Page 1 sur 1 | Invité Invité |
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| Dagmar Sanna Vidarsson Marine Vacht 1. mon nom dans les airs. Sanna, ça enfle dans l'air dans une souvenance abstraite et amère. Tu n'es plus que Dag aux yeux de celui qui se proclame père. Mais père de quoi ? De qui ? Pas de toi. Tu le sais, pas de toi, jamais de toi. Bourreau ou sauveur ou les deux, son nom accroché à toi comme la signature en bas de la page d'un contrat. Tu lui appartiens.
2. mes cris sur la terre. C'est en Suède que t'as respiré pour la première fois l'air vicié de ce monde avant de te mettre à brailler. Quatrième et dernière mioche à la petite gueule qui ne cesse de s'ouvrir pour happer le mamelou nourricier. Ils ont fracturé ton cocon pour t'arracher ton nom et tes racines. Maintenant t'as vingt-huit ans, Dag, t'as la même gueule mais d'autres noms sur tes papelards aux origines Russes.
3. mes tourments ventriculaires. On t'a dit, tombe pas amoureuse, c'est de l'arnaque, respecte ton corps et ton âme. Mais ton corps, ils l'ont vendu si pas à un connard de pédophile, à lui. Alors t'écoutes rien, Dag, gamine capricieuse qui cherche à travers les traits mâle, l'objet de ses désirs et de ses tourments. Éternel recommencement.
4. mes espoirs éphémères. Book-keeper. T'as l'argent sale qui glisse entre tes longs doigts, Dag. Tu comptes et comptes et recomptes, coupes et assembles. Pognon qu'on te file parce que tu t'es hissée au sommet de cette chienne de confiance. Ça t'a coûté des sourires et des sacrifices, mais t'es la digne gamine de celui qui se prétend père.
5. l'entité renfermée. T'es tombée dedans quand t'étais gosse, on t'a rien demandé, encore moins ton avis sur le sujet. Tu bosses pour lui, mais surtout pour la Bolshoy. T'es rien qu'une petite merde qui reçoit les ordres et les exécute attendant patiemment de les entuber.
6. mon cocon mortifère. Patiente, méticuleuse, bornée, déviante, colérique, borderline, excessive, vengeresse. 7. le monde délétère. Des ombres dans le noir avec qui tu partages une danse. Observer, étudier, analyser, ouais, tu les as regardé vivre, se nourrir et mourir, même parfois. Différence qui aurait dû t'effrayer, mais qui ne t'a jamais rebuté. Tu t'en fous de ce qu'ils sont, tu t'en fous parce que tu y trouves ton compte. Toi, t'as toujours suivi le mouvement, tu es entourée de crapules en tous genres bien plus dangereuses que ces créatures. On l'a pucé sous tes yeux, Torsten, comme un clébard enragé. Alors t'as quitté les beaux quartiers, le confort et le luxe pour t'enterrer avec lui et avec elle dans le quartier de Zamoskvoretchiye. Tu le détestes ce quartier. Il schlingue, putain, t'en as la nausée.
pseudonyme : Lulu-cifer again. âge : Je refuse de grandir. pays : Vénus comment as-tu connu le forum ? J'y suis déjà, j'ai craqué, pardon. des questions, des suggestions ? Pas encore. crédits : obligatoires, VOCIVUS |
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Invité Invité |
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| my story begins mes épopées Les cris des gosses, d'un père, d'une mère, ça résonne à la boîte crânienne dans une réminiscence douloureuse. Début et fin entremêlés. Bang. Le corps danse et valdingue, heurte le plancher qui tremble jusqu'à ma planque. Là, sous le sommier, les deux menottes vissées aux babines pour ne pas respirer fort, crier, claquer des dents. Dernier soubresaut. Elle a les yeux figés, une balle à son front et une auréole rouge tout autour de sa gueule. Bang. Ils assassinent, butent, tranchent, perforent. Les mâles sont descendus, la femelle hurle et se débat, mais elle sera vendue ce soir ou demain, peut-être demain ou après, peu importe, elle est déjà grande, il n'y a plus rien à en tirer. Pas bouger. Pas respirer. Mais elle me regarde, maman. Elle me regarde de ses orbes vitreux. Les godillots s'amènent, tournent et virent. Je respire. Sa tête se penche, dévoile un sourire immonde et brillant d'argent. Et après, et après, je ne sais plus. Je me souviens de Betsy, son rouge à lèvres, son parfum de fleurs qui pue, ses cheveux roux ; les autres filles, les mâles, les fringues, la piaule minuscule. Et je me souviens de Lui, de moi en offrande, de la Mercedes en bas de l'hôtel qui sentait le neuf et lui couvert de fluides.
U.C
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Régulus Jones MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Tant de mystère encore autour du personnage, il me tarde d'en savoir plus le Feat est super chou en tout cas, et je te souhaite bon courage pour la suite ** bienvenue ! (ou re-bienvenue ?) |
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Dahlia Cohen RULE THE MONSTERS WORLD |
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| je suis déjà subjuguée avant même de tout connaître. cette bouille, cette petite qui s'esquisse. je suis déjà conquise. re-bienvenue chez toi, darling. |
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Ilya K. Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| Rebienvenue luluagain Finis vite cette fiiiiiche |
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| re-Bienvenue par ici! J'ai hâte de découvrir ton personnage! |
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Yulian Letov MY MIND IS POWER |
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| Plus de comptes plus de fun hehe
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Invité Invité |
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| Vous êtes beaucoup trop cute, je fonds J'arrive bientôt |
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Oda Tolma MONSTER UNDER YOUR BED |
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| damn, marine, la poupée fêlée, cette gueule charmante une suédoise, on est voisine, buvons du thé j'adule ton pseudo, dagmar, dagobert t'as des beaux mots, j'espère croiser ta plume reuhbienvenue parmi nous bébé viking |
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Vadim Revmir YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Je ne vous connais pas, mais je vous aime déjà. Ce personnage s'annonce moui fantastique, fighting pour la suite de la redac Mademoiselle ! |
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Invité Invité |
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| Je suis ton roi alors, Oda, dada Aimez-moi, Vadim Merci à vous deux Je vais peut-être avoir besoin d'un petit délai, s'il vous plaît. Je devrais la terminer d'ici peu, les joies d'un irl chargé |
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Zorya Domacheva YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Pas de problème, j'ajoute une semaine. Hésite pas, s'il y a quoi que ce soit! |
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Autumn Cohen MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Re-bienvenue par ici, curieuse d'en apprendre plus sur le personnage |
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