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 The void inside aches for silence • VIGGO


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Viggo S. Kolar
je suis le hurlement légendaire

    Identité

    Viggo. Sa dénomination, son seul et unique prénom. L'unique qui a jamais pu compter pour le désigner durant toute son existence. Et même par après. Provenant de l'ancien nordique, signifiant la guerre, bien belle allégorie. Smajovic. Le nom de famille de sa mère, venue au monde en Suède, il y a à peu près soixante ans de cela. Origines scandinaves qui coulent en ces veines, l'intimant à respecter les traditions d'un temps passé. Kolar. Le nom de famille de son père, né sur cette Terre en Slovénie au cours d'un printemps il y a environs soixante dix ans. Héritant ainsi d'un sang slave, du côté paternel, il s'est accoutumé à la culture locale du quartier. Un surnom a réussi à se faire entendre, évoluant d'années en années. Tout d'abord de sa mère, qui l'appelait Smaj, raccourci de son propre nom de famille. La vocalise et le ton, ressemblant, selon son père, à Zmaj, dans son jargon. Autrement dit Zmey, lorsqu'il a posé les pieds en Russie. La signification de ce mot le faisant alors devenir leur petit dragon.

    Mise au Monde

    Son premier cri à été poussé en hiver 1981, à Oujhorod en Ukraine. Plus précisément le 9 janvier, en tout début de matinée. Il faisait pourtant encore sombre au dehors, lorsqu'il est venu au monde ce jour-ci. Premier éveil passé dans l'obscurité, des nuages noirs d'un orage tonnant, qui s'élevaient dans le firmament. Tel un mauvais présage et pourtant. 38 années passées à voir défiler les astres célestes, lunaires ou solaires, tous les jours et toutes les nuits. A baigner dans ses origines slaves et scandinaves, mêlant leurs cultures et traditions à son éducation pratiquée par les rites ukrainiens. Bien qu'il n'a que très peu d'affiliation avec la religion, il a respecté les choix de ses parents durant un certain temps. Avant de s'en défaire définitivement, et d'adopter un mantra de vie plutôt bien respecté. Au jour le jour et puis tant pis, ainsi vit-il sa vie. Notamment depuis qu'il a franchi les frontières de la Russie, pour s'y installer. Y vivant depuis assez longtemps pour en demander la nationalité, bien que cela soit illégal dans son pays originel. Officiellement russe, il a ainsi été contraint de délester celle ukrainienne, qui ne reconnaît pas et interdit même l'existence et la présence de la double nationalité sur leur territoire, qu'il n'a pourtant plus jamais foulé.

    Tourments du Coeur

    Son regard se pose sur tous les contours qu'il peut trouver. Des douces courbes féminines élancées aux saillantes sculptures des mâles attirés. Ainsi que ce qui se trouve entre les deux extrémités, ou même au delà, cela est loin de le déranger. Ce qui s'estime en l'esprit et l'identité ne l'a jamais éloigné. Ce qui importe pour lui réside en l'intérêt porté à autrui. Attirance charnelle, ou attentive émotionnelle. L'un ou l'autre, l'autre et l'un. Le reste n'est que superflu qui empêche le plaisir et le désir absolu. Les sentiments poignants l'ont un jour effleuré lorsqu'il l'a rencontré. Sensation délictueuse s'écoulant au creux de ses reins et au fond du carde, organe pulsant déversant une émotion qu'il a pu nommer affection. Jusqu'à ce qu'elle ne s'épanche en une passion brûlante qui n'a eu de cesse de le consumer d'un ardent brasier. Flamme tournée vers cet être dont il s'est intimement uni, ressentant cet engouement pour ce qu'il a pensé être l'éternité. Relation abruptement et rudement arrêtée, lorsqu'il a cessé de vivre, il y a des années. Ne laissant en ce vide au fond de lui, qu'un écho tremblant d'un silence étouffé dans cette cavité continuant de se creuser. Il ne se rapproche pourtant que de peu de corps, depuis qu'il a repris connaissance, en son âme et conscience.

    Or Blanc

    Avant de rejoindre le néant, il était un simple policier. Un agent des forces de l'ordre, qui tentait de la faire respecter. Une épreuve ardue à laquelle il mettait pourtant du sien, ainsi que de sa hargne. La vengeance l'ayant empoigné, il avait plongé dans l'obscurité et la noirceur de ces vices. Trempant dans les ténèbres de l'illégalité jusqu'à se voir s'effacer. Estompé sous l'assaut du venin coulant en ses pensées embrouillées par l'ombre de sa revanche inachevée. Rongé par un poison qui l'avait détruit, il n'avait pu que se laisser emporter, lorsque son heure avait sonnée, ayant eue raison de lui. La précarité l'a touché lorsqu'il s'est réincarné. Perdu, dans cette nouvelle réalité. Brisé, par les sceaux éthérés entourant sa nouvelle identité. Il a longuement embrassé la difficulté à se remettre sur pieds, étant donné qu'il a cherché à se faire oublier. Il a mis du temps à trouver un endroit qui lui offrirait un propice réconfort social et financier. Il l'a perçu en cet établissement particulier, le Black Charm, au sein duquel il a maintenu le bon entretien du comptoir en tant que barman spécialisé durant quelques années. Jusqu'à ce qu'un autre job ne l'interpelle, en des quartiers bien plus sombres et sensiblement malfamés. Toujours avec son titre en sa possession, il a cependant offert ses services à une maison close qui l'a embauché en tant qu'agent de sécurité aux vues de sa carrure. Taillé pour l'emploi, il a depuis lors il fait respecter l'ordre et la sûreté en cet endroit et a pris ses repères sans tarder. Sa situation, bien que précaire, lui permet pourtant de tenir encore suffisamment pour avoir de quoi se sustenter. Il effleure à peine la limite des revenus moyens autorisés.

    Je suis un Homme

    Audacieux. Brave. Buté. Caractériel. Courageux. Déterminé. Dynamique. Impulsif. Intrépide. Irraisonnable. Irrationnel. Observateur. Perspicace. Réaliste. Renfermé. Sarcastique. Sensible. Spontané. Susceptible. Téméraire. Tempétueux. Vigilant.  

Ben Barnes par étangs noirs

Sous le Masque

Le zmeï s'épanche en son esprit, s'étend au creux de son corps en épousant ses formes de l'intérieur. Le dragon originel, ayant servi à la séparation du monde en trois sphères, déchirant l'univers, le fendant en plusieurs fragments. Celui des vivants, Jav. Celui des morts, Nav. Un ordre ainsi instauré, Prav. La créature légendaire régit ainsi le monde des esprits, relégué au domaine des trépassés, percevant alors ce qui n'a jamais été visible par et pour autrui. L'éternel ennemi des dieux célestes, gardant ses positions en haut des montagnes, familier des rochers. Sa prestance en dissuadant plus d'un d'approcher. Les yeux blancs et perçants de ses têtes multipliées s'attardant sur les contours des silhouettes éthérées, jaugeant les auras de son regard aiguisé. Ses ailes s'étendant parfois, lui permettant de voler, ou de rebuter les plus valeureux guerriers. Ses griffes en fer, creusant la terre, la roche, mais aussi la chair de ses ennemis passés. Écailles cramoisies et d'autres plus assombries, maculées d'un sang impur et flétri. En changeant de forme pour adopter celle d'un plus petit reptile afin d'être discret, les écailles rougies et noir de charbon, ornent pourtant toujours ses contours modifiés. Lorsqu'il s'exprime, ce n'est que grognements, ou cris résonnant parfois en pleine nuit, chassant ces âmes perdues osant approcher de son dû. Crachant par la même, des flammes brûlantes et ardentes, comme sorties des enfers sempiternelles. Ce brasier couplé à son caractère, le confortant dans ses impulsions meurtrières. Tuant sans raison apparente, pour asservir son but, et semer le chaos. Représentant ce qu'il a ainsi toujours été, le symbole du désordre, si prisé et estimé.

Renaissance

 Depuis près de cinq ans et quelques mois, le voila gracié par un miracle. Une seconde chance à la vie, offerte rien que pour lui. Une nouvelle identité qui s'éprend de liberté, pourtant enfermée à même son esprit. L'entité mythique, éther mystique, l'ayant choisi pour une raison ignorée seulement de lui. Zmeï proche de ce surnom qui lui a été donné, l'intriguant tout autant qu'il l'a perturbé. Intérêt à peine voilé, sous un masque jamais brisé, un flegme inébranlé pour une attention toute concentrée. Une présence étrangère, qui le dérange, tout autant que sa renaissance. Un éveil d'une tourmente enfin cessée, qu'il pensait achevée à jamais. Les stigmates et cicatrices s'évaporant tout comme les péchés entravant son âme noircie. Mais son esprit s'en est retrouvé que plus fragmenté en revenant à la vie. Et pourtant, le voilà qui foule encore ces terrains et ce monde, comme s'il n'en avait jamais été arraché. Ses pas s'aventurant au delà, ailleurs, par un hasard précaire, dans les rues de Moscou, pour ne plus s'en défaire. Vie dédoublée, qu'il a du mal à réaliser. Comprenant à peine ce qui lui est arrivé, et surtout pourquoi il revient ici. Sa mort, une sensation qu'il semble encore ressentir de temps à autre, tel un toucher fantomatique, un contact éthéré. Survenue durant sa quête vengeresse, toujours aveuglé par la résolution de sa torpeur et la salvation de son tourment. A jamais empoigné par l'effervescence, sans aucun regard vers la rédemption. Les images de la torture infligée, lui revenant sans cesse à l'esprit. La douleur ressentie effleurant la surface en un rappel constant d'un échec meurtri, même dans son agonie. Corps détruit, être fracturé, âme brisée. Alors que pourtant, il survit. Bien qu'avec difficulté.

Cohabitation

L'esprit étranger qui réside à présent en lui se met à s'exprimer au travers de rêves effilochés, d'images fracturées, de souvenirs qu'il n'a jamais vécu. Des impressions qui s'épanchent en tout son être, qui effleurent son âme à l'agonie. Une deuxième identité qui s'étend au creux de son corps, qui grogne bruyamment. Sa rage faisant trembler l'homme prisonnier de sa propre enveloppe charnelle. Il ne vit aucunement bien cette nouvelle chance accordée. Tente même d'enfermer cette seconde identité au plus loin de lui. Réprimant ses indignations et ses reproches, les échos d'un passé dont il n'est pas le propriétaire. Des émotions qui ne proviennent pas de lui mais qui s'expriment tout de même. Il n'est plus lui, et il en est enragé. N'acceptant aucunement sa situation actuelle, et encore moins son âme jumelle, il n'est pourtant aucunement intolérant aux mortels, ni aux autres créatures légendaires ou espèces surnaturelles. Il n'apprécie point de composer avec un hôte aussi particulier, bien que leurs caractères entrent plutôt bien en symbiose. Ses pensées ne sont plus privées, exposées à la conscience d'un autre être, qui s'est lié à lui. Il ne se sent pas en sécurité dans son propre corps. Et sa présence dans le quartier le plus sécurisé ne l'aide pourtant aucunement à apaiser ses tourments émotionnels. Il a l'impression de représenter un danger pour autrui, mais aussi pour lui-même. C'est bien pour cette raison qu'il y reste sans vraiment rechigner. Se damnant et se maudissant pour éviter a ses proches de le revoir et de découvrir ce qu'il a subi. Préférant que les autres le croient mort, plutôt qu'encore en vie. Se terrant dans ce quartier, pour échapper au regard des étrangers. Abaissant la tête, épaules affaissées, fuyant les iris tournés vers lui afin d'avoir un semblant de paix.

Gangrène


PHASE NUMERO 2 - colère.

FACULTE N°1 - Impression : il s'agit d'une perception constante de l'aura d'autrui. Telle une sensibilité aux esprits alentours, des morts ou de ceux encore en vie. Une sensation qui lui permet de ressentir les perturbations dans les halos éthérés des autres. Il perçoit les changements abstraits des émotions de ceux qui lui parlent, uniquement sous forme d'impressions et d'impulsions sur son propre esprit.
FACULTE N°2 - Élémentalisme : il n'est question ici que d'un seul élément qui lui est rattaché ; le feu. Ne pouvant le créer de lui-même qu'en de très rares occasions, il est pourtant capable de le maîtriser en permanence. De la plus petite étincelle qui dévie en flamme, jusqu'au brasier ardent s'épanchant en un incendie. Un contrôle total sur cette substance intangible, qu'il peut amplifier ou éteindre par sa simple volonté.
FACULTE N°3 - Morphose : consiste à moduler son corps entier dans l'optique d'adapter son apparence. Modifiant ainsi son enveloppe physique pour se conformer à un environnement spécifique ou climat particulier. Il est capable de se transformer en serpent, se rendant plus petit et plus discret qu'en temps normal. Ses contours originels disparaissant en estompant sa forme habituelle, pour ainsi laisser l'autre incarnation exister.

FAIBLESSE N°1 - Réminiscence statique : en contrepartie des impressions, les réminiscences statiques sont des échos qui résonnent en son esprit. Des bruits dérangeants et des éclats grésillants, qui provoquent un inconfort, et qui sont désagréables à ressentir. Cela l'empêche de se sentir à l'aise ou de se calmer, du fait qu'il perçoive les échos comme un étau mental, une pression psychique. Les répercussions sont diverses, selon l'intensité. Plus elles sont imposantes, plus il est à risque d'être soumis à des vertiges et des nausées, en plus de l'épuisement. Lorsque le bruit est insoutenable, il se met à saigner du nez ou des tympans.
FAIBLESSE N°2 - Aucunement ignifugé : ironie du sort, le fait de maîtriser le feu ne le rend pas insensible à cet élément. Plus il approche le brasier de lui, plus il s'expose au danger. De même, plus longtemps il maintient une flamme au creux de sa paume, plus il risque de se cramer. Les brûlures et les cloques sont des témoins spécifiques de son contrôle enflammé. Des signatures particulières qui ornent sa peau, et déforment son épiderme, telles des marques d'une guerre passée. A l'inverse des tatouages qu'il arbore et qui ont une signification, ces traces sont des stigmates de ses erreurs et de ses échecs, qu'il ne peut oublier.
FAIBLESSE N°3 - Perturbations sensorielles : le contre-coup de sa morphose dérègle ses systèmes perceptifs. Son corps se tord, craque, s'étire, se compresse, pour prendre la forme du reptile. La confusion l'étreint et il ne peut avoir aucun contrôle sur l'animal, lorsqu'il le devient. Blackout total. Ce n'est qu'au moment de son retour à son apparence normale, qu'il perçoit les effets de la mutation. Ses os qui se ressoudent, sa chair qui repousse, ses muscles qui se reforment. La sensation de douleur l'étreint, tel un toucher fantôme, tandis que les résidus de la souffrance l'empoigne durant presque cinq heures. Ses autres sens sont désordonnés et perturbés pendant quasiment tout autant de temps.


Personnage interprété par Holmesienne
Quel âge as-tu ? 23 ans, presque le quart de siècle hehe.
Comment as-tu connu le forum ? Disons qu'à force de persévérance, une certaine personne a réussi à me faire céder What a Face
Questions ? Suggestions ? Le forum est magnifiquement codé et désigné à la perfection. Le contexte est une pépite et je sens que vous êtes des perles !
  Jeu 21 Fév - 1:39
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Histoire


«Hi love of mine» he slowly exhales at the one before him. Smiling fondly towards the owner of his heart while embracing the fragile frame. His breath catching in his throat under the delicate pressure exerted. He sighs at the contact and closes his eyes. He's craved this touch so long. He's missed his lover so much.


[ tu ; Viggo ]


La mort d’une mère, le décès d’un être cher qui marque à jamais l’esprit et la chair. L’absence d’empathie étreint tes traits à peine formés, sourcils froncés et paupières plissées en découvrant le drap blanc la recouvrant. Yeux pourtant écarquillés lorsque le père réprime les plaintes chagrinées. Des pleurs voilent tes iris lorsqu’il t’éloigne d’elle, t’attrapant le poignet pour t’emmener ailleurs en un coin reculé. Perles salées qui décorent tes pupilles dilatées sans pareilles. Il pleut au dehors, les gouttes d’eau tels des témoins silencieux de la peine qui vous éprend. Torpeur dans le carde qui palpite dangereusement, tourment dans l’esprit jeune et déjà agonisant. Une partie de toi s’en est allé ce jour-là. En même temps que ta mère. La joignant dans son trépas, tandis qu’au loin te guident tes pas.

Années passées dans un silence mutin, caprice enfantin écrié par des adultes qui s’époumonent et s’épuisent à trouver ce qui te garde résolument muet. Tu suis la voie dégagée pour toi par ton père, sans la regarder et sans la moindre importance y accorder. Aveuglé par l’absence de la maternelle, dont l’étreinte chaleureuse picote encore tes épaules affaissées. Soupir étiré qui résonne à moitié tandis qu’enfin tu crois être posé. Un endroit comme les autres, qui peut t’émerveiller, si seulement tes yeux tu ouvrais. Mais tu restes figé dans ton propre corps, perdu dans ton esprit étriqué. Apathique dans toute ta superbe fragilisée. Les bruits alentour sont évincés sans jamais te perturber. Un écho statique grésille en ton esprit lorsque ton paternel te répond, t’explique et te donne sermon. T’écoutes à peine. T’es plus vraiment là. T’es plus trop le même.

Tu grandis en Russie et commences sensiblement à t’ouvrir quelque peu. Légèrement plus attentif à ce qui peut se dérouler devant toi. Aux affres du passé qui s’exposent juste sous tes yeux, tandis que tu contemples les défilés de la vie. Plus ouvert mais toujours aussi fermé. T’as écarté les autres de ton cœur et de ton âme comme si de rien n’était. Jamais gêné et aucunement marqué par les départs précipités. Ton père est parti travailler un soir, alors que t’avais tout juste la majorité. Il n’est pas revenu. Tu t’en es pas inquiété. T’as toujours brisé les attaches, pour pas trop douiller. Pourtant, t’as réalisé quelque chose quand t’es entré dans l’école de police, pour rejoindre les forces de l’ordre. Si tu veux survivre dans le chaos, tu ne peux te reposer que sur une personne. Une autre que toi-même. Et alors qu’avant, t’avais jamais douté de ta solitude, t’avais fini par trouver ce creux en ton être. Comblé par une seule présence, qui te manquait sans l’avouer. Ce quelqu’un qui t’es complémentaire. Une alliée, une amie. Une seconde famille.

Viggo, tu l’as vu n’est-ce pas ? Tu as vu Stania se prendre une balle entre les côtes et se relever comme si rien ne s’était passé. Elle a démonté la gueule de l’enfoiré qui lui a tiré dessus à mains nues. Ce connard gît à ses pieds alors que son sang dévale les pavés. Liquide carmin souillant le sol maculé et marquant ses pas lorsqu’elle foule de ses pieds la flaque épanchée. Marchant dedans imprudemment alors qu’une grimace se forme sur tes traits. Tu la scrutes intensément, bien que la neutralité émane comme toujours de ton visage figé d’un flegme particulier. Elle ricane doucement et te tapotes l’épaule pour te forcer à retourner à la mission. Le soir-même, elle te confie dans un soupir alcoolisé et embrumé, son plus caché et enfoui des secrets. Elle est une Marsiliya et toute sa famille aussi. Sa sœur perdue y compris.

Aliana, sa douce et docile sœur, arrachée de sa famille par un gang de brigands. Les mêmes pour lesquels ton père t’a abandonné quand t’étais plus petit. L’ombre du père qui est décédé de leurs mains, rôde toujours quelque part alentour. Criminels extasiés par leur pouvoir décomplexé exercé sur le bon peuple de Moscou. Ville que tu arpentes depuis trop longtemps à présent, pour tolérer ce genre de comportement décadent. La loi, tu la fais imposer, tu la fais respecter à ceux qui s’en déjouent. Ceux qui en rient tandis que leurs mains se salissent d’un sang pourri. Les coquilles abritant autrefois les résidus de leurs âmes se tâchant au marché noir. Ils y perdent plus qu’ils n’y gagnent. Et toi tu empoches le pactole, bien que le gain ne soit pas pareil.

L’étau resserré autour de ces corps acculés. Ombres disparues effleurant la surface du monde reconnu. Tes iris perçant contemplant leurs contours recroquevillés en un coin reculé. Ils se terrent ici, en ce taudis délabré. Et Aliana y est retenue prisonnière, tu le sais. Stania le sent, elle l’a su également. Jetée dans la gueule du loup, infiltrée parmi le troupeau hargneux. La belle qui t’accompagne les sème alors que tu te faufiles discrètement dans l’une des caves. Y trouvant cette sœur perdue depuis si longtemps. Son regard effrayé par ta présence ne te dissuade pourtant pas d’aller la libérer. Dénouant le lien qui la maintient en un geste précis et fluide. Aliana panique bien que tu l’effleures à peine. Et son regard dévie sur une tierce ombre, à présent derrière toi.

Bien trop tard, tu te retournes pour voir Stania dans l’encadrement. Mais son regard brillant devient de plus en plus fade à mesure que s’écoulent les secondes estompées. Une marque étincelante attire ton attention, au moment où un bruit étouffé s’élève doucement. Une plaie béante qui la ronge au sang, et qui dévore sa chair tremblante. Une lame extirpée de la fracture improvisée, tenue fermement par l’ennemi caché. Tapi derrière son corps prostré, tombant à genoux au sol, claquant brusquement. Regard vide de compassion, Stania soupire son désarroi pour la dernière fois. Et Aliana, sa sœur à peine retrouvée, expire un hurlement strident qui crépite à tes tympans. Son pouvoir se manifestant, te projetant au loin alors que pourtant, t’es figé dans l’immuable. Telle une statue de marbre, empreint par l’immobilité, tu es à nouveau brisé. Tu perds un être cher, encore une fois, une part de toi s’oubliant dans le néant. C’est tout ce qu’il te faut pour sombrer dans l’obscure part ombragée qui s’épanche en ton être tourmenté. T’avances sans t’arrêter, essayant de retrouver ces bâtards qui ont détruit ta vie. En s’en prenant à Stania, ils s’en sont pris à toi. Et ça, tu ne le supportes pas. T’as envie d’en finir une bonne fois pour toute avec ces conneries.

Tu cherchais rien qu’eux et pourtant c’est l’amour que t’a trouvé. Vous vous êtes rencontrés et t’as pas pu résister à l’idée de le recroiser. Proposant une entrevue, un dîner, un film, un café. Tout un tas d’idées qui t’ont permis de t’oxygéner, mais aussi de respirer. Avec lui t’étais bien, tu te sentais mieux. T’étais vraiment et enfin heureux. T’as cru que tu l’aimerais pour toujours, mais la vérité c’est que toujours y a jamais eu. Idée stupide, toi-même t’en espérais pas énormément au début. Et pourtant, t’as fini par tomber sous son charme et la chute a été rude. Trop d’épreuves passées ensembles, à deux, et parfois séparément, qui vous ont liés plus que de raison. Instants intimes partagés en coup de vents, et parfois plus longuement. Sous les draps l’ardeur bat autant que le carde brûlant. Soupirs effleurant les peaux échauffées, souffles extasiés et respirations erratiques au moindre frôlement. Tu l’as tant aimé que tu t’es oublié pendant un temps. Tu l’as aidé tellement de fois dans ses tourments que t’en as presque oublié les tiens. Mais les démons rôdent toujours et tu as fini par arpenter à nouveau le chemin obscur tout tracé qui t'est destiné. En éloignant ces moments précieux échangés qui vous ont rapprochés pour le meilleur et pour le pire. Mais le pire est arrivé lorsqu’une des épreuves a tout détruit. La plus difficile à passer et à accepter. Celle de ta mort, injustement provoquée et tristement méritée.

RIP



It's suffocating. Intoxicating inside of the building. Trapped under so many debris. The pressure constricting his lungs, crushing his ribcage, twisting his skin. He's a prisoner, hands tied down behind his back. Aching to the rough touch of the ropes against his bruised and marked wrists. He grunts and blinks back his tears ...
... when oxygen eventually leaves him. He can't breathe and swallows hard as his throat burns from the smoke elevating all around. His vision blurs and some dark patterns ornate his view while these arabesques dance against his irises. The very last one he ever has before he fades away to the end of his only existence.


[ il.s ; eux ]


Silence exagéré, seulement perturbé par une expiration chaotique. Respiration erratique s’élevant alentours en un écho estompé. Soupir hachuré alors qu’il tente de reprendre son souffle brisé. Lèvres craquelées et fendues à la commissure, d’où s’épanche un épais liquide carmin. Délicat sillon laissé sur son épiderme échauffé, marquant d’une trace indélébile ce qu’il subi. Plaie saillante creusant son visage aux traits tirés et figés dans une colère assourdie. Yeux rougis et pupilles dilatées par l’eau déversée qui a rongé son regard auparavant enfiévré. Les perles salées se mêlant à la pureté oubliée qu’ils ont fait couler sur lui. Paupières closes et refermées, gonflées par les coups reçus. Un fardeau lourd à porter sur ses épaules affaissées qui tressautent en rythme avec sa respiration extatique. Des entailles le tiraillent tout le long de ses bras, décorant sa peau ornée de tatouages divers et variés. Picotement désagréable qui roule sur sa peau brisée, douloureuse sensation dans son dos qu’ils viennent de dépecer. Derme à vif, brûlant sous le contact de l’air ambiant. Jambes et genoux dénués, marqués par les chocs électriques qui ont été infligés. Entrelacés aux tâches colorées qui peignent avec amertume sa peau abîmée. Depuis bien des jours le voilà attaché et à leur merci. Succombant à leur tourments avilissants, sombrant dans la torpeur dévastatrice des plus innommables horreurs. Se noyant dans les profondeurs sombres qui le narguent, recouvrant les orbes de lueurs qui ont parsemées sa vie. Stania. Yulian. Visages estompés. Figures oubliées.

Il peine à respirer lorsqu’un nouveau coup lui est dédié. Accordé par la main d’un ennemi depuis si longtemps recherché. Et maintenant qu’il se trouve devant lui, il en regrette presque d’avoir autant donné pour le retrouver. D’avoir perdu tant de temps encore trop précieux qui lui aurait servi. Il rage, il grogne encore une fois, mais le bâillon est à nouveau fourgué dans sa bouche asséchée. Ses poignets meurtris luttent contre le lien qui les enserrent, alors qu’il hurle sans émettre un seul son. L’écho de son cri est étouffé contre le tissu enfoncé dans sa gorge. Les coups redoublent d’intensité, et les entailles se multiplient. Son corps n’est devenu qu’un canevas offert à la pire atrocité dont l’Homme est doué. Et Viggo, muse et prisonnier, tremble furieusement, ses iris pétillant de haine tournés vers la Némésis prisée. Il ne souhaite que sa mort en cet instant présent. Mais ce n’est pourtant pas son ennemi qui va expirer son ultime soupir. Seulement lui-même.

Le feu embrase le bâtiment. Des étincelles crépitent tout autour de lui, alors que le brun manque de sombrer une seconde fois aujourd’hui dans l’inconscience si bienveillante et accueillie. Il peine à respirer avec le linge râpeux contre son palais. La fumée embrume sa vision d’arabesques assombries tandis que les flammes effleurent ses contours. Il se recule avec difficulté, grognant et hurlant, complètement dément. Il finit cloîtré dans un recoin du bâtiment, affolé. Il ne peut échapper à l’ardent brasier qui s’épanche plus encore, dévorant la ferraille et les tôles ondulées. Panique farouche qui l’empoigne avec ferveur, fait cogner son palpitant sous ses côtes. L’écho précipité au creux de sa cage thoracique faisant pulser son sang en ses veines gonflées. Percutant ses tempes en un rythme précipité, à mesure que le feu se rapproche de lui. Viggo n’entend plus rien, ni ne voit plus, tandis qu’il ferme ses paupières brusquement. Des geignements plaintifs s’échappant de sa gorge, finissant étouffés par ce poids contre son palais. L’ardeur de cette chaleur est telle qu’il se sent sombrer. Son ultime réflexe est de se recroqueviller en cachant son visage tuméfié. Vaine tentative de se protéger dans ses derniers instants. Son ultime moment se déroule pourtant. Dans un secret presque absolu. Disparu.

Le temps s’écoule, l’heure défile, les jours passent. Un moment qui se perd dans l’incertitude. Un instant où tout semble se figer dans la précarité. Et en une fraction de seconde, s’estompe déjà la noirceur. Laissant place à une lueur qui lui brûle la rétine. L’homme inspire bruyamment en se redressant brusquement. Paupières ouvertes à s’en faire saigner. Corps tendu et crispé parmi les décombres qui décorent les ruines du bâtiment. Regard ravagé par une crainte panique alors qu’il scrute intensément la moindre parcelle de terrain alentour. Le vide se fait en son esprit étriqué, la douleur depuis longtemps délavée. Mais aucunement oubliée. Désespoir flagrant qui le fait trembler et se relever précipitamment. Trébuchant sur ses propres jambes, ses pas s’emmêlant. Ses liens sont défaits, rongés par l’ardent brasier qui a consumé tout le quartier éloigné. Une vague de frisson l’étreint, l’un d’eux dévalant en cascade le long de sa colonne vertébrale. Son corps miraculeusement lavé des péchés passés est découvert de tissu dans l’espace à présent ouvert. Il pleut au dehors, les gouttes parsemant son épiderme immaculé de diamants transparents. Il tremble sous le froid qui ronge ses os. Se retrouve glacé dans ce temps peu clément. Il ne réalise pas, son esprit ne pouvant seulement estimer ce qui vient de se passer. Il est mort. Il est décédé. Il n’aurait pas pu… Il n’aurait pas dû... Il est revenu. Il est perdu.

Incompréhension qui l’empoigne alors que les jours passent et qu’il essaye de se tapir dans l’ombre. Restant terré dans ces recoins sombres, dans l’opaque obscurité de la nuit tombée. Évitant les regards curieux tournés en sa direction, le contemplant insidieusement. Des grésillements résonnant en son esprit fracturé, le rendant plus amère encore. Lui faisant grincer des dents en se cachant les tympans de ses paumes. Un soir, il ne peut réprimer le cri dément qui s’échappe de sa gorge autrefois meurtrie. Son hurlement s'estompe et meurt étouffé par la brume qui l'enserre. Il exprime sa rage et sa colère. Sa peine. Les remords et l’amertume le bercent alors qu’il ferme les yeux. Plus rien n’est comme avant. Et l’homme brisé par les affres passées n’estime plus avoir aucune légitimité. Aucune authenticité, à retourner dans les bras de celui qu’il a aimé. Détruisant son cœur entiché plus encore. L’organe malmené par ses tourments solitaires arborant plus de séquelles abstraites, bien plus de plaies éthérées, que son esprit fragmenté et déstructuré.

Ainsi va sa seule et unique mort, qui reprend l’aspect d’une seconde vie. Passée dans le déni. Inspirant la fumée empoisonnée des roulées qu’il amène à ses lèvres craquelées. Se brûlant avec l’étincelle et la flamme de son briquet. Soupirant d’une douleur lancinante lorsque les êtres vivants empiètent sur son espace personnel. Ou dès lors même qu’un spectre d’un temps d’auparavant se met à peser sur son atmosphère. S’écroule dès l’instant que sa vision s’assombrit, que son regard s'obscurcit. Sombrant dans l’inconscience salvatrice qui le berce avec tendresse. Douceur qu’il ne parvient jamais à rencontrer en retrouvant ses repères. En reprenant conscience à son réveil. Convalescence imposée par ses crises qui le laissent dans un état des plus léthargique. Déplorable sensation qui s’épanche en lui, quand bien même il n’y a de douleur que ce toucher abstrait. Sur sa conscience fragilisée, sur son esprit abusé. Son être déploré par la peine ensevelie, son âme éreintée. Ébréché par la vie. Il n’est plus qu’un vestige de ce qu’il était. Oublié, comme le reste. N’en est maintenant réduit plus qu’à quatre points ancrés sur son poignet. Fragments estompés lorsque son regard tombe sur ces marques qui contrastent avec sa peau nacrée. Les images d’une autre vie imprégnant son esprit tourmenté. Une présence indicible qui s’épanche en résonance avec sa propre âme. Une deuxième identité qui en fait trembler son être tout entier. Il n’est plus seul. Il n’est plus lui.

Déni. Déni. Déni.


He wakes up with a deep inhalation as his agony dies on his tongue. Shivering hard and limbs trembling as his emotions gnaw the outlines of his own sanity. He's alive. It's not real. And yet he's still here. He can't wrap his head around the truth despite him ...
... WRONG. TOXIC. ERROR. DEAD. .REBIЯTH. .ꓷAƎꓷ .ЯOЯЯƎ .ƆIXOT .ӘИOЯW ...
... being there again, by some kind of miracle. His fingertips chase the substance of reality as to get a grip over the matter around his frame. Only to perceive a hard and cold texture against his skin. It's not just one of his dreams. This time it's not an illusion.


[ je ; zmeï ]


Sommeil prononcé et profond, repos précieux et présent. Immuabilité altérée par un bruissement qui réveille ma distinction ancestrale. Têtes se redressant avec autorité, puissance décuplée de mes gueules multipliées qui regardent en contrebas de la montagne protégée. Ailes déployées et crispées dans une pose menaçante, recouvrant les cieux de mon ombre imposante. Obscurité projetée au plus loin, tandis que mes yeux nacrés contemplent le spectacle destiné. Les êtres fragiles éperdus, les esprits qui s’aventurent en terre inconnue.  mes écorchées par les affres d’une vie tourmentée, les auras vibrantes autour d’eux. Tremblantes sous ma sommation estimée, accordée par un grognement provenant du fond de mes entrailles. Griffes acérées se plantant dans la terre et la roche alors que je descends du sommet. Mes écailles écarlates scintillant sous l’ardeur des rayons solaires qui s’y déposent lentement. Les plus noircies s’assombrissent plus encore tandis que je contemple ces effluves entourant ces esprits. Les halos crépitant tout autour d’eux, vibrants en une symphonie. Ondes choyées effleurant l’épaisseur des écailles rigidifiées.

Ils passent, repassent, trépassent. Le temps n’aime pas jouer en leur faveur, et j’en suis le spectateur primaire. Les contemplant durant leurs passages éphémères en ces contrées éthérées. Inatteignables pour bien des mortels, mais à proximité de certaines entités. Soupir exaspéré crachant une étincelle enflammée. Retour au sommet en martelant la terre de mes griffes ferrées. Claquement de queue contre l’atmosphère, fendant les airs. Toile de cette réalité sublimée par l’absence de substantialité. Intangible vérité sur laquelle je me repose en silence. M’éloignant toujours un peu plus de la réalité au dehors, feignant l’absence d’intérêt. Éternel infini se dessinant tout autour, contraste imparfait absolu alentour. Incessante existence vidée de sens au cœur de cette prison abstraite. Le chaos n’est plus libre de se sentir vibrer. Et sa rage dérape en mes entrailles échauffées par l’ardent brasier qui s’apprête à être déversé. Crachat embrasant les paysages asséchés, terrains décrépits, toujours plus ruinés par les lueurs exposées, flammes rougies. Plus tard dans cette nuit permanente et sous le firmament orné d’anciennes âmes oubliées, les quelques diamants de feu éclairent encore les régions ensevelies. Plateformes recouvertes de débris, en ruines, achevées par le désordre intemporel. Les vestiges pérenne de cette sphère universelle.

Jusqu’à ce qu’un ultime instant ne me
scelle à une autre âme destinée, dans
une dynamique en dualité, pour ce qui
semble être un ample pan de l’éternité


«Farewell my love» he whispers in a hushed murmur as he returns to the unknown. The naught surrounding him as silent as the void that echoes in response. He's where he belongs. Alone but at home.
  Jeu 21 Fév - 1:40
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le mignon ben The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330
c'est l'arrivée des barmans The void inside aches for silence • VIGGO 3916280402
gniiiiiiii, zmei le légendaire The void inside aches for silence • VIGGO 1854227859
ce choix de chimère The void inside aches for silence • VIGGO 51156128

ces premiers mots me donnent l'eau à la bouche blblblbl
épave de flic, poulet fêlé, c'est beau, et ça sert toujours, même mis de côté The void inside aches for silence • VIGGO 1559574842

bienvenue petit moustique The void inside aches for silence • VIGGO 290853227
  Jeu 21 Fév - 7:02
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Arsenia Savina
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Arsenia Savina
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https://thecult.forumactif.com/t68-poison-arsenia https://thecult.forumactif.com/t15-pray-for-your-soul-arsenic
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BONJOUR TOI, JE T'AIME. The void inside aches for silence • VIGGO 1095273054 The void inside aches for silence • VIGGO 1095273054 The void inside aches for silence • VIGGO 1095273054 The void inside aches for silence • VIGGO 1095273054

Zmeï, mon bijou, mon trésor, j'attendais patiemment de le voir interprété et je suis joie que de le voir tenté, huhuhu The void inside aches for silence • VIGGO 290853227 Dragonnet de mes nuits The void inside aches for silence • VIGGO 2536997228 Je réclame tel bébé qui fait caprice un lien dès à présent, je suis joie de tes lignes, et de cette trogne que j'aime particulièrement The void inside aches for silence • VIGGO 1737321794
Bienviendue par ici, je ne te lâcherai pô The void inside aches for silence • VIGGO 1737321794
  Jeu 21 Fév - 8:58
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*est aveuglé devant tant de beauté et devient soudainement fort confus*

Wesh, ça suffit les backgrounds canons là ? BRAVO LE BG BACKGROUND HEIN. On avait dit que je devais pas être amoureux de vos trognes là, comment ça se passe ? The void inside aches for silence • VIGGO 488847182 The void inside aches for silence • VIGGO 2586557183

Du coup, je te souhaite la bienvenue par ici. C'est fou tous ces gens qui craquent soudainement, j'ai l'impression d'avoir commis un étrange acte d'harcèlement The void inside aches for silence • VIGGO 1686762583

Bon j'te dis même plus que jotem toi et ta plume, à force, tu me connais hein The void inside aches for silence • VIGGO 1276604978

Du coup j'attends la suite, fais nous vibrer comme d'hab The void inside aches for silence • VIGGO 1536761506
  Jeu 21 Fév - 10:08
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Roh la la la mais quel BG!!! Et puis cette plume, wesh canne à pêche! ça se fait pas tant de sexytude! The void inside aches for silence • VIGGO 2536997228 (je suis tellement éblouie par ta beauté que j'arrive plus à mettre mon slipouille, t'as vu? xD)

Brefouille! Bon courage pour le restant de ta fichette! Je suis impatiente d'en découvrir d'avantages! The void inside aches for silence • VIGGO 290853227
  Jeu 21 Fév - 10:25
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ben, oh là là The void inside aches for silence • VIGGO 468300629
puis en faire un légendaire The void inside aches for silence • VIGGO 488847182
bienvenuuue, j'ai dévoré tes mots, il me tarde d'en savoir plus !
  Jeu 21 Fév - 12:35
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Hawn merci à vous tous pour vos messages de bienvenue !  The void inside aches for silence • VIGGO 1536761506 Vous êtes tellement adorable et votre engouement est si mignon The void inside aches for silence • VIGGO 2136453308 The void inside aches for silence • VIGGO 70898264

Promis je tenterai de rendre justice à cette merveilleuse créature qu'est le zmeï The void inside aches for silence • VIGGO 488847182 The void inside aches for silence • VIGGO 1737321794 Il est tellement stylé oh myyyy  The void inside aches for silence • VIGGO 985036731

Hâte de pouvoir vous rejoindre en jeu et de découvrir vos plumes respectives The void inside aches for silence • VIGGO 290853227 Encore merci pour votre accueil chaleureux  The void inside aches for silence • VIGGO 1191760433

Maintenant je peux entamer les réponses personnalisées  The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330  The void inside aches for silence • VIGGO 3916280402

@vlad tchernov C'est grave l'arrivée des barman oui  The void inside aches for silence • VIGGO 2736461067 Et pis cette créature est à tombée, je ne pouvais passer à côté  The void inside aches for silence • VIGGO 1854227859 Tout est bon à prendre, surtout les âmes brisées mouahaha The void inside aches for silence • VIGGO 1686762583 Encore merci The void inside aches for silence • VIGGO 985036731

@arsenia savina BONJOUR, AIMONS NOUS, MARIONS NOUS  The void inside aches for silence • VIGGO 4164456655 Pacsés au bout de même pas un jour, c'est si beau huhu. Je suis ravie de pouvoir interpréter ton petit bébé, il m'a instantanément fait de l'oeil, je dois bien avouer The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330 En espérant lui rendre justice afin que tu puisses ressentir de la fierté pour ce bijou mythique The void inside aches for silence • VIGGO 4271884879 Owi trouvons nous un lien du tonnerre de Zeus et du feu de Dieu ! The void inside aches for silence • VIGGO 488847182 Merci de tes compliments qui me touchent profondément  The void inside aches for silence • VIGGO 290853227 *s'accroche à Arsenia et part plus d'entre ses bras* The void inside aches for silence • VIGGO 2136453308

@dante muñoz *utilise attaque background attitude sur Dante pour le faire chanceler* The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330 Cay pas de notre faute làààà! C'est toi qui nous as inspirés à ramener de belles gueules, tant pis si tu tombes amoureux en retour  The void inside aches for silence • VIGGO 1276604978 Ce n'est que justice rendue après tout The void inside aches for silence • VIGGO 980432118 The void inside aches for silence • VIGGO 2736461067 Merci ma belle The void inside aches for silence • VIGGO 290853227 T'as eu chaud au cul qu'on porte pas plainte quand même hehehe. I know baby but it's still sweet, thank you, and I love you too The void inside aches for silence • VIGGO 1191760433 Je le ferai, je promets The void inside aches for silence • VIGGO 1536761506

@ekatarina v. bazarov Cette phrase des anciennes années, j'aime tellement ! On va s'entendre si tu es partisant.e des blagues pourries The void inside aches for silence • VIGGO 2736461067 (Ahaha, rhabille-toi voyons, un peu de décence en public, même si ça ne me gêne pas de te voir galérer à remettre ton slipouille en privé The void inside aches for silence • VIGGO 3916280402 ) Merci bien beaucoup! Hâte d'en écrire plus sur lui The void inside aches for silence • VIGGO 290853227

@lev belinski Huhu je vois que Ben fait plaisir à voir par ici, c'est parfait The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330 Merci beaucoup pour ton petit mot, c'est plaisant à lire The void inside aches for silence • VIGGO 2136453308
  Jeu 21 Fév - 16:09
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Je viens justement de m'enfiler la saison 2 du Punisher. Quel homme ce Russo. The void inside aches for silence • VIGGO 4163681271
Puis Viggo, les prémices d'une petite légende torturée. Aw.  The void inside aches for silence • VIGGO 999495757  (Si tu as besoin d'un bourreau, je me porte garante. The void inside aches for silence • VIGGO 1728191175 )
Bienvenue pour la forme, et bonne chance pour la suite.  The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330
  Jeu 21 Fév - 16:53
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@mikhaila volkova je devrai vraiment mater cette série, ne serait-ce que pour Ben The void inside aches for silence • VIGGO 4207410330  Moooh que de mots réconfortants et de promesses attrayantes dis donc The void inside aches for silence • VIGGO 3916280402 (Cela aurait pu être intéressant, même si j'ai déjà une idée pour justifier ce côté-là The void inside aches for silence • VIGGO 1276604978) Merci beaucoup pour ton petit message The void inside aches for silence • VIGGO 985036731 The void inside aches for silence • VIGGO 1536761506
  Sam 23 Fév - 20:56
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Milesia Sorel
RULE THE MONSTERS WORLD
Milesia Sorel
Impétuosité : 195
https://thecult.forumactif.com/t98-milesia-vices-et-vertus https://thecult.forumactif.com/t92-milesia-do-you-have-no-soul-it
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POPOPOPOPOW.
Le MORCEAU.

J'aime ton écriture si fluide qui coule si bien sous les yeux, c'est déjà un régal de te lire, et la tête est à mon sens si bien choisie pour s'accorder avec la créature et le métier du gus. A quand l'histoire !

Bienvenue, à très vite en rp j'espère !
  Dim 24 Fév - 18:05
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@milesia sorel gzgzgzgz je suis tellement ravie de constater que le combo avatar+personnage plait autant  The void inside aches for silence • VIGGO 70898264 Merci pour tes compliments adorables et ton petit message The void inside aches for silence • VIGGO 2136453308 Et pour te répondre, l'histoire arrive très bientôt normalement The void inside aches for silence • VIGGO 1737321794 Au plaisir de te croiser en rp The void inside aches for silence • VIGGO 488847182 The void inside aches for silence • VIGGO 985036731
  Dim 24 Fév - 23:02
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Cette gueule d'ange, wesh ! The void inside aches for silence • VIGGO 488847182
Bienvenue chez les fous ! The void inside aches for silence • VIGGO 2136453308
Et bon courage pour la suite. bounce
  Jeu 28 Fév - 8:04
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@eeva savina je te retourne le compliment The void inside aches for silence • VIGGO 488847182 Merci beaucoup pour tout The void inside aches for silence • VIGGO 70898264 The void inside aches for silence • VIGGO 290853227
  Jeu 28 Fév - 18:15
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j'viens de dévorer ta fiche The void inside aches for silence • VIGGO 290853227
la bouille combinée à cette créature, c'parfait comme choix The void inside aches for silence • VIGGO 1737321794
ancien flic qui traine à présent paluches dans les recoins noirs de la capitale The void inside aches for silence • VIGGO 1276604978
bienvenue The void inside aches for silence • VIGGO 999495757
  Dim 3 Mar - 11:04
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