BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?
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Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 47
I have found the paradox, that if you love until it hurts, there can be no more hurt, only more love.
You’re the greatest risk I’ve ever taken.
† ♰ †
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Ven 7 Juin - 9:15
Zorya Domacheva
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 114
pain comes at me and i take it.
Il souffle un remerciement et Zorya inspire profondément sans le regarder. Miromir emplit ses pensées et celle de Gorgonia, de comment lui faire payer son existence. De comment l'utiliser pour que ses efforts ne soient pas en vain. En faire une marionnette l'intéresse, ne serait-ce que pour se venger de son entêtement à la dénigrer aux yeux de son époux. Elle foisonne d'idée et sait, qu'à l'instant où elle regardera Slave, soumis et généreux, elle trouvera le temps qui manque à ce crétin. Lui laissant une dernière chance, qui s'effiloche. Après tout, son Slave mérite quelques exceptions à sa règle et malheureusement, son image de sainte parmi la souillure, est utile dans son existence. Laisser respirer Miromir, c'est entretenir cette image. La légende hurle d'indignation, elle n'a pu assouvir son envie de tuer depuis des semaines et s'impatiente. Foutu tête de serpents, sans tact, sans contrôle véritable. Pas qu'elle l'assume. Gorgonia n'existe pas, ce n'est qu'un nom à une conscience malvenu. Zorya fini par observer l'homme à qui, elle a dit oui. Courbé, il offre un tableau charmant.
Il se redresse lentement, laissant une Zorya sur sa faim. Elle a envie de plus de sa part. Sans jamais lui offrir une chance. Elle l'imagine agenouiller entre ses cuisses, alors qu'elle gémit. Trop de mois ont passé depuis que les jeux de plaisir ont été chassés de sa vie. Par sa propre décision. Sa chaire devient plus exigeante. Hors de question qu'elle cède pour autant. Le jeu l'amuse trop. Combien de temps avant qu'il s'impatiente, qu'elle se demandait adolescente. La voilà, près de sa trentaine sans aucune réponse. Slave ne la bouscule jamais. Même une fois marié. Zorya n'a jamais rencontré quelqu'un d'aussi dévouer et c'est ce qui le démarque. Ce qu'elle utilise contre lui, de toute la tendresse dont est capable l'araignée. Un jour, peut-être. Il commencera, toutefois, par lui offrir du plaisir et s'il est à la hauteur, elle lui rendra… La pareille ou pas? Comment savoir? « Je lui parlerais demain... » Elle pince les lèvres en une moue peu convaincue, mais le laisse faire. Parler de ce con qui partage son sang. Immobile dans la pièce, fixant le sien avec satisfaction. Quoi que sa loyauté doive être uniquement sienne et Miromir en joue trop. En prend trop. Même une goutte serait trop, de toute façon. « Je ne crois pas que de lui faire casser les jambes puissent l'aider à y voir plus clair… au mieux, il sera ralentit quelques temps. Au pire, sa rancoeur lui servira de second souffle... » Casser les jambes? Il a depuis longtemps dépassé ce stade, avec l’argent dépensé, Miromir lui doit sa peau entière. Pour qu’elle en fabrique une lampe ou deux. Un rire dans le tréfonds de ses pensées approuve, mais la blonde l’ignore. La pénombre lui rendant sa vue, elle s’avance vers l’homme qui se frotte les yeux.
« … laisse-moi lui parler, une dernière fois, avant de lui envoyer quelqu'un. Un jour et je te laisse faire comme tu l'entends » Elle s'arrête devant lui. Entreprend de déboutonner sa chemise, de ses mains certaines, qui ne tolère pas la contrariété. « Tu devrais l'envoyer au loin, ça te ferait des vacances et m'éviterait de le transformer en sac de chaire décomposé. » C'est le plus près de la générosité qu'elle possède. Zorya n'est pas de celle qui cache ce qu'elle est, pas auprès de Slave. Lui, à accès à sa véritable personnalité. Trop loyal pour en être effrayé. Trop dévoué pour la fuir. Son pauvre homme, son malheureux époux qui n'a eu aucune chance de sortir de sa toile, depuis leur enfance. Elle ouvre entièrement la chemise, observant les cicatrices qui prouvent sa loyauté. Les frôle de ses doigts, ses joyaux si rares en ce mode de traitre. Elle la première. « Je suis prête à parier que Miromir célèbre déjà avec quelques putes de l'abyssal. » Zorya glisse sa main sur les hanches de son époux et le fixe, alors que son visage lui apparaît plus clairement pour la première fois de la journée. « Tu ne l'envies pas? »
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Mar 11 Juin - 17:12
Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 47
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You’re the greatest risk I’ve ever taken.
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Jeu 13 Juin - 6:14
Zorya Domacheva
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 114
pain comes at me and i take it.
Le grondement de son homme apaise ses oreilles, trop souvent frustré par sa manie de se retenir. De ne pas la presser, d'être le parfait Prince à la princesse qu'elle ne sera jamais. Qu'elle ne fut jamais, d'autant plus. Bien avant cette seconde conscience et ses cheveux de serpents, bien avant la mort qu'elle nie, Zorya ne s'est jamais rapproché de la pure et naïve princesse. À croire qu'il est le dernier saint dans cette façade de Ville, dans toute la Russie. Elle aime lire les réactions sur sa chaire, le sentir frémir sous le contact de ses doigts. Une part d'elle veut le réclamer, consommer l'union, sans qu'elle n'y succombe. Slave n'est pas qu'une femme, il est son époux. Bien avant qu'il ne sache son regard sur lui, sa loyauté l'avait choisi. Zorya ne laisse jamais rien au hasard. En a-t-il vraiment conscience? Elle appuie un peu plus fort sur ses hanches, le laissant rapprocher leurs visages sans se détourner. Lui offrant un moment presque intime, dans cette vie de couple incomprise. Si couple est le bon mot pour décrire ce que ressent l'araignée pour sa proie favorite, son époux, son bras droit. « Pas pour ce que tu t'imagines... » Qu'il commence, réitérant ensuite son manque d'intérêt pour les femmes que l'on paye. Sans surprise. Aucune ne peut survivre à Zorya, de toute façon. Pour la sécurité des catins de Moscou, Slave est mieux de se contenter d'un joli tête-à-tête avec sa main. Se souvient-il neuf mois auparavant, quand son frère l'avait traîné à l'Abyssal pour son enterrement de vie de garçon? L'effort fourni pour éviter qu'elle mette le feu à l'établissement? La blonde s'en souvient parfaitement et Gorgonia rigole à se souvenir, d'un rire goguenard. « Je ne lui envie que la communion du corps… »
Elle lève les yeux vers lui, se demandant si le romantisme peut déteindre sur un partenaire. Parce qu’elle ne goûte pas cette atmosphère aussi facilement que son époux. Il y a un mur entre eux. Qui ne semble pas suffire à le faire fuir, à son grand plaisir coupable. Si elle doit aimer quelqu’un, un jour, Slave en sera sûrement l’être qui s’en rapprochera le plus. La mafieuse ne se recule pas, lorsqu’il frôle son nez du sien, immobile, les doigts toujours enfoncé sur ses hanches. Elle le laisse faire ses premiers pas, une lueur de curiosité sur ce qu’il osera tenter. « Je n’ai faim de personne d’autre que toi, Zorya… mais parfois, j’aimerais savoir me satisfaire des autres. Posséder l’appétit facile des membres de ma famille. » L’image de Miromir bélinant une pute, lui tire une grimace. Aucune chance que ce manque de classe ambulant partage sa vie ou sa couche. Elle se tait avant de répondre, un chaste baisé, qui ne mérite pas ce titre, lui étant offert par Desislav. Zorya hésite un instant, laissant le moment se suspendre dans les airs. Son regard plus clair de minutes en minutes, fixé à celui plus brouillé de son homme. Puis, se lève sur la pointe des pieds et prolonge le baisé. Sans exagération, bien que ses dents taquine la lèvre inférieure du puceau.
Moins de trente secondes plus tard, Nyx rompt tout contact et s'éloigne légèrement de Slave. « Console toi, si tu avais l'appétit de ta famille, c'est en laisse que tu te promènerais et surtout… Pas à mon bras. » Qu'elle ajoute d'un ton neutre. Elle s'assoit à même l'énorme lit, ouvrant les boutons du haut de sa robe. « Explique-moi un peu, Slave. » Elle continue de déboutonner sa robe, consciente qu'il n'en sera pas complètement conscient. « Comment comptes-tu réussir à me tenir assez distraite pour oublier toutes les tentatives de Miromir, de me nuire? Tu risques d'en mourir d'épuisement et je ne trouve pas l'idée très plaisante. » D'un mouvement habile du poignet, elle relâche ses cheveux qui retombent en boucle sur ses épaules. Offrant ses sous-vêtements et sa peau sous sa robe à la vue de son époux, sans qu'il ne puisse véritable les détailler. Est-ce de la cruauté? Probablement. Mais, après plus d'une décennie à tester les limites du contrôle de Desislav, l'araignée a pris goût aux limites que l'on repousse. Aujourd'hui, elle se sent bien dans son rôle de mégère qui ne lui offre que des avant goûts. Elle raffole même de le voir se tortiller de gêne ou d'envie. Se balançant, elle-même, au bout du fil des ‘'je le récompense ou non?''. Elle croise les jambes dans un mouvement qui frotte sa propre peau et produit ce bruit que seules les peaux savent produire. Elle soupire au bout d'un moment, se laisse retomber à moitié sur les avant-bras. « Slave. Tu as conscience qu'il a vraiment frôlé la mort. Cette fois-ci, c'est Anastass qui risquait de l'attraper. Et tu connais mon oncle. »
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Ven 14 Juin - 8:00
Desislav Naoumov
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 47
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Lun 17 Juin - 0:23
Zorya Domacheva
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 114
pain comes at me and i take it.
L'anonymat que la pénombre apporte à son propre regard et la clarté de celui-ci retrouvé dans la nuit, permet à Nyx d'observer le moindre des gestes de Slave. De remarquer le rythme qui suit le sien et la peau qui apparaît, offrande qu'elle se refuse encore à goûter. C'est la loyauté qui l'attire et a fait de cet homme, le seul qu'elle ait regardé. Le seul qu'elle ait mis sous clef dans sa vie, auprès d'elle, dans ce lit qui est le leur. Le sien en premier, mais Zorya lui offre avec plaisir. Le partage avec l'avocat qui ignore les chances qu'il a de la posséder, pour mieux la servir et l'aimer. La femme ne peut rêver mieux comme conjoint et c'est ce qui la stimule à lui offrir ce pseudo striptease, à l'attiser, à repousser les limites de ce qui existe entre eux. Elle note le souffle plus rapide, les gestes familiers désormais. La main dans ses cheveux et sur sa nuque. Sa propre langue s'échappe pour cajoler ses lèvres. Aucune femme ne lui a jamais offert un tel spectacle, une telle envie de sa personne. Loyale à ce point, se retenant à ce point, le rêve de son enfance, devenu réalité. Un homme qui sait reconnaître sa place. Sa maîtresse. Son bras droit, que du plus fort de sa capacité elle chérit sincèrement.
Lorsqu'il se rapproche, avance vers elle, cède un peu, Zorya s'étale offrant sans gêne son corps à sa vue. Elle aime l'entendre déglutir, voir, presque sentir l'effet qu'elle lui fait. Même Gorgonia choisi de profiter de l'instant, partageant ce sentiment de plénitude quand elles peuvent franchement torturer tendrement l'époux. Avec aussi peu que leur propre chaire. Surprise, lorsqu'il enlève sa chemise pour venir frôler sa jambe de son pantalon, c'est un sourire en coin et un sourcil levé qui échappe à l'araignée. Aurait-il atteint une limite à sa patience? Compte-t-il se jeter sur sa femme pour enfin consommer l'union? Auquel cas, Zorya se refuserait à lui. Bien entendu. Non par manque de désir, la seule vue du torse de Slave lui donnant l'eau à la bouche. Plutôt parce qu'il n'aura jamais le contrôle des étapes importantes dans cette histoire. Zorya décidé, l'a toujours fait et ne relâchera jamais son droit sur le contrôle. « J'en ai conscience… et je lui parlerais, Anastass n'a pas à savoir… n'est-ce pas? » La question lui tire franchement un rictus de rire, dire quoi que ce soit à ce charmant tonton, aucune chance. C'est dans sa toile qu'elle veut que les gens se perdent. Pas dans la sienne. « Je te rembourserais. » Elle dresse l'oreille, ses yeux, de méduse, brillant d'intérêt. Les dettes, elle les collectionne. Il le sait, il la connait. Ce charmant Desislav sait comment lui faire plaisir. Ce qui lui laisse une saveur exquise sur le bout de sa langue. Qu'elle tape contre son palais, avant de lui répondre. « Anastass n'a besoin de savoir que ce que j'ai intérêt à lui susurrer… »
Déjà, elle s'arrête. Son époux agenouillé devant elle, une position qui lui offre la dominance. Elle se contient à peine devant autant de déférence, souffle son air quand il frôle son genou. Son envie de ronronner lui chauffant la gorge. « Les hommes Domachev s'inclineront tous, un jour ou l'autre, devant toi Zorya… » Cette fois-ci, elle sourit tendrement à celui qui lui offre toujours ce qu'elle désire. Elle ferme les yeux, lui laissant l'audace soudaine qui amuse Nyx. Le contact de ses doigts sur sa peau, lui donne la chair de poule. Lui rappelant ce qu'elle se refuse depuis neuf longs mois. C'est le contact de ses lèvres qui lui tirent un soupire, alors qu'elle ferme les yeux pour savourer le moment. Lorsque la barbe s'en mêle, ce sont de véritables frissons qui lui remontent le long de la colonne, jusqu'à la naissance de ses cheveux. L'audace chez un homme si doux est encore plus savoureuse. Surtout, après plus d'une décennie à tester les limites de sa patience et de son respect. « Mais si tu souhaites être distraite… je suis tout à ton service, zolatka. » Elle pousse un grognement à la légère morsure, qui n'en ait pas vraiment une et rouvre ses yeux pour mieux l'observer en silence. Le laissant à cette demande surprenante et combien amusante. Gorgonia roucoule pour de bon, camoufler sous le déni de la femme. Elle laisse un flottement s'installer, avant de se redresser entièrement, éloignant à peine ses jambes des mains de Slave. Elle se penche vers lui, jusqu'à toucher du bout des doigts son menton, le redressant pour capter son regard. Malgré, la faiblesse qui empêche d'entièrement se contempler au même instant de la journée. « Oserais-tu vraiment si je te donnais cette permission? » Qu'elle glisse à son oreille, avant de décroiser ses jambes, les entrouvrir en une invitation et de se redresser pour mieux l'observer de haut. Son visage est neutre, seule sa peau parle de son désir. Elle le met au défi quelque part. Le test comme toujours.
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Lun 17 Juin - 8:25
Desislav Naoumov
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Impétuosité : 47
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Mer 10 Juil - 1:53
Zorya Domacheva
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 114
pain comes at me and i take it.
La question glisse entre ses lèvres, s’allonge sous le poids de sa langue pour qui chaque ‘’s’’ est une longue symphonie. Un son de serpent qui se faufile dans l’air et s’enroule autour de son époux. Elle le dit, puis l’observe en maîtresse dévouée. Les jambes légèrement écarté pour lui, la peau offerte à sa bouche que tout autre aurait déjà goûté. Du moins, une autre femme, puisque les hommes n’ont jamais attiré son œil. Si ce n’est son Slave et sa loyauté sans faille. Elle patiente, torturant les instincts et les envies de l’homme qui lui a dit ‘’oui’’. Certains diraient que neuf mois de mariage sans lui offrir l’intérieur de ses cuisses est cruel, mais le jeu remonte à bien plus longtemps. Une décennie et des poussières. Si ce n’est deux. Zorya le perçois à la perfection dans la noirceur qui s’installe, sa reine gouvernant à son tour. Gorgonia rigole et se gave d’une telle dévotion. Se tenant tranquille dans cet instant qui attise les mêmes caractéristiques chez les deux femmes. Le rougeoiement délicat qui pulse sous la peau de son époux, peut-être un jour son amant, l’oblige à plisser les yeux. Redevenant incertaine de ce qui l’entoure, du moins par la vue. La princesse des bas quartiers ne s’en vexe pas. Seule lumière qu’elle accepte une fois la nuit tombée. Surtout, lorsqu’elle le voit ainsi, près de ses cuisses et soumis. Un délice dont elle raffole.
Son défi lancé, Nyx patiente. Jusqu'à ce qu'il vienne à ses lèvres et chastement y dépose les siennes. Elle ne le repousse pas, laisse le contact se prolonger alors qu'une autre se dévergonde en parole. Presque aussi frustrée par l'absence de cette partie de sa vie, depuis le mariage. C'est trop peu pour la gorgone, moins pour Zorya, qui patiente. Bougeant délicatement ses propres lèvres pour l'attiser. Elle savoure les gestes nouveaux, le rapprochement de son corps, la main près de sa hanche. La pression de son torse qui l'oblige à écarter davantage les jambes, à le laisser se rapprocher encore plus. Lui, qui se redresse, la surplombe presque. Son pouls s’accélère au contact de sa main, sa peau s'éveille. Entre ses cuisses, une chaleur s'ajoute, s'intensifie. Après lui avoir résisté quelques secondes, pour se jouer de lui, pour lui rappeler qu'elle décide en toute circonstance, la femme et Gorgonia ouvre délicatement leurs lèvres, taquinant la langue de leur époux. Elle mordille même, la lèvre inférieure de Slave, ses yeux ne pouvant entièrement le détailler, Nyx se laisse porter quelques instants. Se rappelant cette faim qu'elle contrôle depuis trop longtemps. Ses propres mains restent inactives pour autant. Elle laisse l'avocat avancer, teste sa volonté. Se gorge des sensations qu'il fait naître en sa chair.
La minute suivante, c'est un grondement de protestation qu'elle retient. Lorsqu'il abandonne sa bouche, lui permettant de reprendre son souffle. Une certaine garce hurlant son désaccord, Zorya se contentant de sourire en coin, gorge offerte à ses baisés qui ne tardent de revenir. L'infime rapprochement, le pouce qui cajole sa peau tendre. Elle offre cet instant, le goût d'une petite victoire encore sur sa langue. Elle inspire l'odeur typiquement masculine du corps de son homme, serpent dans son nid, profitant de la chaleur. Accepte de lui offrir un gémissement, lorsque la tendresse se change en une douce succion de son pouls. « J'oserais tout pour toi, Zorya... » Meilleur que bien des choses sur cette terre. Extase de l'ouïe qui ne demande qu'à se propager à son corps et à cet endroit qui pulse au même rythme que lui. Elle serre de ses cuisses, les hanches qui se sont faufilé, glisse un pied entre ses jambes pour mieux légèrement bouger. Caresse la peau sous le tissu et s'affaisse sur les coudes. Rompant le contact entre le haut de leur corps et malgré les protestations de son corps, celui de sa bouche sur elle. Elle détaille la luciole, autant que sa vue le peu, continuer de le titiller de ses jambes. « Tu aurais pu avoir tellement plus douce que moi, plus facile à prendre… Mais, tu me murmures encore ces mots doux, dont je raffole. » L'une de ses mains se tend vers lui, son corps prenant appui sur son autre bras. Pour finalement, venir caresser du bout des doigts, la naissance du cou de Desislav. Un motif routinier, charmeur, aguichant. « Déshabille-moi, Slave. » Un ordre, une torture, une opportunité. Bien des choses en si peu de mots. Nulle promesse, pour autant ne sort de sa bouche. « Mon époux possède au moins ce droit. Et puis… » Sa caresse, se change en une légère griffure de sa peau. « Tu es supposé me tenir distraite. »
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Sam 13 Juil - 8:10
Desislav Naoumov
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Impétuosité : 47
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Dim 4 Aoû - 4:11
Zorya Domacheva
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Impétuosité : 114
pain comes at me and i take it.
« Il n'y en a jamais eu d'autres… » Elle sourit en coin, chatte qui aiguise ses griffes avant de souffler une réponse. Elle cherche ses yeux pour les croiser quelques secondes, lui offrant un véritable aperçu de la possessivité qui coule dans ses veines. Une offrande pour l'homme qu'elle a épousé. « Si, quelques tentatrices quand je n'étais pas encore une femme… Ton frère n'avait peut-être pas tort en disant que je les avais fait fuir. » Son visage est l'innocence, seul son regard brûle et Gorgonia s'y complet parfaitement. Un rare moment de véritable entente, d'une symbiose qui implose davantage. Sous son propre désire, elle sent le besoin viscérale de posséder de la créature. Un chant auquel, Zorya peine à résister.
L’ordre roule sur sa langue et passive, elle observe le déchaînement. Son pouls s’accélérant à son approche, alors que le tissu s’étire loin de sa peau, qu’il lutte pour lui obéir. Son Slave, si tendu à cet appel de luxure, si attachant à force de prendre plaisir à ces tortures qu’elle lui inflige. Sa résistance à la tentation sans limite, que Nyx en roucoule. Elle aime le voir aussi soumis, souffrant de l’amour et du désir qu’il ressent pour ce corps qui est le sien. Elle observe le choc de ses paroles, le souffle qui ne cesse de se montrer plus capricieux. Immobile, avec le sourire, lui offrant une vue imprenable sur le saint-graal de son existence. Zorya est son fruit défendu et le serpent qui le tente. La récompense et le bourreau. Un autre parti change le jeu. La lumière la privant de ses yeux, la rendant aveugle à ce qui l’entoure. Alors que la pression sur sa robe s’accentue et que le tissu se met à grincer. Gorgonia hurle au scandale et à la vengeance, refuse cette faiblesse qu’on lui impose. Mais, Zorya patiente en grondant légèrement. Curieuse de ce changement.
La violence infuse un feu dans ses propres veines et rendu aveugle, elle n’en avale pas moins chaque instant. Surprise, après tant d’année à le pousser dans ses retranchements. Consciente, qu’il mérite quelques victoires par moments. Elle le sent qui la surplombe et se retient de peine et misère pour ne pas le forcer à échanger leurs places. Son corps hurlant que ce n’est pas l’ordre naturel, alors que sa propre intimité ne peut s’empêcher de s’échauffer. Elle plisse des yeux et mord sa lèvre, alors qu’il s’offre de nouveau. Elle sent son visage contre ses cuisses et par cette nouvelle soumission, laisse l’homme agir. Écarte les cuisses pour lui. « Pardonne moi, zolatka… » Sourire victorieux, alors qu’elle frisonne sous cette langue et attend les caresses. Nyx soupire de contentement quand, enfin, il caresse la fournaise entre ses cuisses. Ses doigts se crispent sur les draps et même Gorgonia semble se calmer, acceptant de nouveau Slave. Son pouls s’affolent, sa gorge laisse échapper des gémissements, elle s’abandonne à la caresse. À la langue masculine qui s’acharne et au plaisir qu’il fait naître. Dans un mouvement déterminé, Zorya arrache elle-même sa culotte pour se libérer du tissu et lui offrir un meilleur terrain de jeu. Ses cuisses se serrent autour de sa tête, elle pousse de longs soupirs, entre couper de gémissements. « Slave… » Sa main vient se perdre dans ses cheveux pour mieux serrer et l’obliger à la regarder un instant, quelques secondes tout au plus. Bien que ses propres yeux ne soient toujours pas fonctionnels. « Ne t’avise surtout pas de changer d’idée… » Doux sourire amusé, semi-cruel qu’elle ne garde que pour lui. « Ta bonne volonté, je déciderai quand elle sera de nouveau nécessaire. Compris? » Elle relâche sa prise, désireuse des plaisirs qu’il lui promet. Impatiente de lui couper l’herbe sous le pied.