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| Silas Ignatus Letov sebastian stan 1. mon nom dans les airs. Silas. 5 petites lettres qui ont poussés ta génitrice à la folie obsessionnelle. Elle n'avait que toi aimé Silas, et elle aimait tellement ce prénom qu'elle le hurlait au quotidien, il frappait contre les murs de la maison familiale jusqu'à atteindre tes oreilles. Ignatus, le prénom de l'arrière grand-père paternel , seul vestige de ce qui te retient à ce dernier. Ce qui t'as valu le surnom d'Iggy par ta tante. Elle adorait t'appeler Iggy, ça t'adoucissait sûrement. Letov, Leskov, Letiov, peu importe si on s'trompe sur la prononciation, sur l'orthographe il ne t'importe que trop peu maintenant. Les Letov étant pratiquement tous décimés.
2. mes cris sur la terre. Septembre 1978, à Tverskaya. Elle n'eut pas le temps d'arriver au triste hôpital ta génitrice. Elle accoucha sur la table du salon avec l'aide d'un ou deux aide-soignants. T'étais né à la va-vite, image de toute ta vie. Tu as tout fait à la va-vite depuis ce jour-là, peut-être que c'est inconscient. T'as toujours été en Russie, t'es resté sur les racines de ta mère Iggy, t'as jamais voulu en partir ou peut-être qu't'as jamais eu le courage de t'éloigner de la famille Letov. Pourtant, il n'y a pas que la Russie qui coule dans tes veines. Il y a de la Serbie? Ou de l'Ukraine?
3. mes tourments ventriculaires. T'aimes personne, c'est ce que t'essayes de faire croire à tout le monde. T'as pas le temps pour ces choses-là, vraiment tu te concentres sur des choses bien plus importantes. Tu peux mentir à tout le monde mais pas à toi-même, si? Tu le sais au fond de toi que seuls les hommes t'attirent. Oui, tu ne l'avoueras jamais, c'est sûr. Non, toi et ta virilité toxique ne comprennent pas qu'on peut être un homme, un vrai tout en aimant quelqu'un du même sexe. Tu fais pas parti de cette catégorie-là de personne, hein, Silas? De toute façon, tout ça c'est de la faute de ta mère. Elle t'a dégoûté des femmes, de l'être humain, elle t'a dégoûté de la famille. Tout ça c'est de sa faute, c'est sa faute si t'es toujours seul à quarante piges. C'est plus facile de te dire ça, hein?
4. mes espoirs éphémères. T'es barman à ton propre compte. C'est loin de tes études de psychologie, pas vrai? Mais t'as mis tes derniers sous là-dedans. Dans l'achat de cette bâtisse et finalement, ça te comble un minimum. T'es dans la merde financièrement, hein. Un crédit sur le dos, c'est pas rien surtout dans ta situation mais au moins tu t'éclates dans ce que tu fais. Tu vois des gens, tu vois le ramassis de la société, les tromperies, les pires engueulades, mais tu vois aussi des beaux moments d'amitiés, d'amour dans ton bar. Des fois, ça te redonne un peu d'espoir en l'espèce humaine. Et tu voudrais l'agrandir ce truc-là, lui donner un air plus chic. Des mets plus chics. Mais t'as pas les moyens alors tu vends des mauvaises bières.
5. mon cocon mortifère. T'es un homme et un casse-couille. T'es un peu déprimé sur les bords toi. T'es torturé. T'aimes ta tristesse c'est la seule compagne que t'acceptes d'avoir. C'est la seule qui accompagne ta solitude. T'es souvent comme ça que t'es seul, tu laisses tes démons l'emporter sur ta personne. T'es morose, gamin. En plus de ça, t'as un problème là-haut, t'as tellement été protéger par ta génitrice que ça t'en as rendu taré, ça t'as rendu lâche, ça t'as fais jalouser tout ce qui t'entourait, ça te fait être mauvais, menteur et stratège. Alors qu'au final, t'as des bons côtés devant autrui hein. Tu peux être joyeux, léger. Amusant, ouais t'as un bon humour remplis de cynisme et d'sarcasme mais c'est drôle pour ceux qui comprennent. Puis t'as un sacré sourire quand tu t'y mets, il est communicatif. Puis t'utilises pas toujours ton intelligence à de mauvais fin, non. Bien sûr que non, t'arrives à très vite comprendre les gens. T'arrives à les écouter, les conseiller. T'es pas mauvais, mais c'que tu peux être con. . 6. la gangrène sanguinaire. " à ton tour " , tu voyais ton cousin des larmes coulées le long de ses joues, toi tu l'savais ce qui allait se passer, t'étais préparé contrairement à lui. Yulian avait l'air effrayé à tes côtés, tu pouvais ressentir ses tremblements contre ton bras. T'en avais entendu des choses sur cet événement. C'était comme la Bar Mitzvah pour les juifs, la quinceaneras pour les latinos, c'était la manière des Letov de devenir des adultes. Toi, t'étais prêt. Tu t'asseois sur cette table fièrement, le menton relevé, un petit sourire en coin venant briser la commissure gauche de ta lèvre. " Enlève-moi ce sourire narquois, tu vas nous porter la poisse et avoir un don médiocre Silas. Je veux pas que mon fils soit médiocre. " Tes épaules s'étaient relâchés et un soupir discret s'était faufilé d'entre tes narines. On enfourna une tasse chaude entre tes mains gelées, la douce chaleur vint caresser ta peau. Tout ça c'est bientôt finis, gamin. Tu seras un homme, un vrai après ça. Tu pourras être l'homme que tu veux être. Le liquide âcre vint caresser le bout de ta langue, tu trempais simplement cette dernière d'abord. " Bois, maintenant! " Un ordre que tu exécutas assez rapidement jusqu'à t'en brûler tes papilles gustatives.
7. le monde délétère. Au début t'en étais heureux. Tu pensais que ça allait changer ta vie, hein, gamin? Tu pensais que ça allait être la solution à tous tes problèmes ce don-là. Et au final? Maintenant, qu'est-ce que ça t'apporte? Tu n'sauras distinguer désormais les bons côtés des mauvais. Tu es pitoyable, des fois. A cause de ce pouvoir. Tu n'sais plus dissocier qui te veut du bien, de qui te veut du mal. Tu n'sais où trouver ta place au final. T'es quoi, toi? Un mortel? Une créature? Qui défendra le mieux tes idéaux? Tes causes? Est-ce que t'as vraiment ta place dans cette bataille?
9. les ombres-mères. T'as toujours eu du mal à contrôler tes nerfs, bien avant d'être adulte. Dès ton plus jeune âge on pensait que t'étais hyperactif, c'qui t'as valu la plupart du temps de te prendre des corrections assez coriaces par ta génitrice suivis de monologue où elle t'exprimait son amour, qu'il fallait que tu comprennes, c'est de ta faute si elle est comme ça. La tienne et celle de ton géniteur, tu avais tellement ses traits. Et dans ce climat électrique là tu as grandis. L'amour passionnel d'une mère qui ne comprend pas que tu n'es pas son amour perdu, que tu n'es pas ton géniteur. Et, tu subis aussi la haine qu'elle a pu ressentir pour ce dernier. C'est comme si lorsque tu avais bu ce breuvage-là, le petit démon qui hurlait en toi c'était matérialisé. En un petit-être fait d'électricité. Fait de petits éclairs. Un marionnettiste qui prenaient les devants quand tes nerfs lâchaient, qui frappait contre ta cage thoracique quand la moutarde te montait au nez. C'qui t'valait la plupart du temps de te retrouver inconscient, d'ne plus savoir qui tu étais, où tu étais. Si tes sentiments prenaient le dessus, c'est lui qui prenaient le dessus. Toi, tu n'étais qu'un lointain spectateur. Tu lui as même donné un petit nom à ton petit démon. Zmeï. C'était tiré d'une légende russe que ta tante adorait vous raconter à Yulian et toi. En général, quand tu savais gérer tes nerfs Zmeï se montrait sage et savait même être utile, il faisait passer des petits éclairs entre tes doigts et te permettait de contrôler l'intensité des lumières ou c'genre de conneries-là. Rien de très exaltant, mais c'était mieux ainsi. De plus la réelle gangrène de ce foutu don, la réelle faiblesse de Zmeï, c'est l'eau. Oui, l'eau. La moindre goutte d'eau peut te remettre les idées en place. Une douche froide. Te rendre inoffensif, plus doux qu'un agneau. Elle peut même te rendre totalement étourdie cette foutue eau, à grosse dose. Y a même une fois où t'as perdu connaissance gamin, tu t'en rappelles toi? Oui, qu'tu t'en rappelles. Il est bien ancré dans ton esprit ce moment-là hein. Tu t'es réveillé une bonne heure plus tard en te demandant c'qu'tu foutais-là, où t'étais, et depuis combien de temps. C'est pas difficile à trouver tu me diras l'eau. En cas d'urgence.
FACULTE - Electrokinésie : Capacité d'un être humain de manipuler ou créer de l'électricité. Toi, t'es pas au stade d'en créer, gamin. Non, tu puisses ta force dans tout objet électronique/électrique autour de toi leur bouffant toute leur énergié.
FAIBLESSE - Aquaphobie : Si tu es sous le contrôle de ton pouvoir, la moindre goutte d'eau peut te faire redevenir totalement mortel. Si la quantité d'eau est trop importante sur ton corps durant l'utilisation de ton don, elle peut même te faire perdre connaissance.
pseudonyme : arukaevie âge : 21 ans. pays : la france comment as-tu connu le forum ? en farfouillant dans les partenaires d'un autre forum des questions, des suggestions ? j'pense que vous savez ô combien je trouve ce forum magnifique et puis CET ACCUEIL QUAND ON ARRIVE . crédits : obligatoires, ante mortem. |
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Invité Invité |
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| my story begins mes épopées “ Il ressemble tellement à son père; tu ne trouves pas? C’est le portrait craché. “ Tu as été bercé par ses paroles dès ton plus jeune âge. Père absent, mère au coeur brisé. Tu restais le seul “ reste “ de ton père. T’étais un reste, oui, on n’t’avait pas entièrement finis c’était sûr. “ Il ne sera pas comme ce raté, mon fils sera bien meilleur. “ Un manque d’un amour, et de la haine se croisait dans la voix de ta génitrice, tu allais être c’qu’elle avait le plus aimé en bien pire. Bien plus obsessionnel, si c’était possible. Tout en ayant la pression d’être un fils. Un fils qui devait porter la fierté d’une famille où les femmes se retrouvaient seules avec des gosses. Dans une maison trop petite pour quatre. Tu allais devoir partager ta chambre avec ton grand cousin, enfin grand cousin c’était un mot assez excessif. Vous étiez à la limite d’être des jumeaux. Comme vos mères d’ailleurs. Elles étaient pourries jusqu’à l’os, et allait vous grangrenez. Tandis que vous, vous alliez être des ratés à cause d’elles avec des névroses qui dépassent la moyenne mondiale.
Les premiers coups vinrent quelques années plus tard, environ vers l’âge de ⅘ ans. Ce n’était pas vraiment des coups plutôt des sévices, c’était sa manière à elle d’exprimer son amour débordant pour son fils. Une bêtise, une journée dans le placard lugubre en dessous des escaliers, une odeur d’humidité et de renfermé que tu n’oublieras jamais. Un touché rugueux au contact des quatre murs qui passaient sous tes doigts. Un manque de luminosité qui était devenu habituelle à tes yeux. Et la voix de Yulian qui passait devant rapidement, pour qu’il ne finisse pas par être enfermé dans une des autres pièces non plus “ ça va aller, Sil’, ça va aller. “ et des larmes qui coulaient le long de ta peau douce d’enfant. En général, le temps passé à l’intérieur était “ proportionnel “ à la bêtise que t’avais fais. La fois où tu t’étais échappé de la maison pour ne pas aller à la messe, tu y avais passé toute une journée, et pendant que tu somnolais, le tintement effroyable de cette horloge qui devait dater d’avant ton arrière grand-père vint sonner la vingtième l’heure de la journée. Là, le verrou cliqueta. L’ombre de ta génitrice se plaça dans le peu de lumière qui filtrait de la porte. “ Ô Mychonak - souriceau en russe , c’est comme ça qu’elle t’appela jusqu’à la dernière seconde de ta vie. -, tu as l’air épuisé. Allez viens. Viens, manger. “ Tu savais que ça n’allait pas s’arrêter là. Non. Tu savais que les dommages allaient durer. encore un peu. La pression émotionnelle. Tu entendis des couinements à ta gauche alors que tu plongeais ta cuillère dans cette soupe limpide, sans aucune saveur. “ Comment tu peux me forcer à te faire ça? Comment tu peux être aussi peu gentil avec ta mère? Je ferai tout pour toi… Tu l’sais. Peut-être que je te chéris de trop, peut-être que c’est de ma faute… “ La tirade cette soirée-là dura bien quarante-cinq minutes. Yulian manqua de laisser son visage tomber dans son bol vide, mais se rattrapa toujours au dernier moment.
Puis les choses s’enchaînèrent ensuite. L’école. Ta bouffée d’air frais, tu pouvais y être un gosse. Un vrai. Tu pouvais tomber sans entendre ta mère hurler aux drames. Le collège où tu fus plusieurs fois rattraper pour tes excès de violence envers les autres enfants, et où les corrections de ta génitrice et son amour débordant devenaient de plus en plus étouffant, plus en plus surréalistes. Oui, tu allais bientôt avoir l’âge d’avoir ta première copine. Mais même si tu n’en cherchais pas, même si c’était le cadet de tes soucis, ta mère t’étouffait. De peur que tu aimes quelqu’un d’autre de plus qu’elle. De peur que tu décides de placer un polichinelle dans le tiroir et de devoir l’abandonner comme l’avait fait ton père. Des fois, tu venais même à le comprendre et à ne ressentir aucune rancoeur envers lui, il avait raison d’avoir pris ses jambes à son cou. Puis t’atteignis la quinzaine. Cette soirée où ta faculté fut éveillé au fond de toi grâce à cette aquosité. Cette tradition familiale. Ce truc-là. Tu pensais que ça allait te changer ta vie hein? Ca l’a empiré, gamin. T’es devenu un boulet fois mille à cause de ça.
“ Mécano? Qu’est-ce que tu veux faire avec ça? C’est comme ça que tu vas t’occuper de moi quand j’vais devenir vieille? “ Un couinement. “ J’ai tellement mis ma vie de côté pour toi Mychonak. Et toi ? Et toi tu veux devenir mécano… J’savais que tu allais être comme ton père, pas vrai? “ Son regard vitreux se tourna vers le deuxième monstre de cette maison. “ Iggy. “ Cette voix-ci c’était la voix repoussante de ta tante. “ Comprend la. Elle veut l’meilleur pour toi. On a besoin de vous. “ Deux déglutissements se firent entendre à l’unissons. Yulian se trouvait à tes côtés. Tes épaules tombèrent, effondré. “ Je… C’était une idée comme une autre, maman. Je… La fac de psychologie à l’air plutôt pas mal. “ Ton visage s’était transformé gamin. Tes babines s’étaient rabaissées pour créer un arc austère. Contrairement à toi, ta génitrice s’était totalement illuminé. Et à ce moment-là, tu entames 6 ans d’études de psychologie. 6 ans où tu n’arrivas à valider de justesse que 3 ans. T’étais pas un grand intellectuel. Du moins tu étais plus dans la pratique que la rhétorique, toi, gamin.
“ Tu rentres encore tard. “ Ton visage n’était plus celui du gosse que ta génitrice avait connu. Cicatrice de débouards passés, empreintes de castagnes familiales. Famille toxique. Tante, cousin, génitrice. Rien ne va. “ J’sais. “ avais-tu lâché entre deux soupirs, jetant tes affaires au sol. Taudis ne pouvait pas être plus en bordel qu’il ne l’était déjà. “ Mychonak! “ Elle hurla. Encore. Encore jusqu’à s’égosiller, alors que tu montais les escaliers. Les premières larmes se firent entendre alors que tu arrivais à l’avant-dernière marche. “ ARRÊTE! “ avais-tu hurler, alors que Zmeï commençait à re-frapper dans ta cage thoracique. Comme cet après-midi. Zmeï s’amusait à faire fluctuer la luminosité de la maison. Boule qui se balançait sur le canapé, bras autour de ton visage. Des bribes de l’événement de la journée passaient à toute vitesse dans ton cerveau. “ T’es une tarlouze. “ Un poing. Du sang. Image assez habituel. “ Je suis pas une tarlouze, j’le suis pas. J’le suis pas. “ Des larmes coulaient le long de tes joues désormais plus aussi douces qu’autrefois. “ J’le suis pas. “ Balancements. Si, tu l’es, Iggy. Tu l’es à cause de ta mère. Hein? C’est c’que tu te dis les peu de secondes où t’imagines cette éventualité-là, d’être un pédé. Hein? Tu préfères te dire que c’est ta mère qui t’a refilé ça. Ou peut-être ton père, ça s’transmet peut-être dans les gênes cette connerie-là. Oui, c’est pas de ta faute. C’est pas de ta faute. En plus t’es pas gay. C’est faux. Non, t’es juste concentré sur d’autres choses.
“ Tu peux pas m’abandonner, Mychonak. J’suis toute seule, maintenant ici! Tu peux pas t’en aller. T’es comme ton père, je l’avais prévu. J’LE SAVAIS. “ Les mots. Toujours les mêmes. Rentrant de ton boulot l’soir après trop de transports et une journée d’cours encore trop épuisante. Il te fallait un appartement ailleurs. Tu savais que ça allait s’passer comme ça. Zmeï était indifférent à c’qui s’passait, et toi aussi. Tes valises dans les mains. Une veste en équilibre sur la table. Un premier coup l’a fit tomber. Un deuxième. Des griffures sur le cou. “ Tu partiras pas! Tu m’abandonneras pas. T’es à moi! T’ES A MOI SILAS, C’EST MOI QUI T’AI FAIS. “ Et d’autres mots. Sur toi, sur ta sexualité. Sur l’fait que t’es raté ta vie. T’es un bon rien, gamin. Alerte, Zmeï s’réveille. Zmeï frappe. Il faut que tu le laisses sortir. Il a trop accumulé. Zmeï n’a jamais attaqué ta génitrice. Jamais. Mais tu l’sentais se gonfler d’énergie. Tu sentais que bientôt il n’atteignait plus la cage thoracique. Il fluctuait le long de tes membres. Bientôt, tu n’sentais plus les coups de la génitrice. Tu la suppliais d’arrêter. Oui, tu la suppliais de cesser. Tu savais que toutes ses années de sévices avaient aussi touché Zmeï. Il n’avait jamais voulu s’en prendre à elle. Jamais. Mais c’était trop; tu voulais qu’elle cesse. Pour ne pas qu’elle se fasse attaquer. Ou peut-être que tu voulais qu’elle cesse de vivre simplement. Scintillement. Eclat. Des éclairs. Un impact. Un hurlement. Un poids à terre. Et toi, à côté. Deuxième poids à terre. Une maison dans l’obscurité totale. La fin d’un cauchemar. Le début des névroses.
“ Debout! “ 10 ans de vie sur un canapé. Manque d’intimité habituel. Visage familier d’un cousin qui l’avait recueilli dans le pire des états, qui avait finis par prendre le même chemin que lui. Matricide. Matricide de deux spectres abominables. Seuls héritiers de la dynastie Letov, c’est à dire un néant. “ Debout, Silas! Lève ton cul un peu. Bouge-toi. T’avais pas un rendez-vous? “ Un rendez-vous. Oui. L’achat de ce foutu bar. Un sentiment de joie. Sensation étrange dans un corps habitué à la douleur. Une fierté assez excessive pour un bar miteux. Le manque d’enthousiasme de Yulian, tu l’vécus comme une trahison. Mais tu savais que tu allais lui donner tord. T’avais plutôt intérêt. Tu avais des loyers en retard, gamin.
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Dahlia Cohen RULE THE MONSTERS WORLD |
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| bienvenue parmi nous Silas ! de dious, ce scénario, cette trogne ! sebastian stan ! et quelle amorce prometteuse ! j'aime. je me languis de voir ce bout de gaillard évoluer entre nos murs ! si tu as le moindre souci, n'hésite pas à venir titiller le staff. |
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Dorreh Glazkov MY MIND IS POWER |
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| Gosh ! Ce perso s'annonce tellement intéressant normal en voyant quel scenar tu as choisi Et puis ce vava que tu as choisis Bienvenue parmi nous et courage pour la fiche ! |
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Ilya K. Romanov EMISSARY OF DEATH |
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| Bienvenue, copain de newbittitude |
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Maksim Milosevic RULE THE MONSTERS WORLD |
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Yulian Letov MY MIND IS POWER |
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| T'es beau. T'es ouf. Je t'aime J'ai hâte d'en lire plus Et t'es juste l'amour de ma vie quoi. Merci merci, je te le dirais jamais assez Hésite pas toujours hein |
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Esfir Lolkova YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Très bon choix de scénario! Tu fais des heureux! Bienvenue par ici! |
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Alasaïas Schneider YOU WILL HEAR MY LEGEND |
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| Oooooh. Toi et moi on va être potes. Deux barman, deux Marsiliya, deux casse-burnes, on va carrément être potes.
Bienvenue, excellent choix de scénario, j'ai hâte de lire la suite ! |
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Invité Invité |
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Yulian Letov MY MIND IS POWER |
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| ok. C'est bon. Je t' adopte. Je suis fan de ta fiche et de comment tu as rédigé Silas. Je n'ai rien à dire à part que je suis hyper heureux que ce sois toi qui le joue. |
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Invité Invité |
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| J'AVAIS PAS VU TON MESSAGE, j'vais aller demander une petite validation pour aller rps avec toi au plus vite. |
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Maksim Milosevic RULE THE MONSTERS WORLD |
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| tu es validé ! bienvenue ! Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie ! HAAAAAAAAN, comment t'es bo, comment t'es chou J'aime énormément Silas, et ça me fait un grand plaisir de le voir joué, oui oui oui Je suis conquise par tous tes choix, et ce pouvoir, encore une fois, j'suis en émois, j'adore J'ai vraiment hâte de voir les aventures qui vont le lier à Yulian, vous allez nous faire un duo incroyable, et ça, je ne puis qu'être contente Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille ! Tu peux également aller demander ta récompense pour avoir terminé ta fiche dans le système de points ! N'oublie pas que tu pourras aller en demander, ou en dépenser, tout au long de ton aventure. Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis ! |
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| keep catching little words but the meaning's thin (silas) | |
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