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 Mamie Romanov in the air!


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Isabeau Médicis
RULE THE MONSTERS WORLD
Isabeau Médicis
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Isabeau Helmina Médicis
Juno Temple


1. mon nom dans les airs.
Isabeau, l'origine d'une mère qu'elle n'a pas connue. Sonorité française, qu'elle cajole sans pouvoir l'abandonner. Prénom qui devient la blessure de l'absence. Helmina, susurrer par sa tante paternelle, pour lui rappeler qu'elle n'est pas qu'une fleur fragile de la France, mais bien rude comme son véritable peuple, dure comme l'Allemagne qui coule aussi en son sang, à cette époque Nazis qui l'a vu naître. Médicis, héritage qu'elle reconquiert après sa mort. Nom de famille maternelle et chéris pour son lien lointain avec une certaine reine. Romanov, à jamais barré de son histoire présente, envahissant l'histoire de son passé. Nom offert au mariage, alors qu'elle souffre d'être la femme de feu le Tsar.

2. mes cris sur la terre.
Enfant de deux patries, Française par sa mère et Allemande par son père. Ni l'un, ni l'autre ne lui parlant réellement. Isabeau est née en Allemagne, en l'an 1935, au cœur d'un pays qui change et durci. Fille d'un mariage éclair. Enfant difforme, d'une laideur évidente, qui a marqué les esprits, fait fuir la chance et sa mère. Orpheline à sept ans, elle part rejoindre une cousine de son père à Moscou et y passe sa vie. Nationalité russe en troisième bagage sous sa peau. 84 ans, qu'elle foule cette terre.

3. mes tourments ventriculaires.
Laide, écœurante, répugnante, monstre de foire, ce n'est que certains des mots qui ont percuter ses tympans. Elle vieillie sans le regard des hommes, si ce n'est pour l'étonnement et le dégoût. Ne connait rien à la chair, ni ces plaisirs, si ce n'est ceux en solitaire. On l'éduque pour compenser, la rend instruite, intelligente et talentueuse pour lui offrir une chance, sans cesser de lui rappeler qu'elle est repoussante. Elle est âgée pour obtenir une attention, la trentaine pointant déjà le bout de son nez. Chanteuse d'Opéras renommé, nom qu'on ne peut oublier, elle ne se dévoile jamais. Masquer en tout temps, tissu pour camoufler les tâches, les marques sur sa peau. Son lien avec la noblesse française, sa richesse attire l'œil du Tsar de l'époque, son talent tout autant. Il lui demande sa main, malgré le visage qu'elle lui dévoile. Mariage d'affaire, sans amour et dont la passion est absente. Il ne lui fait honneur que pour l'engrosser. Elle est prisonnière de cette vie, de son rôle politique. Humilier à chaque journée passée dans son rôle. Il ne l'aime pas, se saoul pour l'approcher. Ne partage pas sa chambre. Puis meurt. 44 ans de ce régime. Viens sa propre mort, sa renaissance, sa nouvelle... Elle. Isabeau est devenue tout autre, nouvelle chance de traquer ce qu'elle n'a jamais eu, son droit de vengeance inscrit dans ses veines. Une Vilas et toujours une Reine.
Rare sont les femmes qui attisent ses passions, quoi qu'elles ne sont pas inexistantes.

4. mes espoirs éphémères.
Chanteuse d'opéra renommé, nom qui a marqué l'histoire du spectacle dans les années 50-60, ainsi que danseuse de ballet professionnelle, qu'on refuse de faire monter sur la scène. Son corps n'étant pas assez standard pour le milieu. Elle devient ensuite une figure politique souvent ridiculisé, femme de feu le Tsar. Matriarche des Romanov. Un rôle vide de sens, si ce n'est pour faire rire la plèbe. En 2009, elle abandonne sa vie. Meurt avec le sourire. Pour se réveiller, une nouvelle couronne sur la tête. Reine des reines, Émissaire des Vilas. C'est en 2012 qu'elle trouve sa véritable voie, après avoir fuit la Russie. Rejoignant le palais des splendeurs en tant que danseuse et acrobate aérienne.

Depuis un an, Isabeau c'est acharné pour créer son propre réseau de contact. Désormais, elle est devenue le Passeur de Moscou. Celle qui peut permettre d'entrer ou de sortir de la ville sans être vue et gère les clandestins du coin.

5. mon cocon mortifère.
Rieuse - Physique - Sensible - Artiste - Éduqué - Vindicative - Décomplexé - Préjugés contre la beauté, la normalité et la noblesse - Langue acérée - Sans gêne - Exhibitionniste - Généreuse qui choisi sa cause - Fougueuse - Frondeuse - Obsessionnelle - Possessive - Envieuse -  Langoureuse - Charmeuse - Collectionneuse.


6. la gangrène sanguinaire.
Inoubliable au corps de rêve, beauté incarnée sous forme humaine. Femme de balade chevaleresque, femme de légende menant à la guerre. Beauté personnifiée, séduction au bout de la langue. Nature envoûtante qui change la laideur en source de rêve lubrique et provoque nombre de fantasme cru, à la limite du cochon. C'est l'image normalement associé aux créatures de son espèce. Les Vilas. On oublie de parler des rivières et de la nature, petite nymphe slave. On ne voit qu'un objet de désir et de vanité, alors qu'il y a tellement plus derrière cette façade. Créature vengeresse, obsessionnelle, souvent sous considérer. Isabeau vénère cette seconde peau qu'on lui offre, apprécie la jalousie qui coule dans les veines des autres. Raffole des prises de becs et tentatives de meurtre qui découlent de chacune de ses rencontres avec les siennes. Être Vilas a tant à offrir, même si le mépris est au bout des lèvres des envieux.

7. l'existence secondaire.
Soixante-Quatorze ans, qu'elle foule la terre, monstre hideux. Souvent dénigré, source de blague pour la populace. L'homme la rejette, la femme la méprise. Seule sa richesse, son éducation, lui a offert cette place auprès de feu le Tsar, son époux. Son agonie n'en finit plus, elle ne voit que la laideur des gens, derrière son visage si repoussant. Ses articulations la ralentissent et son cœur se brise, lorsqu'une bambine de son propre sang, son arrière-petite-fille, éclate en sanglot en l'apercevant. La peur au ventre, réclamant sa mère. Ni une première, ni même une seconde fois. Elle ravale l'acide qui lui brûle l'intérieur, s'avance jusqu'au grand miroir de sa chambre solitaire. Un bruit d'éclats et quelques coupures au bout des doigts, Isabeau se penche sans trembler. Termine son chemin à genoux au cœur des débris, attrape un morceau de verre entre ses doigts, sans trembler. La décision prise, elle lacère sa peau pleurant une douleur qu'elle ressent depuis l'enfance. Le sang s'écoule des plaies, ses cuisses ne sont plus qu'une masse de chaire sanglante, ses seins tout autant. Elle ne crie pas, seul des gémissements d'animal blessé lui échappent. Elle termine par le visage déjà défiguré. Le change à jamais. Arrachant sa peau à coup d'entaille. L'aube se lève sur sa fin. C'est au bout de son sang et dans la douleur qu'elle rend son dernier souffle. Suicide bestiale, qu'on cache pour la réputation des Romanov. L'enterrement est rapide, expédié. Pour cacher la vérité. Dans la ville, on raconte que la bête est enfin morte, que Quasimodo est finalement tombé de sa tour. S'ils savaient. Depuis sa tombe, elle gratte, hurle, cogne. Blesse de nouveau ses mains, avant de réussir à retrouver l'air.

À jamais changé, le monstre de foire faisant place à une reine, l'Émissaire des Vilas. Après le saccage de sa tombe, Isabeau a laissé les gens déblatérer sur le sort de son cadavre. Errant et découvrant ce qui lui était nouveau. Traumatisé, revivifié. Nouveau-né, prête au changement. Au précipice de son esprit et de sa haine, Isabeau n'est pas revenu entièrement dans sa tête. N'oubliant jamais l'ombre de l'autre, la Romanov, la bête du château. Dix ans, qu'elle est morte. Dix ans, qu'elle vit pour la première fois.

8. le monde délétère.
Compulsion de l'instinct, sa chair douce entre ses cuisses découvrant l'extase des sens en émois. Elle goûte cette nouvelle vie, l'aspire jusqu'à la moelle. Profiteuse, qui a attendu plus de sept décennies pour s'y rendre. Malgré, le traumatisme, malgré les changements. L'équilibre précaire de sa situation, ne l'empêche pas d'y trouver satisfaction. Loin des quartiers de la ville, c'est au cirque qu'elle s'installe. La préoccupation légale de sa nature, loin de ses idées. Les perquisitions lui glissant sur la peau, d'un battement de cils, ils lui tournent le dos. Ni marqué, ni déclaré. Libre de sa présence dans la ville. Isabeau n'est pas femme à se montrer hautaine envers les mortels, ni à ne pas savourer le regard des autres. Qu'ils soient cruels ou non. La vengeance coule déjà dans ses veines, rien ne pourrait y changer. Sa couronne d'Émissaire bien en place, elle camoufle ses failles, ses entrailles rongé par des souvenirs qu'elle veut oublier.

9. les ombres-mères.

PHASE NUMERO 2 - Colère qui gronde, qui hurle, qui assombrie l'esprit. Pousse à l'audace et le refus, l'incompréhension même, de cette seconde vie. Danger provoquer pour le besoin, pour la vie qui circule avec l'adrénaline.

DON UNIQUE - Beauté Chapardé : Voleuse sans scrupule, trop longtemps repoussante, elle aspire, ronge, s'approprie la beauté des autres. Disparu lèvres pulpeuses et peau parfaite. Le tout s'échappant de sa proie, pour venir s'ajouter à sa collection. Isabeau n'en semble que plus spectaculaire, plus jeune. Sa victime héritant de sa propre laideur passée, pour quelques heures, quelques jours et si elle se montre gourmande, des années durant. Vilas et sangsue de la beauté. Chapardeuse de ce qui est offert aux autres, à la naissance. Elle ignore encore, si son don joue sur sa longévité. Ne se pose même pas la question. En contrepartie, la voilà droguée cherchant sa dose. Perdant le contrôle de ce qu'elle vole, ses victimes plus nombreuses, plus longtemps atteinte. Un grain de folie derrière ses yeux, une pente savonneuse sous ses pieds.



pseudonyme : Lys. âge : 26 ans. pays : Québec. comment as-tu connu le forum ? *rire*. des questions, des suggestions ? *s'étale de tout son long* crédits : lux aeterna & vulpecula.

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mes épopées


1935 à 1942 - Allemagne Nazie, enfance malmené. La langue d'un père pour constant rappel de sa laideur. Il s'efforce de lui ouvrir les yeux sur la vie. Sa manière pitoyable d'aimer et de blessé. Si l'éducation est à la hauteur de la richesse familiale et de la noblesse de cette mère absente, tout se teint d'ignominie. Elle se doit d'être l'excellence, puisque personne ne la choisira jamais. Déjà les insultes et les rumeurs lui collent à la peau et son esprit grandi, flétrit sous le poids de la malédiction de son corps. Quasimodo faite femme, monstre des comptes qui font peur. Croquemitaine de son quartier. Aucun enfant pour lui offrir son amitié. Sept années dans ces eaux trouble, seule douceur offerte par une tante plus chaleureuse. Quoi qu'Allemande... À l'époque noire de ce pays. C'est au son du familier ''Heil, Hitler'' qu'on lui arrache père et tante. Docteur, infirmière, ils n'ont d'autre choix que de partir pour la guerre. Elle est laissée en pension... Avant de devenir l'unique héritière de leur fortune. Helmina se voit ajouter le titre "orpheline" à son drame et incapable de retrouver la trace de la mère qui l'a abandonné pour sa laideur, ses bagages en main, elle est envoyée à Moscou. Une cousine de son père acceptant de prendre le laideron à sa charge.

1943 à 1953 - La langue est facilement assimilée, l'univers tordu derrière les murs, tout autant. On la garde discrètement dans le manoir de la famille. Ils sont connus, important. Encore de la noblesse pour voir son physique comme une tare irréparable. Isabeau n'est pas dépourvu d'amour pour autant. Elle aime sa mère adoptive et se fait un plaisir d'apprendre à se tenir parfaitement. L'art la sauve, la danse et le chant comme salut de l'âme. Elle se découvre de l'excellence et le talent coule de ses performances. Privés, coincé sous le toit de la demeure qui se change en prison. L'adolescence l'éveille, les murs l'empêchent de goûter la vie. Elle hante les couloirs et observe depuis la fenêtre. On veut lui épargner les langues sales. C'est une proie qu'elle devient pour l'un de ses professeurs. Profitant de sa jeunesse, du silence qui l'entoure pour lui apprendre quelques ''plaisirs'' de la vie. L'incite à découvrir son propre corps. Beaucoup trop âgé pour elle, Isabeau se laisser piéger, se perdant dans l'attention qu'on lui donne. Ses quinze ans à peine naissant, elle perd sa virginité à son bourreau. Mi-consentante, mi-terrorisé. Elle n'est pas prête, l'avantage allant au camp adverse. La chance lui sourit tout de même, puisqu'il meurt quelques semaines plus tard. Obligeant sa famille à chercher un remplaçant.

Elle fête ses dix-huit ans, en abandonnant son nid pour cogner à la porte de l'Opéra Korsov. On accueille son talent avec plaisir, camouflant sa laideur sous les masques et les tenues somptueuses.

1954 à 1963 - Sa renommé dépasse ses attentes, son nom est cité parmi les grands de Russie. On s'arrache les billets de ses spectacles, bien qu'on lui ait refusé une carrière en ballet. Sa laideur comme limite. Isabeau est connu, fière et surtout, une voix sans visage. Quelque chose pleure et se brise à l'intérieur de son cœur. Solitaire non désiré, rejeté par tous à la minute qu'ils constatent le visage qui est le sien. Sa jeunesse n'est vécue que sur les planches, incapable de faire front pour affronter le regard véritable du monde sur elle. Les paroles de son père, en litanie répétitive dans ses oreilles. Dix ans qu'elle règne sur le chant de Russie, avant qu'une offre tombe du ciel. Une alliance, un mariage. Elle s'étonne de cette proposition. Le tsar comme dernière personne qui aurait pu la regarder. Elle comprend rapidement que l'argent et ses liens de sang sont la seule raison de ce choix. Isabeau hésite, mais écoute le père décédé. Qui la voudra autrement? Elle devient Romanova. Le piège se refermant de nouveau sur elle.

1964 à 2007 - Quarante-quatre années de mariage. Autant d'années d'une souffrance qui la brûle à chaque seconde. Elle est abandonnée à son rôle de matriarche. Devenant l'objet qui porte les héritiers du trône et la femme qu'on ridiculise tous les jours dans les rues de Moscou. De grande dame de la chanson, elle est rabaissée au rôle de la blague royale. On la vide de sa carrière, se servant de son intelligence et de son argent pour faire proliférer la ville. Sans prendre soin d'elle. Isabeau est uniquement honoré de la visite de son époux, une dizaine de fois la nuit. Le temps qu'elle conçoit les enfants et qu'il se trouve une maîtresse pour ses années de sexe qui suivront. Même ses enfants apprennent à la prendre de haut. Elle est la parure souillé du palais. Son cœur généreux pour les gueux, lui gagne un certain respect du personnel et des miséreux qu'elle aide. Sa dame de compagnie, sa seule confidente, lui présente son fils Abel. L'adolescent qui deviendra la blessure la plus vive de sa vie. Elle fond pour ce dernier et son aile l'enveloppe complètement. Elle paye pour ses études, le regarde grandir avec affection et découvre un intellect, une sensibilité pour l'art qui parle à la sienne. Triste manipulation. Peu après la mort de son époux, c'est Abel qui l'a trahi. Lui révélant accidentellement ses véritables pensées, son opinion tranchant sur ce qu'une femme est et ce qu'Isabeau n'est point. Une limite se brise pour la femme.

2007 à 2009 - Elle s'acharne à continuer de respirer, son regard éteint. Seule sa tendre Anastasiya pour lui tenir compagnie. Isabeau est au bord du gouffre. Jusqu'à ce que sa dépression se change en fureur. La vieillesse ayant eu le temps de faire mûrir sa haine, sa rancœur. Elle choisie de vivre, même si pour cela, la Romanov prend le chemin de la mort.

2010 à 2017 - Jeunesse retrouvé, beauté éhontément volé. Isabeau se découvre. Émissaire Vilas, ses rivales se jettent dans ses pattes. Une seule pour subir son courroux et elle gagne la peur de ses semblables. Elle n'en quitte pas moins Moscou, se délivre du poids de la Russie. S'appropriant sa nouvelle vie et devenant Médicis. Deux années d'errance pour atterrir à sa première véritable maison. Le palais des splendeurs lui ouvrant ses portes. Acrobate et danseuse aérienne, son spectacle éblouis autant que ce corps dont la mort lui a fait présent. Pour la première fois en soixante-seize ans, Isabeau se sent complète.

2018 à 2019 - Le cirque la ramène en Russie, puis dans cette ville qu'elle maudit. Moscou et ses murs l'étouffant instantanément. Elle s'adapte, toutefois, s'assure de reprendre le contrôle de ses filles. Les Vilas qui ne veulent pas reconnaître sa dominance. Elle se montre discrète, entièrement illégale. Ni tatouage, ni puce électronique pour la marquer. Un seul sourire en coin pour échapper aux perquisitions. Ses talents de Vilas utiliser sans gêne. Isabeau attend dans l'ombre, manigance auprès d'une amie imprévue, Orphédia Bellavance. Elle veille sur ceux de son sang, alors qu'ils l'ont tous enterré. Culte et Intolérante dans son angle de vision, aucune appartenance à l'un ou à l'autre. Attendant de savoir lesquels, elle devra éliminer pour protéger sa petite fille, Anastasiya.

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bienvenue !

Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie !

Après autant d'attente, j'ai enfin le plaisir de m'auto validé. Mamie Romanov in the air! 1095273054

Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille !

Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis !
  Ven 13 Sep - 16:45
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euh... Bonjour grand-mère ..? OvO
  Ven 13 Sep - 18:32
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Isabeau Médicis
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Isabeau Médicis
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*bisoute tout le monde* Mamie Romanov in the air! 3757490059 Mamie Romanov in the air! 4207410330
Merci!

Ma petite fille! *sort sa voix de vieille* Mamie Romanov in the air! 1276604978
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Wouw les mamies ça a changé ! Rebienvenue, t'es bien belle !
  Ven 13 Sep - 20:04
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