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 a walking war with casualties seeping through


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Ludmilla Vodenicharova
MONSTER UNDER YOUR BED
Ludmilla Vodenicharova
Impétuosité : 20
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The wolf inside of me howling itself raw, and he is the moon, and he is every single goddamn star.
Une serviette autour du cou, tu t’essuies encore une fois le visage. Un sourire aux lèvres, tu adresses quelque hochement de tête aux membres de ton équipe, qui te dépassent pour rejoindre la douche. On t’invite même à faire de même, un regard s’attarde brièvement sur toi, mais il suffit que tu redresses le menton pour que l’homme esquisse un sourire et disparaisse à l’intérieur du vestiaire. Bien. Ce n’est pas parce que tu es une femme que tu n’es pas son supérieur. Nikolai t’a nommé chef d’équipe et tu exiges le respect. Les regards coquins ne t’intéressent pas et déjà, tu prends note du nom du coupable. Une raison de plus pour ne pas te joindre aux autres, ta douche doit attendre. En attendant, tu remets un peu d’ordre dans l’équipement utilisé par ton groupe – un élément de routine qui t’aide, étrangement, à faire le vide.

Après tout, tu n’es parmi eux que depuis trois semaines. Tu as encore tes preuves à faire, auprès de ton supérieur, mais aussi auprès de tes hommes. Mais on ne peut pas te reprocher ton manque d’organisation. Tu ranges toujours derrière toi et si tu veux ferme, tu n’es pas pour autant rigide. Tu taches même d’être accommodante pour tout le monde, la preuve étant que tu as donné presque 10 minutes à Nikolai, pour achever son dossier depuis que la cliente s’en est allée.

Parce que si l’homme – bien qu’il soit encore davantage que ça – observait l’entrainement effectué par ton équipe, il n’est pas resté longtemps. La faute à un nouveau rendez-vous, ce qui n’est pas plus mal, parce que les hommes ont besoin de bouger. Pas seulement de s’entrainer et de tenter différent scénario pour être préparé à toute éventualité. Non, de vrais missions, voilà ce qui manque à ton groupe pour nouer plus fortement les liens de tout le monde – mais surtout, pour asseoir ta position. De fait, c’est le pas léger et les doigts renouant ta queue de cheval, que tu gagnes le bureau où se trouve ton supérieur. Tu cognes trois coups, puis t’enfonces tout naturellement dans la pièce, sans attendre un quelconque feu vert. Parce que Nikolai n’est pas ce genre d’homme et que tant qu’il est seul, il n’est jamais trop occupé ou agacé pour parler à l’un de ses employés.

Un coup d’oeil t’assure qu’il est bel et bien seul, alors tu redresses le dos et écarte légèrement les jambes dans une position presque militaire. « L’exercice est terminé, monsieur. Est-ce que vous préférez regarder la vidéo avec ou sans les hommes? » Normalement, tu le tutoies. Parce qu’il est dorénavant de la « famille surnaturelle » et que le vouvoiement n’est pas suffisamment chaleureux pour avoir place entre membre de la même meute. Mais pas ici. Pas au travail. Pas quand tu fais ton rapport. Un rapport qu’il n’écoute pas véritablement, tout énervé qu’il semble être. Le corps tendu et les poings serrés. Que diable lui arrive-t-il? Tu fronces déjà les sourcils, abandonnant ta posture parfaite pour te faire légèrement plus petite. Soumise à ton alpha, par défaut – sans réfléchir. « Vu votre expression… j’en conclu que le rendez-vous ne c’est pas bien déroulé? » et cette fois, tu parles doucement. Tu abandonnes presque ton aplomb, te voulant douce et ferme à la fois. Un peu comme avec ton fils, quand il fait des siennes. « Vou- tu veux en parler…? » Tu ne sais pas si tu mérites ce genre de confidence, après tout vous n’êtes pas encore très proche – pas autant que tu aimerais l’être, un souhait dont tu lui as fait part dès votre rencontre d’ailleurs. Mais tu sais écouter, Ludmilla. Et puis, tu t’installes déjà sur le coin du bureau, afin qu’il te surplombe. Foutue hiérarchie surnaturelle!
(c) AMIANTE

  Mar 16 Juil - 8:52
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Nikolai Kozlov
RULE THE MONSTERS WORLD
Nikolai Kozlov
Impétuosité : 70
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You're only armed to the teeth because you're more brittle than you'd care to admit
Tu ne sais pas combien de temps s'est écoulé. Seulement une odeur de son parfum indique qu'elle était présente, que tout ceci s'est bien déroulé. Ça et le son de chaînes qui résonnent au creux de ton crâne, cadenassent tes poignets. Elle qui tient le bout, telle une laisse, sourire enjoué et enjôleur. Un rire qui se mêle à un croassement. Tu fixes un point sur ton bureau, sans vraiment le voir, ton pouce venant caresser tes jointures, distrait. Frustré, aussi. Tes dossiers oubliés, tes songes éparpillés. Tu soupires, passe ta main libre contre ton visage, venant frotter ta barbe. Réfléchir, c'est ce que tu dois faire, Nick. Seulement, tes émotions sont encore trop à fleur de peau. Ce qui te vient à l'esprit ne possède aucune logique, aucune rationalité. Tu te plais surtout à jouer sur un fantasme, celui de faire disparaître le sourire moqueur sur son visage, de pouvoir effacer ce sentiment d'avoir été joué. Déplacé tel un pion sur un échiquier sans même le savoir. Une collaboratrice, un bourreau, oui. Voilà ce que tu avais récolté. Un nouvel élément incontrôlé, venant tout chambouler. Décidément, tu n'aimais pas les surprises.

Les trois coups et l'entrée subite de Ludmilla te font le même effet. Toi qui ne bronches pas normalement lorsqu'on s'invite, te sait libre pour discuter de quelque chose, tu relèves les yeux vers elle. C'est l'exaspération qui l'accueille, l'envie de renifler sur tout ce qu'elle se permet. Tu hausses un sourcil, impatient. « L’exercice est terminé, monsieur. Est-ce que vous préférez regarder la vidéo avec ou sans les hommes? » Tu serais resté, normalement, pour voir la suite. Pour repérer les points faibles et évaluer une mise au point avec elle. L'aider à s'adapter à son nouveau rôle depuis qu'elle s'est installée ici. Elle qui a recherché ta présence et démontre clairement son besoin d'être à tes côtés. Envie que tu sais ancré en ton espèce, ce besoin de se rassembler. Flatteur aussi, parce que ce n'est pas n'importe quelle position qu'elle souhaite, mais tu n'allais pas non plus lui offrir le tout sur un plateau d'argent. Tu soupires encore – trop à ton goût – et balayes le tout de la main lorsqu'elle termine enfin son discours. L'un que tu n'as pas vraiment écouté. « Qu'elle soit laissée sur mon bureau, je verrai plus tard. » Le ton est sans doute trop sec, mais tu es trop fatigué – encore trop énervé aussi – pour réellement le remarquer. Tu espères que le dérangement se termine ici. Que tout est réglé et qu'on te laisse à nouveau ruminer seul.

Tu te retournes, joue avec l'idée de rentrer tout simplement. « Vu votre expression… j’en conclu que le rendez-vous ne c’est pas bien déroulé? » Sa question t'extirpe un rire moqueur, sifflé entre les dents. L'un qui n'est pas dirigé contre elle, mais plutôt de l'absurdité de toute cette situation. De ce rôle que tu t'es récolté, toi devenu pantin pour une vieille enfant en manque de distractions, clairement. « Perspicace. » que tu grognes tout de même, parce que tu cherches les embrouilles, toi qui devais courber l'échine devant le corbeau. « Autre chose ? » C'en est presque une provocation. L'une à laquelle elle répond, qu'elle le sache ou non, lorsqu'elle s'approche. Qu'elle te contredit en demeurant présente dans cette pièce, accroupie près du coin brossé de ton bureau. « Vou- tu veux en parler…? »  Elle et ses yeux de biche, minois relevé vers le tien, complètement à ta merci. Tu l'observes un instant. Une autre fois, dans d'autres circonstances, tu aurais peut-être fait courir tes doigts contre sa mâchoire. Un pas de plus, une petite victoire pour ta louve qui cherche tant à te plaire. Tes doigts, cette fois, restent bien accrochés contre les bras de ton fauteuil. « Ce que je veux… » que tu débutes, le ton froid et ton regard plongé dans le sien. « … C'est que tu fasses ton boulot. Debout. » Tu ordonnes cette fois, la regarde se relever. Sors est prêt à suivre, si elle ne le fait pas d'elle-même. Et pourtant, lorsqu'elle ose s'approcher de la porte, ta voix s'élève à nouveau. « Tu as hésité, Vodenicharova. » Tu patientes, attends qu'elle se retourne, pour poursuivre. « Tu sais de quoi je parle. » Ton regard accroche le sien. N'ose même pas feindre le contraire. « Comment es-tu censé diriger ton équipe si tu n'arrives même pas à agir le moment venu ? » Tu gesticules vers elle, tes manières presque insultantes. Questionnant son droit, sa position. Tu cherches à la faire proie que tes regrets te souffleront plus tard. Pour l'instant, il n'y a que ton regard enflammé et ton poil hérissé qui persistent, prennent toute la place.
(c) AMIANTE

  Mer 24 Juil - 2:40
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Ludmilla Vodenicharova
MONSTER UNDER YOUR BED
Ludmilla Vodenicharova
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The wolf inside of me howling itself raw, and he is the moon, and he is every single goddamn star.
Toi qui te veux conciliante, aussi douce que ton alpha puisse le supporter, tu ne récoltes actuellement que des jappements de sa part. Grand bien lui fasse, il en faut bien plus que cela, pour t’inquiéter. Ton passé se voulant peupler de morsure et de dent trop aiguisée. Non, tu refuses de broncher. Tu te montre calme et à l’écoute, prête à endosser une partie de ses soucis – pour peu qu’il soit apte à en parler, mais ça, tu devrais déjà savoir que c’est bien trop demandé. Pour un homme. Pour un alpha. Il est ton chef, tu devrais plutôt te soumettre et t’éclipser dès qu’il montre les dents. Mais non. À qui tentes-tu de prouver quelque chose ? Et quoi ? Aucune idée.

Seulement, Nikolai ne voit pas ton entêtement d’un bon œil. Il se moque plutôt de tes tentatives pour l’apaiser – lui, il ne compte pas s’ouvrir à toi, tu aurais dû t’en douter. Ça ne t’empêche pas de soupirer doucement. C’est que toi, tu n’as pas encore eu le luxe d’une bonne douche et que tu es venue directement faire ton rapport, comme un bon soldat. Ce qui ne compte visiblement pas, pas quand il te regarde ainsi. Une partie de toi, s’offusques du traitement – tu n’es pas qu’une pauvre femme. Tu cherches seulement à l’aider. À l’épauler. Parfois, parler fait plus de bien que de cogner dans tout ce qui traine – toi y compris.

Le regard rivé dans le tien, un regard qui te force à baisser le menton – bien malgré toi, d’ailleurs – il t’explique ses attentes : « Ce que je veux… C'est que tu fasses ton boulot. Debout. » Sa voix est pareille à une gifle et déjà, tu t’exécutes. Tu te redresses, le rose aux joues – l’humiliation tout aussi douloureuse que les gifles du passé. Si tu te diriges déjà en direction de la porte, c’est tout autant pour ton propre bien que le sien. Il est ton supérieur – dans tous les sens du terme – mais il te coûte de ne pas laisser la bête en toi grogner. Montrer les dents, en retour. Un réflexe que tu ne parviens à ravaler que parce que tu es mère. Que tes petits t’on forcés à pratiquer. Apprendre. Repousser et contenir. Ta main fait pivoter la poignée de porte, mais la voix de ton maitre claque à nouveau, derrière toi. « Tu as hésité, Vodenicharova. »

De quoi parle-t-il ? De l’exercice ou de votre entretient désagréable ? Si tu ne poses pas immédiatement la question, tu tournes malgré tout le visage dans sa direction. Et tant mieux s’il aperçoit l’agacement dans ton regard : il le mérite assurément. C’est d’autant plus vrai quand il t’assure que tu comprends ce qu’il raconte – ce qui est faux. Ce qui te pousse à froncer les sourcils, le visage plus dur. Il n’y a plus rien de conciliant ou de doux chez toi. Plus maintenant. Non, c’est la warg qui l’observe, qui peine à ne pas lui montrer les gencives. Parce que tu viens de comprendre : il critique ton travail. Ta façon de gérer les hommes sur le terrain. Il exige énormément de ta part et tu as beau donner, tu ne peux pas tout faire. Il te faut plus que trois semaines pour être au niveau qu’il attend visiblement de ta part. Cette fois, tu redresses le menton. « Comment es-tu censé diriger ton équipe si tu n'arrives même pas à agir le moment venu ? » Il te cherche visiblement et tu respires à fond, ta main serrant de plus en plus fort la poignée. Jusqu’à y laisser quelques marques, tes ongles s’y étant accroché trop fermement. Puis, tu relâches l’air emmagasiné, puis le bouton de porte. C’est vers lui que tu te diriges, lentement et avec confiance – celle qui oscille pourtant devant lui, celle qui préférerait que tu t’inclines devant lui. Non. Pas aujourd’hui. Pas ainsi.

Non, tu contournes plutôt le bureau, sans jamais quitter son regard du tien. Consciente d’être en train de le provoquer, toi qui tentes pourtant de lui plaire. De devenir spéciale, pour lui. Pas actuellement. Pas quand tu dois jouer le rôle de victime. « Alors, c’est un souci de timing ? » Ta tête glisse, presque délicatement, sur la droite. Comme si tu ne comprenais pas entièrement ce qu’il voulait insinuer – quand bien même il sait que oui. Tu termines devant son bureau, que tu refuses de dépasser – de peur de poser les mains sur lui et pas pour l’attirer dans tes filets. Ahem. Non, tu croises plutôt les bras, le nez froussé. Visiblement vexée. « C’est de la merde. Je n’ai pas hésité. » Mais peut-être que si, un peu. Le doute est là, mais tu le repousses. Non, tu plisses plutôt les yeux. « Ce n’est pas parce que TOI tu n’es pas fichu de nous avoir un nouveau contrat, que nous sommes forcés de faire des erreurs aussi. Avant de critiquer MON job, Nikolaï, fait donc le tien comme il faut, hein ? » Bon, tu devrais peut-être la boucler. Sauf que non, tu le mets au défi en t’humectant les lèvres.

Il veut peut-être se battre ? Quelque part, tu préférerais presque. Ce serait tellement bon. Tellement plus naturel, du moins pour le warg qui remue en toi.
(c) AMIANTE

  Dim 4 Aoû - 2:02
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Nikolai Kozlov
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Nikolai Kozlov
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You're only armed to the teeth because you're more brittle than you'd care to admit
Si tu cherches à provoquer une réaction à la louve devant toi, faute d'être officiellement le pantin d'un corbeau, tes attaques s'avouent un succès. Tu le vois à sa posture, celle qui se veut plus tendue. Ses épaules carrées, menton redressé tandis qu'elle se tourne vers toi. Qu'elle s'approche, regard assassin et crocs dehors.  « Alors, c’est un souci de timing ? » qu'elle te demande tout innocente et ça te fait un effet de déjà-vu. Trop récent, trop agaçant. Elle qui se joue de toi, tout autant que l'autre. C'est comme une nouvelle étincelle, l'énervement qui s'éveille à nouveau pour couler dans tes veines. S'enfoncer dans le creux de ton ventre et cherche à happer ta poitrine, si bien que tu prends un respire pour ravaler le tout. Pour tenter de le rabattre et garder les apparences.  « C’est de la merde. Je n’ai pas hésité. » qu'elle poursuit cette fois, plus franchement. Et si tu préfères considérablement cette attitude plutôt qu'elle te prenne pour un idiot, tu n'en dénotes pas moins le défi et le venin dans ses paroles. « Ce n’est pas parce que TOI tu n’es pas fichu de nous avoir un nouveau contrat, que nous sommes forcés de faire des erreurs aussi. Avant de critiquer MON job, Nikolaï, fait donc le tien comme il faut, hein . » C'est une nouvelle attaque, une nouvelle insulte qui t'atteint ailleurs cette fois. L'orgueil est mis de côté dans ta fierté maintenant craquelée et tu serres à nouveau les poings.

Du culot, elle en a certainement, elle aussi.

« Ça pourrait être si facile. » que tu souffles après quelque temps de silence. Dédaigneux, mais l'attaque n'est pas contre elle, cette fois. « Je pourrais tendre la main… » et c'est ce que tu fais, offrant ta paume, mais tes doigts sont crispés comme si tu cherchais à lacérer l'air dans la pièce. «… et prendre n'importe quel contrat, je le ferais. Les gens sont effrayés, Milla. » Des faits en concession. « Les gens ont peur avec toute la merde qui se passe dehors. Et plusieurs entrent ici, oui, mais ce n'est pas tout le monde qui ont confiance. » Combien t'ont demandé de voir ta marque ? Celle qui te tare de danger, de créature ? Trop. Et de plus en plus. Tu en as perdu le compte, ne fléchis plus depuis longtemps sous leurs jugements tandis qu'ils tournent les talons. Le monde se divise tout comme ta clientèle et tu n'es pas le seul à le voir. Si certains t'abandonnent, d'autres ne seront que plus fervents de tes services.

« Je fais du mieux que je peux. » que tu déclares en te relevant, les positions maintenant renversées. Toi qui te retrouve à t'expliquer face à ses accusations pendant un instant. Une seconde de trop, certainement. C'est peut-être pourquoi tu t'approches, ignore la lueur sauvage dans son regard pour envahir son espace. « Si je critique, c'est parce que c'est mon job. Si je te pousse, c'est parce que je sais que tu peux mieux faire. Je l'espère. » Tu soupires, le ton ferme devenant soudainement las. « Ce que je veux, c'est pouvoir démontrer à quel point vous êtes efficaces lorsqu'on m'en offre la chance. Si tu n'aimes pas la façon dont je te présente tes fautes, si je t'insulte à un point tel que tu me trouves inapte, rien ne te force à rester. » Ce que tu lui offres n'est sans doute pas assez. Ce que tu lui offres, elle a pourtant pris. Et tu as cette lassitude de ces femmes qui pensent pouvoir te mener par le bout du nez. Peut-être es-tu injuste avec celle devant toi, par faute de celle qui a réussi à t'entourlouper.

Tu l'es. Tu l'es toujours Nikolai.

(c) AMIANTE

  Jeu 29 Aoû - 16:28
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