Give me it all - Agnes


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Agnes Tolma
MONSTER UNDER YOUR BED
Agnes Tolma
Impétuosité : 95
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Agnes Marei  Tolma
Aubrey Plaza


1. mon nom dans les airs.
Agnes et Marei, des prénoms assez ironiques quand on sait ce qu’est devenue le bébé qu’elle était – un digne produit de la famille Tolma. Ses parents biologiques devaient vouloir forcer le destin pour lui donner des prénoms pareils. Espérer lui tracer une voie vertueuse, innocente. Bien tenté. Elle a quand même gardé ses prénoms d’origine en rejoignant sa nouvelle famille.  De toute manière, elle était déjà trop âgé pour s’imaginer continuer sous une nouvelle identité. Qu'elle bazarde son ancien nom de famille, Strand n'était pas bien grave pour elle vu le peu que celle-ci avait fait pour elle, mais ses prénoms, c'était autre chose. Sa famille et quelques amis intimes ont le droit de l’appeler Aggie mais les autres se contentent de son prénom ou de son nom de famille juxtaposé d’un miss. Il ne faudrait pas qu’ils prennent trop la confiance.

2. mes cris sur la terre.
La Terre a vu Agnes rejoindre les effectifs mondiaux un 3 mai 1984, à Bergen en Norvège. Elle profite du monde depuis 35 ans maintenant. Pour autant qu’elle sache, elle est aussi norvégienne qu’on puisse l’être. Ses parents biologiques l’étaient en tout cas et elle n’a jamais eu la curiosité d’en savoir plus sur l’histoire de leurs familles. Elle a adopté corps et âme celle de la nouvelle, revendiquant l’origine des Tolma comme la sienne.

3. mes tourments ventriculaires.
Homme, femme, peu importe, elle va de lit en lit selon son bon plaisir, se faisant un devoir de toujours couper les ponts dès que son cœur montre le moindre attachement pour qui que ce soit mais choisit ses amant.e.s avec un soin maniaque. Elle est divorcée – une folie de jeunesse dont elle a tourné la page depuis longtemps. Il faudra bien qu’elle attache un jour son destin de nouveau à quelqu’un d’autre. Pour la famille, toujours pour consolider la famille, mais rien ne presse. Agnes ne se laisserait pas avoir pour rien de moins que le ou la prétendant.e parfait.e. Devoir oblige : son cœur va à sa déesse, le reste n’est que distraction ou satisfaction de besoins plus que naturels. Elle ne sacrifierait sa liberté que dans l’intérêt de sa famille.

4. mes espoirs éphémères.
Papa aurait pu payer les factures mais la brune a sa petite fierté. Ce qu’elle a, elle le doit certes en partie à son travail acharné. Agnes a créé sa propre entreprise, un programme de régime drastique et ses produits dérivés. Un culte à la beauté, un moyen de détourné de pousser les gens à s’affamer de leur plein gré. Depuis que la famille a récupéré les cordons des Bourses nationales, elle s'est fait financer une part dans une grande entreprise d'agroalimenaire russes, dont elle a rejoint le conseil administratif, une manière de se mettre dans le bain russe. Autant dire qu’elle vit plus que confortablement.

5. l'entité renfermée.
Hors de question de servir une autre déesse que celle qui protège les siens ou d'aller à l'encontre de sa nature. Agnes ne sert que les intérêts d’Eris et de sa famille. Les Tolma ont tout le pouvoir qu’ils peuvent désirer, merci bien.

6. mon cocon mortifère.
Énergique, souriante, égoïste, sanguine, prévoyante, versatile, enjôleuse, ambitieuse, vaniteuse, avide, investie, exigeante, extravertie, fêtarde, contrariante, manie la mauvaise foi comme sa langue maternelle, craque de partout, ne dort pas plus de quatre ou cinq heures par nuit et c'est tant mieux parce qu'elle a autre chose à faire de son temps, sauf les lendemains de soirées, quand elle pourrait dormir même pendant un tremblement de terre, a un truc pour les couleurs, en particulier le violet, ne peut pas ouvrir un magazine sans faire les tests et les jeux à l'interieur, aime faire brûler de l'encens à la bergamote ou au chèvrefeuille chez elle.


7. la gangrène sanguinaire.
Comme tous les Tolma qui ont voué leur existence à la famille, Agnes est une Enfant de la Discorde issue de la branche principale de la famille. A l'extérieur, elle a l'air somme toute aussi normale que le premier venu - mis à part un colobome irien qui déforme ses deux iris et lui cause des migraines ophtalmiques très régulièrement. A l'intérieur, elle est la personnification de la Famine et donne beaucoup de sa personne pour tenir ce rôle et satisfaire sa famille. Très enthousiaste de nature, elle met toute son énergie au service des siens, quitte parfois à en faire un peu trop.

8. l'existence secondaire.
Sa deuxième vie – de loin la plus excitante – a commencé il y a dix ans, peu de temps après son vingt-cinquième anniversaire. Avec une réunion de famille et un couteau en cadeau. Comme tous les siens avant elle, Agnes a sacrifié sa vie à sa déesse, sur l’autel familial, entourée des siens, essayant d’avoir l’air sereine de rencontrer leur sainte patronne en étant secrètement anxieuse à l’idée de s’embarquer dans un aller simple pour l’au-delà. Parce qu’elle n’était peut-être pas assez bien pour rejoindre la famille Tolma. Les doigts crispés sur la lame, Agnes s’est tranché les veines et a laissé sa vie s’écouler hors d’elle pour rouvrir les yeux exaltée, ravie d’avoir vu leur déesse, d’avoir été choisie par elle et de voir sa place confirmée au sein de sa famille. Une place qu’on ne pourrait jamais lui contester à présent.

9. le monde délétère.
L'avantage d'avoir l'argent et le pouvoir, c'est qu'ils tendent une sorte de bouclier aveuglant devant toute personne les possédant. Les gens ne posent pas sur elle le moindre jugement, encore moins par là où elle habite. La plupart n'ose pas et les quelques rares courageux à le faire sont ceux qui se placent à un niveau trop important sur l’échiquier socio-politique pour s'arrêter à sa nature. De fait, il y a longtemps qu'elle a oublié de s'intéresser à l'avis des autres sur elle et s'il arrive que quelques mots fielleux tombent dans son oreille, elle fait goûter de son don à son émetteur. Agnes vit pleinement sa nature sans même y penser, oubliant parfois complètement ne pas être comme le plus gros de la norme russe. De toute manière, on les a invité à venir ici, ce n'était pas comme s'ils étaient comme ces créatures hors de contrôle...

10. les ombres-mères.
PHASE NUMERO 2 - colère. Agnes n'a jamais été vraiment très patiente mais à présent, elle saute sur toute invitation à utiliser son don, se servir de sa nature pour faire la fierté de sa famille.
DON UNIQUE - dénutrition : d’un contact, Agnes peut dégrader les protides et lipides de sa victime, la mettant dans un état de faiblesse et d’épuisement intense, symptomatisé par une sensation impérieuse de faim et de soif, et une grande faiblesse qui, sans contre-mesures, peut entrainer la mort. Son don consomme plus ou moins d’énergie selon jusqu’où elle le pousse, la laissant dans un état plus ou moins avancé d’hypoglycémie, au mieux pantelante et sans force, prises de vertige, au pire à l’aube d’un coma. Le simple fait de savoir qu’elle doit se jeter sur un pot de glace après chaque utilisation de son don l’oblige à rationaliser son utilisation sans compter qu'elle doit s'approcher assez pour toucher la personne assez longtemps pour arriver là où elle veut.



pseudonyme : Biss. âge : 25 ans. pays : France. comment as-tu connu le forum ? écrire ici. des questions, des suggestions ? nope. crédits : smmg - legionfx.tumblr

  Ven 11 Oct - 12:41
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Agnes Tolma
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my story begins
mes épopées

Avant Agnes, il y a eu trois. D’enfants perdus, les chérubins retirés à sa mère par l’assistance sociale bien avant sa naissance. Pour sa mère et la tripotée d’oncles et de tantes gravitant autour d’elle, Agnes était la rédemption de sa mère. La preuve, aux yeux de Lotta Strand et du reste du monde, qu’elle était capable de prendre suffisamment soin d’elle pour s’occuper de son enfant et de le garder. Elle avait suivi une cure de désintoxication jusqu’au bout, trouvé un travail, un homme sérieux décidé à rester et même Dieu pour éclairer son chemin.

Malheureusement, vouloir n’est pas toujours pouvoir et il ne fallut que quelques années à Lotta pour retomber dans ses anciens travers. Agnes vit son père partir, impuissant et frustré devant la force auto destructive de sa femme, et sa mère sombrer en l’entraînant avec elle dans les affres d’une vie misérable. Dans ses heures les plus sombres, elle accusait Agnes et ses yeux anormaux d’attirer le malheur sur leur foyer mais la vérité, c’est qu’elle était assez grande pour construire elle-même son malheur. Chez elles, tout un tas de gens allaient et venaient. Des assistantes sociales se succédaient les unes aux autres dans l’appartement en un ballet de chassé-croisé. Des oncles et tantes venaient hurler ou s’agonir des pires insultes dans leur salon. Des hommes entreposaient dans leurs placards des biens à l’origine douteuses ou passaient la nuit dans la chambre de Lotta qui voyait son hospitalité récompensée par le renflouement de ses stocks d’héroïnes.

Quand elle fut assez grande, Agnes prit le partir de fuir cette agitation le plus souvent possible. En journée, elle pouvait aller à l’école et se donner l’illusion d’être comme ces petites filles normales dont les mamans venaient les chercher avec le goûter et dont les vêtements étaient toujours à leur taille et propres. Mais le soir, elle restait dehors à traîner avec ses cousins et cousines jusqu’à ce que quelqu’un – un oncle, une tante, un des amants passagers de Lotta – vienne la traîner par la peau du cou jusqu’à la maison pour lui éviter de croiser un ces monstres du folklore. Agnes aurait préféré tenter sa chance si elle avait eu la force de se défaire de ces poignes qui la ramenaient vers l’enfer de l’appartement. Elle savait que même les êtres humains pouvaient être monstrueux.

Les étés étaient les plus difficiles. Quand rares se faisaient les visiteurs et que plus personne ne fournissait sa mère. Parce qu’en temps normal, Lotta n’était pas méchante. Si elle avait sa dose, elle restait tranquille dans son coin à savourer les délices de son poison, inaccessible sur ce plan de l’existence, mais quand elle redescendait, mieux valait ne pas être dans son chemin. Elle pouvait être prête à tout pour repartir, quitte à privilégier ses doses à la nourriture qui aurait pu les rassasier sa fille et elle. Quand il y avait école, Agnes pouvait encore tenir grâce au repas de la cantine mais en été, elle dépendait de la générosité de ses oncles et tantes. De toute manière, elle n’avait jamais très faim, mais quand même. Il n’arriva pas qu’une fois qu’elle reste allongée sans force sur son matelas posé à même le sol, le ventre tenaillé par la faim, à rêver qu’on l’emmenait comme ses aînés pour la mettre dans une famille où elle n’aurait pas à enfoncer un oreiller sur sa tête pour ne pas entendre les bruits de la chambre d’à-côté, où elle pourrait manger à s’en rendre malade. Le seul petit rayon de soleil qui la laissait espérer à une vie meilleure était une voisine qui la prenait chez elle parfois quand la porte de l’appartement restait hermétiquement close sous les poings de la petite fille ou qu’elle la voyait occuper à bailler aux corneilles en bas de la cité. Une baboushka comme elle s’appelait elle-même baragouinant le norvégien à la limite du compréhensible qui la laissait regarder des dessins animés dans son salon et la gavait de medovik à chacune de ses visites. C’était une vieille femme russe qui avait suivi son mari en Norvège et ne s’était jamais vraiment faite à son pays d’adoption. Ses enfants avaient grandi et étaient partis et tout l’amour qu’elle aurait pu avoir pour ses petits-enfants installés à Londres, elle le reportait sur Agnes qui, à son contact, apprit à parler russe et à déchiffrer les symboles sur les livres de contes décolorés que la vieille dame essayait de lui mettre sous le nez. Mais un jour, les pompiers débarquèrent et son appartement trouva de nouveaux occupants qui n’aimaient pas la voir traîner près de leur porte. Et son rayon de soleil s’affaiblit encore un peu.

Quelqu’un finit par faire quelque chose quand même. Une enseignante qui, s’inquiétant de la voir maigre à faire peur et apathique le jour de la rentrée, tira la sonnette d’alarme mais à 14 ans, elle était trop âgée pour être placée dans les familles d’accueil déjà débordées et se retrouva dans un foyer d’accueil. En comparaison avec l’appartement, ce n’était pas si dur. Face aux moqueries de ses camarades aux yeux normaux, aux vêtements propres et ventre pleins, Agnes avait appris à faire marcher une langue assassine pour se défendre. Ceux qu’elle ne se mettait pas dans la poche avec son joli minois, elle les repoussait avec ses moqueries, ou ses poings si cela ne suffisait pas. La plus grande avancée à ses yeux fut la liberté qu’elle trouvait dans le foyer. Ici, il était bien plus facile de passer entre les mailles du filet pour s’offrir du bon temps en boite de nuit. Adolescente, c’était d’ailleurs son passe-temps favori : ruser pour se rendre en ville, ruser pour boire un coup, ruser pour entrer en boite, puis ruser pour se payer un ticket de retour. Ainsi que jouer de son charme sur la piste de danse et voir les autres se battre pour elle ou à cause d’elle. Ambroise croisa son chemin une de ces nuits de plaisir, lors d'un festival dans des régions perdues qui abritait sa famille, ce qu'elle ne découvrit que plus tard.

Plus tard, il lui expliqua que c’était son art d’échauffer les esprits pour les délaisser à la faveur d’autre encore et encore sans jamais cesser de sourire ou de danser qui avait attiré son attention. Elle-même ne comprit pas comment elle avait réussi à gagner un retour dans une voiture aussi belle sans même avoir eu à se laisser tripoter avant. Ambroise la déposa devant son foyer après avoir discuté poliment avec elle et la planta là sans une explication, pantelante et brûlante de curiosité. Ce mois-là, il revint la voir une bonne douzaine de fois, tantôt seul, tantôt avec son enfant, sa compagne. Un jour, il lui offrit de l’emmener en ballade là où sa famille avait posé ses bagages pour lui faire découvrir comment ils vivaient. Agnes ne comprenait pas qu’on lui manifeste une telle attention, l'attention de gens qui ne s'arrêtaient pas à sa manière de parler brute de décoffrage ou de ses yeux si particulier, et pour sûr, avoir celle d’Ambroise lui plaisait. Il lui fit part de son intention de l’adopter quelques temps plus tard et elle sauta sur l’occasion. C’est ainsi que, pour la première fois de sa vie, elle rencontra de vraies créatures telles que celles dont on avait tenté de l’effrayer enfant. Bien moins terrifiantes que ce qu’elle pensait. Plus justes, superbes, et généreuses. Leurs voisins les voyaient comme des créatures merveilleuses et délicieusement inhumaines, elle partageait leur fascination pour les Tolma. Et le meilleur dans tout ça, c’est qu’on lui laissait la chance de devenir l’une des leurs, on lui offrait de passer de l’autre côté de la ligne et d’être adulée comme eux. On la désirait, elle. Pour la première fois de sa vie, elle avait tout ce qu’elle pouvait souhaiter et même au-delà de ses attentes les plus folles. À elle qui avait toujours dû se battre ou user de ses charmes pour obtenir ce qu’elle voulait, on offrait le monde sur un plateau d’argent. Réaliser une chose pareille réveilla l’avidité qui avait toujours sommeillé en elle. L’envie d’avoir tout, toujours plus que les autres. Les Tolma lui proposaient une voie où elle serait mieux que ce que les gamines aux mamans parfaites, avec les goûter, leurs t-shirts et cartables licornes étaient devenues. C’était une perspective ravissante Alors Agnes s'engagea bille en tête dans la famille, s'adaptant à elle, allant jusqu'à changer de caractère pour eux et se transformer en l'une d'entre eux. On lui offrit la possibilité d’apprendre et, pour leur faire plaisir, elle se fit réceptacle de leur savoir, apprit de son côté l’anglais et des bases de mandarin, s’efforça de comprendre et d’intégrer des notions de finance et de commerce sans jamais renoncer à ses petits plaisirs, sans jamais s’éloigner trop des terres familiales.

Comme les autres prétendants au titre d'Enfant de la discorde, elle fit ses propres expériences avant d'atteindre l'âge de rejoindre sa déesse, ne se refusant que peu de choses pour assouvir son envie de voir toujours plus de choses, de goûter à toujours plus, et d’enrichir par la même la culture des Tolma. Voyages, soirées, stages en tout genre - du saut à l’élastique au tir au pistolet en passant par la cuisine au cannabis - elle s'offrit toutes les expériences possibles et imaginables en particulier celles dont elle devrait faire sacrifice plus tard. A 21 ans, elle se laissa passer la bague au doigt et elle qui n'avait jamais vu les gens - en particulier les hommes - qu'en termes d’intérêt physiques et/ou intellectuels à exploiter à son avantage se laissa séduire par un jeune héritier rencontré lors d'un séjour au ski. Ravie de faire d'une pierre deux coups, en assurant des contacts intéressants pour sa famille et de profiter de son nouveau mari, elle s'assagit et décida qu'il était temps de faire quelque chose de ses dix doigts. A voyager et fréquenter les endroits les plus huppés de tout le continent, elle se composa un carnet d'adresses bien utile et entreprit de suivre une formation dans les affaires - aidée à l'admission par son nom de famille - tout en montant son projet de son côté. Son anniversaire approchait et elle comptait rencontrer sa déesse en aillant quelque chose à lui présenter. Arrivée à l'aube de ses 25 ans, elle divorça sans trop de regrets et passa le rituel avec le succès qu'on devine. Une toute autre Agnes était née et en tranchant ses veines, ce n'était pas elle mais l'ancienne gamine affamée qu'elle avait tuée. Elle se fit la plus empressée des prêtresses du culte familial, la plus convaincue, la plus fervente.

La perspective de quitter sa Norvège natale pour une Russie impériale ne lui plut pas de prime abord. Pourquoi quitter ce qu’ils avaient construit, la notoriété dont ils bénéficiaient chez eux. Puis on lui annonça le prix que le tsar était prêt à mettre pour les décider et elle consentit à délaisser les fjords et les steppes de son enfance. Elle se remit au russe, douloureusement, mais avec d’autant plus de motivation qu’elle voyait les possibilités qui les attendaient elle mais aussi toute sa famille de l’autre côté de la mer Baltique. La nomination de sa famille comme régisseuse du Kitaï-Gorod n'était qu'un succès de plus à ses yeux, un signe que la chance leur souriait, selon la volonté de leur déesse.
Et si la mort récente du Tsar les coupe de leur principal soutien en Russie et jette leur futur dans l’obscurité, elle jette par la même le monde dans un chaos que seuls les Tolma sont en mesure de savourer…
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Artiom Iejov
RULE THE MONSTERS WORLD
Artiom Iejov
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YOU WILL HEAR MY LEGEND
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Re-Bienvenue avec ce personnage! Famine est un choix tellement parfait! Give me it all - Agnes 3143307113 Give me it all - Agnes 985036731
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Yulian Letov
MY MIND IS POWER
Yulian Letov
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tu es validé !
bienvenue !

Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie !

La famine, ce choix parfait et cette histoire! Que dire plus! Give me it all - Agnes 2919754727 Give me it all - Agnes 1431047942

Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille !

Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis !
  Ven 11 Oct - 18:53
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