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| Rosier Raïnar Jungkook Jeon 1. mon nom dans les airs. Rosier, de ses origines lointaines, d'après ses parents, de ce pays qu'il n'a jamais connu; Taeil, l'Asie dans le sang, sur sa chair; Raïnar, un nom de famille qu'il traîne aujourd'hui plus qu'il ne le porte : il est le synonyme de la défaite de sa famille, de sa chute et de la désolation. Rosie pour l'embêter, sa petite soeur adorait le taquiner en l'appelant Rose, aussi.
2. mes cris sur la terre. Rosier est né bambin dans les bras d'une mère heureuse, d'un père fier, entouré d'une famille aimante et agréable, en automne. Il a acquit le même regard noisette que son géniteur, les mêmes cheveux d'ébène que sa génitrice, et les a porté vingt-deux ans en tant qu'héritier familial de tout leur savoir et de leur fierté. Depuis que ses ancêtres sont partis de France et de Corée du Sud pour venir en Russie, Rosier est né russe sur les papiers. Il n'en a ni la consonance ni le physique.
3. mes tourments ventriculaires. Amoureux étourdi, le cœur sans cesse à changer son émoi et la déchirure de plus en plus profonde. Rosier est trop compliqué, trop exigeant, trop sûr de lui, trop énervant, trop bagarreur, trop ambitieux, trop égoïste, pas assez humain. Le célibat ne le guette jamais bien longtemps, et pourtant personne n'aime autant que lui. Les hommes qui défilent dans sa vie sont nombreux, certains l'abandonnent, d'autres lui courent encore après. Est-il trop dur avec les autres, ou avec lui-même? Ses parents n'ont jamais connu leur fils autrement que comme celui qui épouserait une jeune fille parfaite, et pourtant il n'en a jamais goûté la saveur. La passion qu'il ressent pour ses amants devient si vite obsessionnelle et disproportionnée qu'il ne s'attarde jamais longtemps sur un être.
4. mes espoirs éphémères. Les études artistiques dans l’image et la cinématographie lui avaient toujours permis de fuir les idéologies de sa famille, ses incertitudes, cette fascination qu’il ne comprenait pas pour ces autres qui cohabitaient avec lui sans qu’il ne sache rien d’autre que les stéréotypes proférés avec haine par ses parents. Peut-être saura-t-il cohabiter avec lui-même pour vivre convenablement et non avec ses pauvres économies récupérées en travaillant tant bien que mal malgré sa nouvelle nature.
5. l'entité renfermée. Presque destiné à entrer dans les Intolerante, il y a toujours échappé jusqu'à la grande transformation, lui fermant ces portes et n'ayant plus la volonté de suivre des parents exigeants qui ne le voyaient que comme un monstre à éradiquer à présent.
6. mon cocon mortifère. La perdition, la passion. Rosier est difficile à comprendre et à suivre, son train de pensée défilant à toute allure et ses choix de vie plus complexes les uns que les autres. Il aime trop de choses, il en hait tant d'autres, et ne cherche pas forcément à les communiquer. Il est un peu mystérieux et pourtant sans cesse à la recherche du contact humain, presque incapable de s'en sortir seul. Comment comprendre autrui, lorsque l'on ne se comprend pas soi-même? Il n'est pas lé bouée à laquelle on s'accroche : il vous fait couler.. 7. la gangrène sanguinaire. Les wargs ont eu le grand honneur d’accueillir un nouveau membre, perdu et apeuré, les ongles plus longs qu’il essaye sans cesse de raccourcir, les sens en alerte dès que l’odeur de la mort frôle ses narines. Il se réfugie dans les connaissances que son espèce a acquit pour tenter de se comprendre et de s’apprivoiser, d’apprivoiser les autres aussi, sans reculer à chaque pas fait en sa direction.
8. l'existence secondaire. Nouveau né, perdu dans ce monde qu'il ne faisait qu'observer de loin, c'est lorsqu'il s'est senti plus seul que jamais, l'un de ces soirs où tout le monde lui faisait tourner la tête avec pour seule excuse celle de la festivité. Quelqu'un l'a tué. Il croit. L'alcool qui coulait dans ses veines l'empêche de se souvenir de tout en détail, et pourtant, le voilà lui-même et pourtant un autre, rejeté par sa famille et obligé de s'isoler dans un quartier inconnu.
9. le monde délétère. Il est là, à s'arracher la peau les soirs sous la lumière de sa lampe de chevet, à couper ses ongles pour faire disparaître le monstre et à observer ses pupilles avec fascination. La haine bout dans ses veines et lui fait perdre la raison, les moyens, le contrôle. Il a besoin d'aide et ne fait que tendre la main vers les autres quand le monde l'ignore. Il aime son nouvel être autant qu'il le déteste, observe le monde d'un œil nouveau et totalement ailleurs. Ses bases se sont écroulées, il a tout perdu.
10. les ombres-mères. La transformation lupine de Rosier lui donne l'allure de l'animal, le pelage presque ébène, le regard perçant, et pourtant, à chaque transformation, il maigrit de plus en plus, souffre un peu plus et se recroqueville de douleur. L'adrénaline, seule lui permet de tenir sur ses pattes une fois sous forme animale avant de s'effondrer, presque incapable de se transformer de nouveau en humain avant plusieurs heures.
PHASE NUMERO UNE - traumatisme, son changement d'humeur est marquant. Il passe d'une bonne humeur à une tristesse profonde, à une haine de sa personne et de son entourage en quelques secondes. DON UNIQUE - lycanthropie : transformation en loup (canis lupus) noir pseudonyme : Manoblack âge : 18 ans pays : Belgique depuis peu! comment as-tu connu le forum ? grâce à votre partenariat avec TOC des questions, des suggestions ? pour l'instant non mais je suis paumée de nature crédits : bazzart |
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| my story begins ma vie, à contre-courant 01. Naissance du premier homme de la descendance de Narcisse Raïnar et Sooyoung Im, après une sœur de trois ans son aînée et avant une cadette de deux années. Fierté masculine, représentant parfait d'une famille aisée qui défend ses droits envers et contre tout. Il baigne sans cesse dans les paroles de haine envers ces autres dont il ne comprend pas la menace, et, qui d'une certaine manière, le fascine. L'interdit se mêle à sa curiosité : il ne peut s'empêcher de poser des questions à propos des êtres dont ses géniteurs parlent avec tant de véhémence, ce qui lui vaut plusieurs punitions qui ont su laisser les traces du passé sur sa peau.
02. L'âge fait mûrir, dit-on, permet de penser de soi-même, de s'accepter, d'accepter les autres et de forger ses propres opinions. Et pourtant, Acace n'était pas de ceux-là. Ou alors, elle ne montrait que la surface de l'iceberg que ses parents voulaient voir, et lançait des regards hautains à ses cadets et aux surnaturels. Elle avait cette allure d'impératrice que Rosier lui avait toujours envié, tentant sans cesse de le reproduire, d'avoir l'air sûr, serein, à mépriser les autres alors que son cœur le suppliait de le laisser aimer l'étranger. Acace était la fille parfaite, sur les langues de ses parents comme de tout le monde autour d'eux. Plus elle grandissait, plus elle devenait ce que l'on attendait d'elle, et le jeune homme se mit dans la tête qu'il ne pourrait jamais finir comme elle, raisonnable et raisonné.
03. "Dis, Rosie, n'es-tu jamais heureux?" La question de sa plus jeune sœur l'avait pris au dépourvu. Le livre qu'il tenait s'était posé sur ses genoux alors que son air perdu vagabondait sur les traits semblables aux siens de la demoiselle. Du haut de ses douze ans, la voilà déjà à questionner le monde, à se retrouver entre deux pôles comme si sa vie ne dépendait que d'eux : Acace et Rosier. Et il commençait à comprendre de quoi elle avait peur. La tristesse la guettait de toute part, quand elle voyait son aînée tirer sur sa chevelure corbeau en proférant quelques insultes entre ses lèvres pincées, elle se voyait n'être que déception, et quand elle observait son frère montrer le visage parfait d'un homme dont tout avait déjà été écrit sans jamais sourire, elle se demandait si elle devrait subir sa vie plus que la vivre. "Bien sûr que si, je suis heureux." Et elle se tut. Elle savait la vérité, mais n'osait plus poser la question.
04. Avec l'adolescence vint le renouveau, cette sensation d'être un autre plus que ce qu'il montrait à qui voulait bien le voir. Et en découvrant autrui, il découvre aussi sa véritable personnalité. Rosier est franc, il rit autant qu'il menace. Il en vient aux poings avec trop de facilité, il est violent dans ses paroles et son langage corporel, doux quand il pose une caresse sur votre peau. En plus de s'apprendre, il apprend les autres et aussi les surnaturels. Ses premières relations amoureuses n'ont rien d'incroyable et pourtant, elles serrent sa poitrine en se rendant compte chaque jour un peu plus qu'il n'est pas le fils parfait que ses parents apprécieraient avoir. Il aime les hommes, il embrasse leur bouche avec passion quand on lui susurre les beautés des femmes. Et sa plus folle passion, celle qui l'a détruit autant qu'elle l'a forgé, il l'a partagée avec un alfe, beau, fort, entêtant. Il passait ses jours avec lui, ses nuits à le serrer dans ses bras, envoûté et découvrant l'amour comme il ne l'avait jamais vu auparavant.
05. Froid, distant, assuré, sournois, calculateur face aux autres, il est le digne héritier de l'affaire familiale après sa grande sœur. Il voit tourner les têtes sur son passage, de plus en plus conscient de sa beauté que tous envient à sa mère, de plus en plus conscient que les filles qui s'approchent de lui ne cherchent pas qu'une histoire de quelques heures, mais bien des promesses d'un futur tout tracé. Ses parents posent leurs mains sur les épaules de leur fils unique, la tête haute, on le présente, on entend sans cesse parler d'eux, des Raïnar, de plus en plus calculateurs et membres à part entière de l'Intolerante. Si au départ, Rosier l'ignorait, il l'a apprit en écoutant aux portes, ses parents ayant visiblement fait d'Acace une apprentie de choix. Il serait probablement le prochain. Chaleureux, épanoui, passionné, rieur devant son amant qui le rassure, lui murmure qu'il n'aura peut-être pas besoin de les rejoindre, que tout n'est que question de volonté. Et il y croit, il préfère se blottir dans ses bras en oubliant un instant ses tracas jusqu'au lendemain.
06. Le rejet fut brutal, violent au point de faire perdre une partie de la raison de Rosier. Incompréhension, il ne savait pas ce qu'il avait pu faire de mal. Et pour une fois, ce n'était pas lui qui l'initiait. Était-il trop dur? Était-il trop amoureux? Il ne savait plus. Il était bien trop perdu, à genoux et suppliant, les larmes dévalant son visage comme une dernière supplique de ne pas l'abandonner, de ne pas le laisser se morfondre dans sa vie. Les doigts sur son menton lui firent autant mal que ce dernier regard, où toute affection avait disparu. Et il devait avouer qu'il ne s'était jamais senti plus pathétique que ce jour-là, à aimer plus que nécessaire. Peut-être était-ce simplement la promesse de ne jamais plus être capable de trouver l'être qui le supporterait dans son entièreté.
07. Les lumières de la grande salle lui permettait de voir tous ces visages autant familiers qu'inconnus. On lui posait des questions aussi inintéressantes que superficielles, aussi trouvait-il le moyen de s'esquiver avec aisance, peut-être trop habitué à le faire. L'alcool embrumait ses sens, il ne comprenait plus trop ce qu'il faisait. Glissant quelques mots à l'oreille de sa plus jeune sœur, il disparut dans les toilettes, et le flou ne lui permettait pas de se souvenir du visage de son agresseur. Le vague souvenir d'une douleur atroce, d'une incapacité à hurler , et la mort, glaciale, prête à l'accueillir, prêt à la rejoindre quand le destin en décida autrement.
08. Une telle haine envers son enfant devait être interdite, impossible, mensonge. Et pourtant, Rosier avait subi les coups, les cris, le rejet, de manière si brutale qu'il n'en avait pas compris l'ampleur sur le coup. Mais le voilà, à la rue, obligé de se recenser comme monstre, de vivre dans une partie de la ville dans laquelle il n'avait jamais mis les pieds, de se retrouver entouré par ses semblables... Les crises de colère trop violentes, trop soudaines, les pleurs plus fréquentes, le moral au plus bas, souvent. Toute aide qu'on lui a apporté ne semble pas lui remonter le moral, et pourtant il continue de vivre, travaille pour ne pas être à la rue, combat son être et l'accepte à part égale. Qui gagnera le combat? Sa haine?
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Dmitri Romanov YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Bienvenue petit gars ! |
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Anatoli Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| Haaaan, bienvenue par ici (enfin plus officiellement) Qu'il est chou ce louveteau, je trouve le personnage vraiment intéressant, et encore davantage maintenant que j'entrevois son background J'ai hâte de le voir évoluer dans cet univers ! Tu sais déjà où nous trouver si jamais tu as la moindre question |
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Un warg, j'adore! Bienvenue par ici! Hésite pas si tu as des questions! |
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Isild Lolkova MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Bienvenue par ici petit loup tout chou ! Un warg, quel bonheur ! N'hésite pas à venir asticoter le staff si jamais tu as besoin, notre porte reste grande ouverte. |
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Vadim Revmir YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Bienvenue Louloup ! Ce personnage est très touchant. Et puis j'aime les gens exigeants. Je te souhaite de trouver ta meute et au plaisir d'en lire d'avantage. |
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Yulian Letov MY MIND IS POWER |
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| Beaucoup de style dans ce personnage! Assez fan de le voir se réaliser finalement uiii |
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Heiko Dietrich MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Bienvenue louveteau !
Je répète ce que disent les gens au dessus mais le style est vraiment super agréable à lire et le personnage tellement intéressant ! Un petit thé tout agréable à découvrir le matin. |
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Istochnik THE GODS ARE WATCHING |
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| tu es validé ! bienvenue ! Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie ! J'suis encore en émoi devant ce p'tit chiot (pas taper) Non, sans rire, j'adore l'histoire familiale de Rosier (ce nom, mymymy), toutes ces péripéties concernant sa différence, envers ses parents et sa soeur J'ai fort hâte de voir comment le louveteau deviendra grand Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille ! Tu peux également aller demander ta récompense pour avoir terminé ta fiche dans le système de points ! N'oublie pas que tu pourras aller en demander, ou en dépenser, tout au long de ton aventure. Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis ! |
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