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| Temüjin Khan Nergüi Jason Momoa 1. mon nom dans les limbes airs. Temüjin, prénom du Khan célèbre, celui qui brûla vos terres.
Nergüi, prénom du père, celui qu’on nous donne à nous autres, les fils, mais j’ai pas de père alors je n’suis juste que Personne. Je suis le sans nom, le bâtard, le chien, le limier, le bouffeur de chatte. La chose, le looser, le voisin, hey celui-là là-bas. Celui que tu hèles sans même savoir comment il s’appelle.
Puis me surnomme pas, connard, ça risque de pas me plaire.
2. mes cris sur la terre. Naissance dans les steppes Sibériennes. En été. Même s’il y fait quand même froid, dans la toundra. 39 ans que je pisse sur ta Russie.
Enfant des premiers Hommes.
Nganassane
Mais sois pas jaloux, bâtard, je suis Russe, moi aussi, un peu. J’suis Russe dans un quartier minable, là-bas, dans la Capitale. J’suis Russe dans une ruelle sombre, un soir, à l’arrière d’un bar. J’suis Russe après qu’on s’soit paumé – j’sais pas, quelque chose comme ça. J’suis Russe après qu’on l’ait dragué – qu’elle ait refusé. J’suis Russe dans les ta gueule pauvre conne, t’es bonne ; dans les cris, les pleurs et une partie de baise trop orgueilleuse. J’suis pas Russe d’amour, tu vois. Je suis Russe de haine. Mais j’suis Russe quand même – même si j’t’emmerde.
3. mes tourments ventriculaires. Célibataire – parce que la nuit les filles sont frivoles avec un léger goût d’alcool.
4. mes espoirs éphémères. J’nettoie, moi, tu sais. J’nettoie avec ma gueule, mon bide, et peut être aussi un peu ma tête. Je déguise et je fascine – je bute même, si tu veux bien m’donner plus, la chaîne du j'te crève j'l'encaisse. T’sais, j’m’en fous de ce que tu fais - de ce que je fais - tant que t’alignes la monnaie – je m’en fous que tu sois bon ou mauvais.
J’nettoie tes cadavres, tes charognes. Tes corps. Avec la neutralité de la Mort. C’que des billets, quand t’y penses. Des billets et des chiffres – des numéros et des ordres de missions. Avec des pensées – des pensées et des vies mais je bois, je bois pour oublier.
J’becte pour toi – je me mouille pour toi. Souvent, je ne sais pas qui t’es, mais je le fais quand même. Je le fais quand même parce qu’il faut que je paie mon loyer et que j’ai pas la réputation d’un Emir. J’ai pas la gueule des autres emplois – j’ai la gueule de celui qu’il faut pas.
J’me bats, aussi. Des combats clandestins, des trucs qu’on retrouve dans les caves de ceux qui ont regardé trop de films.
J’me fais de la thune comme je peux. Je me nourri comme je veux.
5. mon cocon mortifère. Hargneux – Pugnace – Colérique – Impulsif – Violent – Imprévisible – Instable – Impitoyable – Vulgaire – Mal sociabilisé,mal ordonné, mal élevé – Manque absolu de tact - Froid
Fidèle – Fiable – Charismatique – Intelligent même s’il peut paraître bête – Tenace – Protecteur – Discret malgré la masse qu’il se trimbale - Habile avec un flingue ou une machette peut être même avec un arc et des flèches – A de l’humour… Noir comme son âme, mais c’est de l’humour quand même - Bon exécutant, excellent chef de file.
* A noter que : - Temüjin est hyperpolyglote et saisi la plupart des langues samoyèdes, il cause donc avec un accent étrange et jure souvent dans son nganassane natal ; - Temüjin saurait te dessiner un mouton, mais, outre le fait qu'il n'en a probablement pas envie, il est beaucoup plus doué pour les portraits ; - Temüjin fume comme un pompier, boit comme un trou et pense à croquer dans la chair des filles qu'il baise. 6. la gangrène sanguinaire. Mange tes morts. - Poroniec Rien de particulier à déclarer. J’m’en fous de toi comme j’m’en fous des autres. Vautour ou nymphe des bois, biche ou poney licorne ; tu pourrais être l’improbable que je te trouverais bien probable… Parce que t’es certainement aussi extraordinaire que Moscou est cosmopolite et ce même si tu chies des paillettes arctiques.
Ne compte que la vengeance, celle qui ronge ma propre carcasse.
7. l'existence secondaire. J’voulais pas. En fait j’y avais jamais vraiment pensé. Ici, on sait que ça existe mais on s’en fiche, que ça existe. Les autres. Les humains monstres ou les monstres humains. Parce qu’on est loin. Loin de tout – des histoires, des conflits, de la manipulation et de la ville. On ne vit que pour la chasse et la traque ; que pour nos rennes et ce qu’ils peuvent nous rapporter à la fin de mois. On mange leur chair, on vend leur chair. On a même pas la télévision, tu vois – on est un peuple nomade par-delà les rocheuses. On est un peuple en perdition – dans une perdition saine.
J’aurais aimé que ce soit un concours de circonstances, mais ça ne l’a pas été.
J’ai pas été toujours ce que tu vois, tu sais. J’ai été un homme marié – un mariage chamanique sur lequel tes lois cracheraient – un homme heureux, un homme normal. Jusqu’à ce qu’on me la prenne – dans l’histoire classique des couples de merdes et des drames qui t’emmerdent. On m’a pris ma femme – ma compagne, ma concubine ou, enfin, c’que tu veux. On l’a tué, ouais. On l’a tué avec une partie de ma horde. J’l’ai pas retrouvé, tu sais, le corps. Mais celui qui a fait ça a pris soin de laisser assez de vivants pour qu’ils me racontent comment ça avait été horrible et sanguinaire toutes ces morts. Et surtout – surtout – assez de vivants pour qu’on puisse me rapporter l’appellation lointaine, celle du père. Ce fumier de la Capitale. Et j’ai pas compris pourquoi – pourquoi moi après ces années à s’être ignoré, tous les deux, comme un accord tacite. Alors j’ai ragé, pendant des siècles il paraît. Et j’ai erré en me posant des questions sans réponse. Et j’ai pleuré. Et j’ai ragé encore. Ragé. Ragé. Je suis devenu une boule de haine. J’me suis plus posé de questions à un moment donné. Et j’ai choisi. J’ai choisi les Morts. Les vivants c’est de la merde – mon père c’est de la merde. Je les ai choisis eux pour dévorer ce qui m’effraie – pour remplir la panse du besoin viscéral de vengeance.
J’ai mangé les charognes en le voulant si fort, qu’au détour d’une ville le Vautour a expié mes fautes.
8. le monde délétère. Les autres me regardent parce que je suis grand, bronzé et que j’ai un accent étrange qui paraît pourtant pas étranger.
Le poignet au poinçon unique mensongé est noyé sous d’autres encres, tant et si bien qu’on sait à peine ce que je feins être – un humain - si on ne se penche pas assez près – et je te conseille pas de te pencher si près. J’ai pas une haleine de cadavre et je sens souvent la menthe, la clope ou ces alcools qui me rappellent la Mongolie - l'airag ou l'arkhii.
J’suis pas différent des autres. Enfin… Je ne semble pas plus différent qu’un mec qui a la gueule d’une Montagne. Alors je le vis bien. Ouais. Je vis bien qui je suis et tu vis bien qui je suis parce que tu vois pas la gueule de mon âme – elle est bâtie sur un cimetière, mon frère. C’est pour ça que tu me tapes parfois dans le dos, quand t’es noiraud et qu’tu captes pas, dans mes calots, que je te gobe dans mes songes.
J’me grade dans le monde des mortels – celui de l’underground – pour atteindre mon père, qui se dore le cul dans les strates les plus hautes. C’est le genre avec des bagues en or – c’est le genre à avoir gagné sa thune sur le dos de l’innocence du monde. Il est le ponte d’une mafia au nom pompeux – l’une de celle qui gerbe les Monstres. Alors il faut pas que ça se sache, ce que je suis. Alors je dis pas, ce que je suis. Je propose mes services pour nettoyer des scènes de crime, foutre en place de faux indices et débarrasser les corps de ceux qui ne veulent pas s’en encombrer. Je donne juste pas la notice de ma façon de l’exécuter, mon métier.
9. les ombres-mères. PHASE NUMERO 2 - Déraison. Il stagne dans la Colère, Temüjin, et il s'y complet, en plus. Poussé par la vengeance et aveuglé par la haine, sa déraison n'est pas alimentée par le manque d'adrénaline mais par des sentiments bien plus forts encore. Il pense ne pas avoir besoin de plus que ce qu'il n'a déjà - Temüjin pense que c'est largement suffisant pour occire le père.
DON UNIQUE - Famine : Insatiable est le Poroniec, insatiable seront ceux qui sont à portée. Temüjin empoisonne l'air de sa présence, ce qui pousse les gens contaminés à devenir affamés de leurs envies – principalement des envies primaires, animales et exagérément voraces. Ce qui inclut forcément la nourriture, mais aussi le sexe, la drogue… Le pouvoir est délétère. S’échappe des pores comme un parfum envoûtant. Les premières minutes sont sans risque. Il faut du temps à la Bête pour que l’effet affecte l’être. La résistance est possible, or le lâcher prise, celui qui fait office de tentatrice, peut être terrible. Vous aussi, vous ne deviendriez qu’une Bête jusqu’à ce que les vannes s’affaissent.
Miroir de l’âme et du vide qu’abrite le mâle, Temüjin cherche l’écho de ses déviances.. pseudonyme : SPF. âge : La vingtaine qui put la trentaine. pays : France. comment as-tu connu le forum ? Suspens. des questions, des suggestions ? Non. crédits : obligatoires, LUX AETERNA. |
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Invité Invité |
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| my story begins mes épopées Je ne cherche plus les monstres sous mon lit depuis que je sais qu'ils sont en moi.Il me dit – C’est bon ? je réponds – C’est bon ; je pense pauvre con. La liasse de billets change de main, dans la satisfaction visible d’une transaction gagnante. C’est ça, ma vie. Le soir, les bars ou une ruelle sombre. Du pognon et un ordre de mission sans nom. On me paie pour manger et je grogne pour dire que je suis enchanté. Certains souligneraient que c’est triste, mais quand t’es dans l’engrenage, tu trouves juste que c’est classique. Y a rien à dire, je crois, sur ma vie. Celle qui m’a amené ici. Juste que j’étais pas comme ça, avant. J’ai été un vrai petit garçon tu sais, qu’on a envoyé à l’école à l’âge de 7 ans. Je causais pas un broc de russe à cette époque mais c’est comme ça qu’on fait, paraît. J’ai pas vu ma mère pendant un an, le problème des peuples nomades, et quand je l’ai retrouvé j’ai refusé d’y retourner, dans cette école pas drôle. Ca a été une grosse discussion avec maman et puis, finalement, elle m’a fait l’école à la maison – dans les milles maisons de mon enfance. C’était bien. C’était mieux. J’ai vu le monde comme tu ne l’as jamais vu – et des paysages bien plus beaux que les murs de briques et les tableaux noirs de vos classes. J’pense que ça fait pas de moi quelqu’un d’intelligent. J’veux dire, je sais compter deux par deux et lacer mes chaussures, mais y a probablement des trucs que j’ai loupé – oublié ou dénigré, dans l’histoire d’un monde sur lequel je pissais déjà. Puis j’ai grandi. Je me suis questionné sur la vie – la mienne. J’ai demandé à ma mère, elle m’a pas répondu. J’ai insisté et j’aurais pas dû. Finalement j’ai su pourquoi j’avais pas de père, et j’ai essayé de l’oublier parce qu’elle faisait que répéter que ça n’avait pas d’importance ; qu’elle m’aimerait toujours et pas malgré ça, qu’elle m’aimerait toujours parce qu’elle était une bonne mère et que les valeurs de ma conception ne changeraient jamais ses valeurs maternelles. J’suis né sur un champ de bataille, sortit du ventre d'un cheval qui m'a gardé protégé dans la chaleur de ses entrailles.A 18 ans j’ai délaissé les études et je me suis consacré à la chasse – à l’élevage. J’ai traité avec les samoyèdes la fourrure que je ramenais, parce que j’étais plus doué pour ça que pour apprendre. On m’a rapidement fait confiance. On m’a suivi, écouté et respecté – on m’a connu pour mon travail et j’ai même échangé, parfois, avec la Capitale. J’ai rencontré Shala. On s’est aimé vite et un peu fort. Elle a vécu avec le meilleur de moi – celui que je ne redonnerais pas. Puis elle est morte, un jour où j’étais à la chasse, loin de la horde. Elle est morte comme ça, sans raison ou presque, dans un bain de sang. Elle est morte sans que je ne puisse lui dire au revoir – elle est morte et nos derniers mots me martèlent encore le crâne A ce soir. J’ai pas compris. Encore moins quand on a dit C’est le père de Temüjin. Quand la vengeance est signée c’est au moins qu’elle est intéressée. J’ai cru que c’était pour le reste de la horde me décapite – qu’il ne soit pas responsable de l’assassinat de son bâtard de fils. Ca aurait été trop évident, sinon, j’imagine… J’imagine que si lui savait où j’étais, et ces types qui étaient venus tout détruire, le secret bien gardé ne l’était plus vraiment. Alors je suis parti. Errance de l’ivrogne, l’alcool a étouffé certains de mes pleurs. La Haine a étouffé les suivants, dans la symbiose parfaite des Chants de Maldoror. J’ai fini à la Capitale. Je suis devenu l’ombre de moi-même. J’ai fini dans les bars à boire pour oublier qui j’étais – j’ai fini dans le lit de filles dont je ne saurais pas t’épeler les sobriquets. J’me suis plus investi dans la débauche que je ne me suis investi dans les recherches. Mais ça a été suffisant – bien que, plus long que prévu. J’ai trouvé avec certitude le Père, celui qui a fait naître ma Bête. Et avec lui j’ai trouvé la vérité sur l’Etre. Lorsqu’on naît de l’obscurité, nous ne pouvons qu’y retourner. Tout ça, ce n’est qu’une question de temps.Et une nouvelle petite graine a été jetée dans un confortable utérus factice. Celui de la folie. 31 jours de gestation intense, de cris, de larmes, d’alcool, de drogue, de viande et, des fois, de soubresauts de vie. De cette obscurité est né le vrai Temüjin - celui dont on cauchemarde - sorti de ce bide gluant par le Vautour de vos contes. Alors la Bête a recraché une autre Bête à la lumière du jour, puant et gémissant comme un bébé. Affâmé, puant et gémissant comme un bébé.La suite est ce classique. Beaucoup de petits boulots que la faim rend anodins. Et les spiritueux, ouais, toujours eux, qui donnent à la compilation des airs de complications. Instable est le terme. J’me suis fait virer des taffs les plus ingrats du marché parce que j’étais souvent bourré. J’me suis vite rendu compte que je n’étais pas apte pour le légal. Je suis la personnification de l’illégal depuis que j’ai perdu 21 grammes. L’obsession du Père m’a poussé dans l’underground, à naviguer dans les pisses petits du game pour devenir un pisse grand. Au départ on m’a dit – Hey garçon, tu me rendrais pas un service contre du pognon ? et à la fin c’est devenu mon diapason. Tu me connais peut être plus sous le blaze de Khan, d’ailleurs, parce que c’est comme ça qu’on me nomme dans le milieu – mais c’est pareil, dans le fond. Je prends cher pour éviter qu’on te soupçonne du pire et, j’vais pas t’berner, parfois j’ai même joué le rôle d’un indic’ foireux. De toute façon, on vit dans le mensonge. J’me suis perdu à la frontière du monde et de sa raison. J’capte plus trop l’importance de la confiance ou de la confiance en l’Homme, mais je suis au moins fiable quand t’alignes les biftons. Pour la Russie, je ne suis qu’un pauvre chômeur qui vit sur ses économies de misères. Pour toi, je peux être n’importe quoi si t’as assez d’richesses. - Chronologie:
ϟ Août 1979 - Premier souffle de vie ;
ϟ Septembre 1987 - Embrasse une vie entièrement nomade - Déscolarisation précipitée ;
ϟ Décembre 1997 - Récupère l'activité principale de la traite de fourrure de sa horde ;
ϟ Mai 2003 - Quand Temüjin rencontre Shala ;
ϟ Juin 2007 - Mariage chamanique du couple ;
ϟ Octobre 2009 - Meurtre de Shala, son corps ne sera pas retrouvé par Temüjin ;
ϟ Novembre 2009 - Descente aux Enfers, les fondements d'une vie trop propre pètent, Temüjin oscille entre dépression et violences exagérées ;
ϟ Décembre 2009 - Frontière traversée, Temüjin choisit la violence ; recherches actives au sujet de son père, il trouve son véritable nom et son activité après une année complète de débauche partielle ;
ϟ Janvier 2011 Débauche totale, le Père est inaccessible sans pirouette sociale ; Temüjin passe du côté obscur, se roule dans la fange de la Capitale ;
ϟ Mars 2011 Quelques mois passent avant qu'il ne tente le pacte ; Temüjin ne succombe pas à la viande de ses semblables ;
ϟ De nos jours Temüjin gravit les échelons de l’underground jusqu'à se faire un nom dans le milieu ; le Père en ligne de mire et les cadavres au fond de la gorge, l'Abysse a recraché un Monstre aux œillères sanguines.
- Notes de l’auteur – Ce que Temüjin ne sait pas:
✦ Le Père décide de buter le Fils pour une question d’héritage. Il a eu vent de l’existence de son bâtard avec beaucoup trop d’années de retard. S’en est suivi une recherche active du peuple nomade pour mettre la main sur le bambin et l’empêcher de prétendre au trône de son office. Faut dire qu’il n’a eu que des filles à part Temüjin, le Père.
✦ Temüjin s’est toujours demandé pourquoi son père l’avait laissé en vie. La réponse est pourtant limpide : Son père pense l’avoir tué lors de sa descente sur sa horde. On lui a rapporté la mort d’un grand gaillard basané, le problème c’est qu’il y avait plus grand que celui qu’ils venaient de tuer.
✦ Shala, sa compagne, était enceinte de trois mois lorsque le Père l’a faite éventrer.
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Ilya K. Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| fueizFHzeofheziofh ! Voilà, et bienvenue |
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Ce choix d'avatar! Bienvenue! |
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Isild Lolkova MONSTER UNDER YOUR BED |
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| #teamgameofthrone Jô t’aime. Cette plume ! Cette créature ! Cette gueule ! Bienvenue chez les fous ! Le staff est à ta disposition si besoin est. Courage pour la suite de ta fichounette. |
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Milesia Sorel RULE THE MONSTERS WORLD |
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| Ooooooh. Ça, ça intrigue. J'en veux plus ! Bienvenue et bon courage pour le reste de la rédaction ! N'hésite pas si tu as de questions, et n'attends pas avant de rejoindre notre Discord ! |
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Anatoli Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| J'ai du avoir une hallucination pour que Jason arrive l'air de rien sans que je vois quoi que ce soit Je suis beaucoup trop contente de le voir arriver par ici, et surtout sous ce personnage qui n'annonce que de l'incroyable Les quelques références historiques que tu fais dans ton début de fiche me retournent le cervelet, je suis en adulation clairement Et j'avoue que ta plume me fait l'effet d'un bon bol d'uranium dès le matin tant je l'apprécie Bienvenue parmi nous avec ce charmant Môsieur, j'ai fort hâte d'en lire davantage, et de le voir venir manger des gens |
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Invité Invité |
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| Cet accueil ! Je suis la Joie @ilya karenine A tes souhaits Et merci - surtout ! @esfir lolkov Merci @isild lolkov Si le staff' est à notre dispo Temüjin voudrait bien Isild Fucking sexy Lolkov pour l'dîner, voir à quelle sauce il peut la manger.Merci bien M'dame @milesia sorelTu devrais en avoir plus sur l'week end ! Et j'prends note pour le discord - même si ma raison me dit de finir ma fiche avant pour ne pas m'éparpiller, mais vous avez l'air tellement mignons Et Merci !! @claus bauerJ'suis comme ça moi, je pope sans prévenir avec la gueule du dernier de la classe ! Content que ce début de fiche t'enjaille en tout cas ! Reste en adulation, ma mie - s'il vous plait - puis dans les parages aussi la Bête a toujours faim. Et merci BIM - trop de luv', j'sais plus quoi faire à part montrer mon cul. |
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Orphédia Bellavance RULE THE MONSTERS WORLD |
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| Azy, j'dis oui pour monter sur les genoux de la Bête |
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Oda Tolma MONSTER UNDER YOUR BED |
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| putain trop de perfection par ici faisons petiots jouissons ichor sur sable aride jason, TESTOSTERONE the boy the man ce perso dégueule paillettes j'ai hâte de le voir dérouler mécanique en rp bienvenue |
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Invité Invité |
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| @orphédia delacroix Si tu montes, c'est à tes risques et périls, je ne réponds plus de rien @oda solberg J'aimais beaucoup la chute de reins, mais j'arrive trop tard pour faire une blague lourde alors...Temüljin préférerait dégueuler de la sanguette, mais il capte le concept ! Merci beaucoup ! Mama comme votre accueil fait battre mon petit coeur de pierre Ok, j'ai aussi un peu peur de décevoir avec ce perso, mais on va faire comme si que non - et on va tous kiffey le français impeccable de cette phrase, OK ? |
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Dorreh Glazkov MY MIND IS POWER |
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| Ce nom omfg En tant d'amoureux de l'empire des Plaines, Genghis Khan, Tamerlan etc je ne peux qu'approuver ! Et ce vava qui va avec ! J'adorerai un lien avec ce perso plus qu'intéressant ! Bienvenue ici et courage pour la fiche ! |
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Isild Lolkova MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Ouh, mais tout ce que tu voudras Je viendrai quémander un lien. O-bli-gé. |
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Invité Invité |
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| @dorreh glazkov *high5 bro* L'empire des Plaines la base. J'peux décemment pas cracher sur un lien. Si on est sur la même longueur d'onde nos perso... Bon. OK. Peut être pas que nos personnages aussi mais ça donnera du charme au bordel Merci pour l'accueil ! @isild lolkov *verse de la sauce épicée sur la croupe de la Dame* J'aime quand ça pique Et je suis pour les gens qui quémandent. Les gens qui quémandent c'est des gens biens - des gens bien qui aiment le drama, mais qui n'aime pas le drama ? |
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Invité Invité |
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| Mon dieu mais ce personnage Il envoie vraiment du lourd! Ta plume est ouf, tes choix sont oufs et voilà quoi je suis amoureux |
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| Crépuscule d'Apocalypse - Temüjin | |
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