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| Velkan Richards je suis la créature vénéneuse.Identité Syllabes truculentes ensemble reliées, marquent au fer rougeoyant le quidam ambivalent. Velkan Richards, qui traîne dans son râble pléthore de sobriquets, certains plus fleuris que d'autres, dont il taira les origines. Son frère le raille en le nommant l'Alpha, boutade cependant reprise par quelques-unes de ses ouailles, qui chuchotent également le Clébard ou le Limier à son passage pour ses prouesses à la traque. Pour sa fille, il est tantôt l'Ogre, tantôt le Berger.
Mise au Monde Chiard des landes anglo-saxonnes qui a depuis longtemps glavioté dans sa cup of tea pour lamper la vodka des ruskoffs. Une enfance à rôdailler dans les venelles de Manchester, à se pinter la trogne en clabaudant les hymnes de football avant de briser les naseaux des supporters rivaux. Il quitte la tanière familiale à dix-huit ans et établit son territoire dans les contrées algides de l'Est, qu'il arpente toujours aujourd'hui, deux décades plus tard. Mioche adoptif de Russie, dont il arbore la nationalité.
Tourments du Coeur Dames au coeur, biches aux fragrances si capiteuses qu'il en perdrait raison. Plus intense, plus puissant que sa volonté, il hume leurs phéromones et n'est plus que bête passionnée par leur volupté. Amant zélé d'antan devenu mâle désireux de trouver femelle, mais lâche et faiblard selon ces apsaras avec lesquelles il a partagé ses sorgues, connard de première incapable d'une sereine loyauté. Ses quelques couples n'ont jamais été que cristal sous ses pattes d'incube, si navré qu'il se fait, coupable de n'être qu'un sale clébard sensible aux chairs. Célibataire forcé et enchaîné, il a peur, désormais, d'être encore celui qui enfante ces rivières lacrymales et enragées sur les doux minois de ses muses.
Or Blanc Ecchymoses aux phalanges et eau-de-vie pour s'hydrater, pourtant apte à la réflexion, envieux des savoirs et désireux de partager. La biologie et sa quintessence, science essentielle qu'il a longtemps dispensée en tant que pédagogue. Un statut suffisant à son sens, mais comme toujours, on lui ceint le crâne d'une tiare gouvernante sans lui donner réellement droit à la décision. Vieil et bon élément, tout désigné et bousculé par ses pairs enseignants pour devenir le Directeur de l'Université, nouveau trône qu'il occupe depuis une petite année. Il vise depuis les étoiles, s'éreinte à rendre son palace éducatif aussi varié, accessible et efficace que possible. S'il jouit d'un pécule proportionnel à son rang, il n'est pas de ceux qui se pavanent drapé d'or.
Je suis un Homme Leader / Possessif / Protecteur / Autoritaire / Bienveillant / Doux / Baroudeur / Orateur / Obtus / Brave / Gourmand / Revanchard / Sensible / Meurtri / Loyal sauf en amour / Curieux / Méfiant
célébrité par SWAN Sous le Masque Gigantisme au calot unique, fils de la sylve, des souffles éoliens et des saillies montagneuses. L'Ispolin cerbère de Mère Nature, transi d'amour pour la magnificence du monde tel qu'il fut bien avant l'Homme. Il se camoufle sous les traits d'animaux variés pour mieux l'épouser, pour s'éloigner de la fol effervescence de la société humaine. Les espèces de prédation demeurent toutefois ses préférées, essence profonde contre laquelle il ne peut lutter. De son obligeante peuplade il est à la fois proche et éloigné, faciès référent et conseils recherchés créant l'attraction de ses semblables qui ne se lassent pas de sa compagnie. L'émissaire qui n'a jamais voulu être ainsi couronné n'en reste pas moins fidèle au poste, garant opiniâtre et tout dévoué, au-delà du fait qu'il ait viscéralement besoin d'une part d'intimité. Né pour guider, dominant autrefois ardent aujourd'hui plus mesuré pour la préservation des siens. Qu'on ne le pense pas benêt ou suave à l'excès, cependant, son jugement est intransigeant et sans favoritisme. La félonie pas plus que l'individualisme ne lui sont supportables, sa meute répond à des règles, qu'il aime à faire respecter.
Renaissance Dix sept ans déjà, et il se le remémore comme la veille au soir. L'indicible fatigue, la conscience de l'homme presque entièrement occultée par l'animal. Les effluves telluriques amalgamées au parfum forestier, la fange sur sa gueule hirsute et ses muscles ankylosés par des jours, des nuits d'une rude survie. Rituel souhaité, quatre mois aux poumons d'une impitoyable nature qui lui ont permis de se retrouver - de se trouver, lui, l'être dans sa véracité la plus diaphane, la plus absolue. Le voile levé de devant ses prunelles épuisées, et pourtant, ô combien émerveillées devant le majestueux monarque de leur espèce. Béni d'un baiser du Roi Cerf, une purification de laquelle il s'est éveillé à jamais changé, meurtri mais lucide sur un monde dilacéré. Mais s'il pensa pouvoir vivre en harmonie avec lui-même à défaut de le faire avec l'univers alentours, le divin cervidé distingua la flamboyance et tout l'intérêt d'un potentiel en croissance. A peine extirpé de sa mort que déjà hiérarchisé, émissaire pantois dont il n'a jamais désiré l'éclat. Une période post-mortem particulièrement tourmentée, bien qu'il ne regrette pas son choix.
Cohabitation Ispolin au myocarde, aux tripes profondément niellé, il est l'une des plus importantes figures de son espèce et s'en coiffe de dignité. Il a choisi d'être un gardien de la nature et des valeurs fondamentales de la vie, plus humain depuis qu'il est créature qu'il ne l'a jamais été durant sa simple mortalité. Il ne désire ni suprématie ni égotisme, mais bien simplicité et sérénité pour ceux qui le suivent. Les intolérants ne luisent à ses yeux que d'ignorance et de manquement d'esprit, car le monde est ainsi sculpté qu'il n'a jamais été et jamais ne sera uniforme ; il est versicolore, évolutif. Alors il fait fi des regards torves, ne se fait jamais prier pour débattre des poncifs, de ces fallacieuses idées qui gangrènent les visions. C'est par la discussion, l'apport de connaissances que l'on comble les lacunes et que l'on comprend. Pugnacité dans l'âme, certes, le quidam à l'orgueil de mâle dominant a en effet appris à calmer ses pugilats lorsqu'il est question de politique inter-espèce, car s'il ne craint pas de résoudre ses problèmes personnels à coups d'uppercut, il hisse le drapeau opalin et prône le pacifisme dans l'espoir de les épargner d'une innommable guerre. Quant à son habitat, il refuse de se lover dans le luxe et la facilité d'accès à l'université de Kitaï-Gorod. A n'en point douter, il lui préfère la culture et la verdure d'Arbatskaya, où il vit au plus proche de la nature.
Gangrène PHASE NUMERO 4 - TRISTESSE. METAMORPHOSE - Le derme est apte à arborer tant écailles, que poils ou plumes, il est de ceux capables de se transformer en tout animal. Un plaisir dont il abuse parfois, lui qui exècre la vie en société humaine et ne voudrait faire qu'un avec le microcosme sauvage. Il a un faible avoué pour les races prédatrices qui lui collent tant à la peau qu'à la quintessence, bien qu'il ait appris à réfréner ses pulsions suite à quelques incidents de relative gravité. DON UNIQUE - Instincts Primitifs : Le spectre bestial sous sa forme anthropomorphe, suinte de ses pores comme une fragrance aussi âcre qu'archaïque. Et le savant biologiste de faire choir science et savoirs, déférence et poésie pour sentir poindre les rudiments de la créature. Le sens olfactif s'affûte, hume les arômes à l'instar d'un cabot. L'ouïe s'affine, indiscrète écoute qui fait repérage. La pupille est acérée, perce dans les ombres comme si luminescence y était. Il traque, presque l'écume aux babines, poursuit ses proies avec une morbide maestria. Instincts qui le sauvent aussi bien qu'ils le condamnent. L'estomac est primordial, famine n'a point de place dans son vocable et ce tiraillement malvenu des entrailles est susceptible de l'entraîner à la folie s'il demeure trop longtemps insatisfait. Manger, tel un goinfre, se bâfrer parfois sans même apprécier. Puis, il y a cette luxure, trop enivrante, cette quasi nécessité à la reproduction lorsque les remugles des hormones l'interpellent, l'abandonnent dans la démence du sexe.
Personnage interprété par Anonymous Quel âge as-tu ? 27 balais ! Comment as-tu connu le forum ? Via Bazzart. Questions ? Suggestions ? C'trop bon, un fofo de qualité ! |
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Invité Invité |
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| Histoire Décembre 1980 -/ « C'est la genèse, le premier poupon de mummy and daddy, paraît même qu'ils ont essayé de tendre le morceau vers la Reine Mère pour y trouver bénédiction. A croire que les vieux bougres savaient déjà que je ne serais pas un don des dieux, mais plutôt une merde de clébard joliment empaquetée et placée sur le pas de la porte. Pas sûr que la venue quasi immédiate du petit frère les ait soulagé de leur fardeau, Zoran est aussi émérite que moi pour se jeter dans les emmerdes. Heureusement que la soeurette redresse le niveau, la poupée de porcelaine entre les épaules de ses deux cerbères. Navré Elizabeth – déjà pour ce prénom inspirée de The Queen, les parents en sont décidément trop fanatiques, et ensuite pour avoir collé mon chewing-gum dans tes cheveux, je suis un petit con. »
Vers 1996 -/ « Ah l'adolescence qui supplante l'enfance, petit con a la voix qui change, la moustache qui dépasse et les burnes qui démangent. J'aime la vie, les péripéties, un peu trop le danger selon mummy, j'ai l'âme sauvage qu'elle dit. Mais elle me pardonne, les notes sont excellentes et au revers du mioche qui rentre avec la gueule en sang, je suis sérieux, juste un peu trop curieux. Pas méchant selon les autres, populaire même, ils me suivent sans poser de questions. J'aime l'idée de les aider et de les protéger même si j'ai la sensation que l'on compte un peu trop sur mon opinion. Ca passera, de toute façon, j'ai l'intention de quitter le navire et de faire la nage papillon jusqu'en Russie dès que l'occasion se présente. J'ai une certaine fascination pour cette nation et j'ai pris ma première cuite à la vodka, ça veut tout dire. »
Début 2001 -/ « Trinité d'années, déjà, que ça file ! Moscou a cela de bon qu'elle me semble un peu plus sibylline à chaque jour qui s'écoule, comme s'il y avait toujours un nouveau pan à découvrir. J'en ai diablement profité depuis mon arrivée, mea culpa pour les pauvres hères qui ont croisé ma route. Mais je me voue à être biologiste, après tout, n'est-il pas dans ma nature d'étudier tout ce qui m'entoure ? Les cours à l'université me sustentent certes assez, je les dévore non sans plaisir. Il y a autre chose, aussi. Cette Ispolin. Drôle de créature, qui m'a introduit à son univers pour le moins... exaltant. Quel indicible sentiment, je me sens comme en harmonie avec leurs valeurs, leur façon d'être. Je n'ai pas encore tranché, mais je songe à rejoindre leurs rangs... Le but de l'humanité n'a t-il pas toujours été d'évoluer ? »
Fin 2001 -/ « Emissaire ? Non. Ca n'a jamais été le dessein. Pourquoi moi ? Je n'ai rien de si particulier pour que l'on veuille suivre mes pas. Roi Cerf, bien que je ne remette pas ta sapience en question, toute légitimité est tienne, mais pourquoi moi ? Quatre mois au cœur de la nature ne sont pas si témoins de mon potentiel, je n'ai pas survécu si longtemps et intensément dans le but de me faire remarquer. Non, la nature, je l'ai toujours aimée, j'y ai plus encore trouvé de symbiose, je n'ai fait que suivre ces instincts primaires. Je suis buriné pour vivre de la sorte, parmi la faune et la flore, pas... parmi les humains. Quelle ivraie sommes-nous donc. C'est comme si... des serres étaient venues dilacérer le voile de ténèbres flanqué devant mes yeux depuis tout ce temps. J'ai payé cette lucidité de ma vie, pourtant, j'ai l'impression de n'être revenu du trépas que pour constater cette hideur environnante. Voici que j'ai aussi le cœur tout molletonné, horriblement réceptif aux émois d'autrui. Pas que je sois né imperméable, mais j'avais naguère un exosquelette plus étanche que celui-là. Je me sens naufragé, je ne sais plus qui je suis, qui je veux être. Mais les autres semblent savoir à ma place... »
2009 -/ « What the fuck. Comment... quel genre de mère abandonne son enfant sur le pas de la porte d'autrui ?! Huit ans ! La gamine a huit ans ! Deux jours entiers, elle est restée racornie sous ma fenêtre, sans boire, à ne mangeotter que des biscuits pour tout repas ! J'étais en formation en dehors de la ville, comment aurais-je pu savoir que la cigogne allait me déposer une mioche ?! Damned whore... ou est-ce ma faute ? A ensemencer qui le veut, le couperet est tombé. Iris, que la petite se prénomme, elle ressemble à un animal maltraité, totalement négligé. Je n'ose imaginer de quel cercle des enfers elle apparaît. Pauvre chose. Je suis tellement désolé. J'ignore encore si j'en suis véritablement son géniteur, le test de paternité nous le révélera rapidement. En attendant, je vais tâcher de prendre soin d'elle, de lui faire recouvrir un semblant de dignité. L'avenir nous dira si le louveteau restera ou pas dans la tanière. »
2010 -/ « ZORAN ! Ce crevard de pochard, l'arrivée du frérot ! Il vient s'installer dans le dédale de Moscou et découvre non sans en tomber le cul au sol ce qu'est devenue mon existence. Quelle joie de l'avoir de nouveau à mes côtés. Sous le même toit, et bientôt, de la même espèce. Comme je m'y attendais, il adhère aux mœurs des Ispolins et a l'intention de se plier au rituel, je n'ai aucun doute à son sujet. Et il a bien raison. Nous sommes du même sang et les familles sont faites pour rester ensemble – nous formons une meute, que je protégerai à tout prix. Notre sœur a l'intention de s'implanter également selon les rumeurs, et puis il y a la chair de ma chair, Iris. »
2017 -/ « Qu'ai-je fait ? J'ai encore l'âcreté ferreuse de l'hémoglobine sur les papilles... des bribes de viande entre les crocs... J'ai totalement perdu le contrôle... Le loup a pris le pas sur l'homme, je ne me souviens plus à partir de quand. Des réminiscences me pilonnent le crâne, vagues mais suffisantes pour savoir que le prédateur a fait vivre un enfer à ces pauvres gens. J'avais faim... si faim... et je me suis réveillé à côté de cette femme, à demi dévorée au fin fond des bois. J'ai inhumé son cadavre par décence... et pour que personne ne la trouve, que personne ne sache... Je crois qu'il y avait une autre personne, avec elle, mais je n'en ai point trouvé trace. J'espère qu'elle se porte bien... ou peut-être vaudrait-il mieux qu'elle ait succombé à ses probables blessures... Nul ne doit apprendre, il en va de la sûreté des miens, de la meute entière... Je suis tellement désolé... »
Aujourd'hui -/ « Je commence à avoir les épaules contracturées à force de porter ce monde. Non pas que je me plaigne de l'aveugle confiance des gens à mon égard, mais, comme toujours, je ne m'attendais pas à ce que l'on me propulse dans la hiérarchie sans réellement me consulter. Quand bien même, le statut de directeur est prestigieux et j'aime à empoigner les choses à ma manière, au moins, elles fonctionnent. Je regrette quelque peu mes classes, l'enseignement aux élèves avec lesquels je ne veux pas perdre le lien. Je me charge personnellement de remplacer les professeurs de biologie lorsqu'ils sont absents, ça me permet de renouer avec le cœur du métier de temps à autre. Depuis l'assassinat d'un mortel dans leur quartier, je tâche d'être également un peu plus vigilant sur les actes des Ispolins et les événements, bienheureux comme malheureux, qui les concernent. L'atmosphère est particulière et j'abhorre l'idée de nouveaux conflits à moins que ce ne soit absolument nécessaire. Puis il y a Iris, aussi – cette chiarde finira par me tuer. L'adolescence, c'est finalement bien moins divertissant lorsque l'on se trouve de l'autre côté de la barrière. Elle entame sa première année à l'université, je ne suis pas mécontent de la savoir dans nos locaux la majeure partie du temps. Et je sais que Zoran veille tout autant sur elle, ils sont plus proches que nous ne le serons sans doute jamais elle et moi. Au moins avons-nous un toit commun, proche de la nature et surpeuplé d'animaux – un zoo, le domicile, mais qui s'en étonne.
J'ai un mauvais pressentiment pour l'avenir. Les haines reviennent et certains se font un malin plaisir à les aviver. Je crains que mon rôle d'émissaire n'ait à prendre tout son sens. » |
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Carol Quincy YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Bienvenue par ici gaillard ! Quel plaisir de voir ce bonhomme par ici ! Plume déjà profondément appréciée ! J'ai tellement hâte de lire la suite. Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas à venir asticoter le staff. |
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Arsenia Savina YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| T'ES BEAU TU SENS BON LE MALE, VIENS ON SE MARIE. Qu'elle plume, divine, je suis en émois, franchement, que d'amour envers la façon dont tu interprètes Velkan, je n'en puis plus BIENVIENDUE officiellement par ici, je n'ai que trop hâte de pouvoir écrire en ta charmante compagnie |
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Milesia Sorel RULE THE MONSTERS WORLD |
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| Pas pu m'en empêcher, elle a dit que tu sentais bon le mâle, j'ai paniqué. Bienvenue ! ce début est déjà prometteur ! |
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Oda Tolma MONSTER UNDER YOUR BED |
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| Mil Clébard, Limier, Ogre, Berger, ces qualificatifs donnent l'eau à la bouche Gueule viking, jolie barbe, on peut y faire des tresses? Grand colosse, délicieux Ispolin, ça vient dégueuler sagesse? Doit-on s'inquiéter de la jeunesse nichée entre tes mains? Quel onctueux choix de pv! Bienvenue parmi nous petite souris |
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Invité Invité |
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| Finally, he's here! Les quelques lignes dont tu nous a gratifié ont été dévorées pour ma part! C'était un plaisir! Maintenant on veut la suite! Bon séjour parmi nous et au plaisir de te croiser en rp (j'y compte bien!!! )! Bienvenue l'ami et bonne chance dans ta rédaction! |
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Invité Invité |
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| Svetlana -> Merciii ! J'hésiterai pas à asticoter alors, asticotons asticotons. Arsenia -> Que d'éloges, me voici tout empourpré . Je suis ravi que mon interprétation plaise, ça va être de la balle baby ! Milesia -> Tant que je sens le mâle et pas le fauve, je m'en remettrai ! Merci. Oda -> Droit aux tresses octroyé, la sapience, elle, je préfère la mollarder à la gerber - plus classe selon moi. Quant à la chiarde qui sert de descendance, l'avenir nous permet toujours de séparer le bon grain de l'ivraie... Merci bien ! Evgenia -> MAH OUI RP ! Merci pour le compliment petite poupée. Première partie remplie, je m'attaque à l'histoire dès que possible et on pourra parler de choses sérieuses. |
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Invité Invité |
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| Bienvenue ! tu es officiellement validéFélicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie ! Beaucoup trop d'émois pour ce gaillard ! Et quelle plume charmante ! Je suis tellement ravie de voir enfin ce bonhomme par ici ! Je compte bien venir t'asticoter pour un petit lien, l'air de rien. Hâte de lire tes péripéties. Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille ! Tu peux également aller demander ta récompense pour avoir terminé ta fiche dans le système de points ! N'oublie pas que tu pourras aller en demander, ou en dépenser, tout au long de ton aventure. Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis ! |
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