plus assise. Pour rapprocher son visage du sien, le ramener au même niveau par la même occasion. Lui offre un baisé, alors que ses mains se glissent à la jonction du pantalon. « Tu comptes me faire languir? » Qu'elle murmure contre ses lèvres, ses mains se faisant plus présente, si près de ce qu'elle désire vraiment.