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 Let me desecrate you | ft. Isay


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Néhémie N. Paley
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Néhémie N. Paley
Impétuosité : 55
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You got me closer to God




Déambulant sur le boulevard des richesses, Néhémie s’amuse à faire lèche-vitrine, parcourant les diverses boutiques de prêt-à-porter de luxe qui l’entourait. C’est un exercice qu’il fait souvent afin de déterminer les tendances et modes qui apparaissaient et s’assurer qu’il ne se laissait pas dépasser par la nouveauté. Et encore une fois, il est rassuré. Rien de ce qu’il voit ne l’étonne, il demeure celui qui dicte le style à Moscou et dans toute la Russie, là où son magazine est distribué. On ne l’appelle pas Grande Prêtresse de la Mode pour rien dans le milieu.

Tout en marchant, il sent les regards qu’on lui jette, admiratifs, impressionnés, confus et parfois clairement désapprobateur. Surtout de la part de vieux conservateurs condescendants toujours coincé au 19e siècle. Il faut dire qu’il est particulièrement saisissant aujourd’hui, de son humble avis. Un tailleur pantalon avec une veste cintré sur son torse nu noué autour de la taille par une ceinture en soie, un pantalon en cuir avec les côtés réunis par de simples liens non sans rappeler un corser, laissant voir de larges aperçus de peau nue et qui épousait ses jambes sans ambages. Il porte aussi un ras-du-cou écarlate, de l’exacte couleur que les Vivienne Westwood qu’il porte au pied. Ses yeux lourdement entouréq de khôl et le rouge sur ses lèvres finissent un look qui détonne parmi l’habituelle sobriété slave qui l’entoure. Qu’est ce que ce pays, et ses habitants, pouvaient être ennuyeux des fois !

Mais heureusement, il connait le remède parfait contre l’ennui et c’est sur un coup de tête que Néhémie décide de s’éloigner de boulevard pour se rendre à un endroit particulier : l’église du Père Isay. Sa destination n’est pas très loin et c’est tant mieux. Néhémie a l’habitude de porter des talons, à toutes heures du jour et de la nuit, et en toutes circonstances mais ce n’est pas toujours facile ou confortable. Même si c’est le genre de choses qu’il n’avouerait jamais à personne. Il est La Grande Prêtresse de la Mode et ce titre s’accompagne de certains sacrifices comme le confort. Rien de bien important en somme.

De son habituel pas décidé, il avale la distance et se trouve bientôt devant l’église qui l’avait accueilli 12 ans plus tôt, par le plus grand des hasards. Un endroit où il s’était réfugié une nuit après avoir fui le palais qui était devenu sa nouvelle prison. Il n’aurait jamais pensé sympathiser avec un homme d’église mais il fallait avouer que Isay était complètement différent de ceux qu’il avait déjà rencontré. Thank the gods !

Il monte l’escalier de pierres quatre à quatre et pénètre dans la nef. Il se dirige tout droit vers le confessionnal où il pense qu’Isay doit être à cette heure. Il attend patiemment que la vieille dame qui s’y trouve s’en aille avant de prendre sa place. Avec un sourire taquin sur les lèvres et une voix faussement repentante, il prend la parole.

-Pardonnez-moi mon père parce que j’ai péché. Je n’ai pas été à genoux depuis … quelques temps …

Que la fête commence !


  Ven 7 Juin - 20:49
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let me desecrate you
Néhémie & Isay

« Cause we want what we want and it's natural baby.  »
«Un péché commun, un péché qui ne vaut pas l’enfer, un péché qui peut-être pardonner.»

Écoute la respiration, comme paniquée, comme extérieure. Lui est extérieur. Toute cette conversation qui lui passe au dessus de la tête. La dragonne qui parle simplement de cette gangrène, de ce qu’il veut rentrer dans la tête de la femme à côté de lui. Que les vipères coulent dans ses oreilles, qu’elle ne sache ce qui lui tombe dessus jusqu’à ce qu’elle soit à genoux devant lui. Une autre âme qui ne se doute de rien. L’idée est presque agréable à penser. Oh. Presque seulement? Elle pense, au fond de lui, elle sait. L’idée est la plus douce à penser. Parce que Lima sait qu’un jour toutes les âmes de l’Église lui appartiendront.

«Chaque jour à prier pour le salut. Votre salut. Mais pas seulement. Le mien. Retourner auprès du père que je suis pour vous. Toujours auprès de vous.»

Toujours dans les pensées, dans les rêves ou les cauchemars. Le blond sourit doucement, au travers de la grille de bois, jette un regard comme si ses yeux pouvaient la voir. Il ne peuvent qu’imaginer la grand mère assise là, dans l’attente de doux conseils.

«Dites moi. Dites moi ce que vous désirez le plus, alors peut-être je pourrais vous aider à trouver le pardon avec vous-même.»


Conneries infâmes qui s’échappent. Mais la voix est douce, résonne doucement et fait son chemin dans les oreilles de l’autre. Comme sa propre idée. Et les mots s’écoulent. Entre l’argent. Entre l’amour. La luxure, les péchés et le sang. Tout ce qui coule dans cette Eglise n’a presque rien de saint. Avec tout ce que les autres continuent de raconter. Et cette grand mère, être vicieux qui correspond plus au monde qu’elle ne veut se l’avouer. De celles qui pèchent sans vouloir le reconnaître. Oh qu’Elle vous déteste la dragonne en lui, qu’elle déteste ces âmes qui ne veulent reconnaître. Mais il ne les dévorent pas, pas ceux là, ne fait pas disparaître cette nouvelle femme parce qu’elle croit elle. Elle croit en lui en temps que supérieur. Dépose son argent, dépose ce qu’il désire. Tout.

Lorsqu’elle sort, comme si le confessionnal avait l’odeur de la mort, comme si les choix qu’elle allaient faire allaient perdre sa route. Mais déjà Isay perd la pensée de la femme. L’autre odeur rentre. La porte claque doucement, frisson qui parcourt l’être. Peut-être avancé. Mais la voix résonne à son tour et un sourire vient prendre place sur les lèvres.

«Un des pires péchés, mon enfant.»

La langue qui passe sur les lèvres, un intérêt en quelques instants. Il reconnaît l’odeur, reconnaît la voix mais reconnaît surtout le jeu. Un sourire presque gamin, comme s’il risquait d’être piqué par ses parents. Quels? Isay se passe la langue sur les lèvres, un doigt entre le col et le tissu, zieute au travers de la barre de bois qui les séparent.

«Combien de temps à peu près? Peut-être que nous pourrions... Nous occuper du problème avant qu’il ne soit trop tard.»

Goût du risque? Pas seulement? Surtout son goût à lui.

«Le pardon n’en serait que plus rapide.»
(c) DΛNDELION
  Lun 17 Juin - 23:55
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Néhémie N. Paley
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Néhémie N. Paley
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You got me closer to God



Le jeu entre Isay et Néhémie a commencé il y a plus de dix ans. Le jeune noble qu’il était avait simplement eu besoin de réponses, n’importe-les quelles et ses pas l’avaient mené jusqu’à l’église où prêchait le père Isay. Néhémie a absolument rien d’un cul béni et il en avait rien aussi à cette époque même si on l’obligeait encore à assister à la messe. Ce qui l’avait fait rester, il fallait l’avouer, c’était surtout que le père en question était ultra sexy. Mais genre, plus qu’une star du porno gay ou qu’un acteur de cinéma. Et il l’est toujours ce qui gâche rien. Et puis il avait cette façon d’écouter, de parler et Néhémie avait été à deux doigts de se vouer entièrement à lui. Bozalosc l’en avait empêcher. Mais rien de tout ça l’avait arrêter quand Isay avait poser sa main sur sa cuisse pour la première fois. Tout comme ça l’avait pas arrêter quand il s’était dressé sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Tout comme il n’avait pas résisté quand il lui avait ouvert ses cuisses et qu’il lui avait offert sa virginité, là, sur l’autel, entouré d’images saintes et d’objets précieux, en un lieu consacré.

Cette première fois n’avait été que le début et il y était retourné, encore et encore, si bien qu’il connaissait chaque recoin de cette église. Bibliquement. Et au fur et à mesure que les années passaient, c’était devenu comme une sorte de jeu entre eux. L’un ou l’autre faisant son possible pour attiser le feu en l’autre. Combien de fois Néhémie était venu assister à une messe, scandaleusement vêtu, ses plus beaux stilettos au pied, une sucette entre ses lèvres rouges, les yeux fixés sur le magnifique homme, droit dans sa robe noire ?

Alors quand Isay se prête au jeu, quand il l’appelle « mon enfant » avec cette voix amusée, le sourire de Néhémie s’élargit et l’envie en lui devient plus fort. C’est dans sa bouche, c’est en lui qu’il le veut et il sait qu’il l’aura.

-Oh … ça doit bien faire … une semaine …

Il s’est peut-être laissé aller à quelques galipettes avec son rédacteur en chef, un soir où ils avaient bossé super tard. Prenant une voix des plus innocentes, il joue son rôle d’enfant de chœur.

-Comment puis-je me faire pardonner ? Peut-être …

Il se lève et se poste là où Isay se trouve, derrière son rideau. Il passe juste sa jambe, peau et cuir, et son talon clique sur le bois, et, sans le savoir, entre les jambes du prêtre.

-Peut-être que ça nécessite une approche plus … personnelle de votre part. J’ai été très vilain sviachtchenik


  Lun 5 Aoû - 1:45
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let me desecrate you
Néhémie & Isay

« Cause we want what we want and it's natural baby.  »
De longs souvenirs intimes, de ceux qui font pleurer les anges. Tu les as, tout au creux de ta mémoire, heureux de pouvoir les savourer en moment de plénitude. Mémoire qui ne semble pas s’évaporer, présente,violente, toujours aussi flamboyante. Elle s’embrase, comme le feu dans l’estomac à l’instant où tu entends sa voix. Peut-être c’est la tenue, les souvenirs, peut-être simplement l’envie du moment. Ou le jeu sombre qui s’est installé entre eux? Blasphème dans la maison de Dieu. Horreur, horrible, abomination qu’il est. Oh, encule la religion, à même de l’autel, quelques pas plus loin.

Vibrante
Vivante
Sensation
Luxure
Brasier


Vice que tu es, partage son corps et ses idées, partage le désir et la luxure. Et lui, et elle, devant toi, Néhémie, être forgé d’ombre et de lumière que tu désires encore voir gémir sous tes mains, entre tes doigts. Petit sourire sur les lèvres, comme amusé de l’entendre si peu loin de toi, amusé mais non pas surpris, sent le plaisir qui commence déjà à perler.

«C’est long une semaine, vous ne trouvez pas, mon fils.»


Et voilà que tu appuies sur le nom, tu sais, l’effet que ça à dans votre petit jeu, tu connais le besoin qui ronge les entrailles. Toi-même victime du même sort que tu ne prends pas le temps de regretter. Le rire qui s’échappe de tes lèvres ne passe pas inaperçu, lorsque le talon clique juste à côté, juste entre. Là où la brûlure n’en est que plus forte. Tu viens te passer doucement la langue sur les lèvres.

«Que ne devrais-je pas faire pour le salut de ton âme, Néhémie.»

Le tutoiement qui semble naturel lorsque tu viens déjà te pencher, pose une main sur son genoux, pose une main sur la cuisse. Frisson de la peau contre la peau, encore un sourire mais déjà tu attires le reste du corps à passer le mince rideau qui vous séparait, que les corps se rencontrent l’un avec l’autre.

«Je vais devoir mettre mes mains au travail pour réparer tes erreurs, ne semble-t-il pas?»


Et lorsque les mots s’envolent, les mains parcourent. La palme qui a déjà trouvée la courbure des reins, perchée entre la chair et le tissu, en attendant de voir si l’autre n’a pas changé d’avis. Quoique tu en doutes réellement. De toute manière la dragonne ne désire plus qu’une seule chose: retirer tous les vêtements de Néhémie et de le prendre contre toutes les surfaces possibles de cette église.
Un sourire doux sur les lèvres encore lorsque la deuxième main, celle qui s’amusait sur la cuisse ne fait que remonter pour se perdre dans ses cheveux, tire la tignasse en arrière pour venir promener ses dents contre la chair tendre du cou de l’autre, doux sourire aux lèvres.

«Montre moi comment tu comptes te faire pardonner.»
(c) DΛNDELION
  Lun 5 Aoû - 13:06
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