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 We hope that you choke, that you choke


BOYS AND GIRLS OF EVERY AGE, WOULDN'T YOU LIKE TO SEE SOMETHING STRANGE ?

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Katinka Sofia Derjavina
Evanna Lynch


1. mon nom dans les airs.
Katinka, comme Catherine, Impératrice,  la première, de si faible naissance, de si basse extraction, montée si haut. Comme l'espérance d'un avenir meilleur, d'un possible et merveilleux avenir. Katinka comme Catherine, la deuxième, au règne flamboyant, qui fit rayonner la Russie, à cette époque où elle était Grande. Sofia, comme l'autre, la régente, celle qui mena un coup d'état pour sauver l'Empire. Il a des rêves de grandeur, le père, une voix qui porte plus que celle de la mère, et la nostalgie vissée au corps, maladive. Avant. Avant, avant les surnaturels, quand les humains régnaient, dominaient, quand la Russie était belle, forte et grande. Un lourd héritage, sous le poids duquel les épaules de Katinka ploie. A moins qu'il ne suffise du fardeau des cris et des gifles du père… A moins qu'il ne suffise de ça.

2. mes cris sur la terre.
Du haut de ses 26 ans, elle  serre les dents, Katinka, plante ses crocs dans la réalité, pour ne pas la laisser fuir, s'évader. Elle plante ses crocs dans son boulot, serre les dents, s'accroche. Elle ne connait que Moscou, et si mal… C'est ça, naitre à Moscou, y grandir. Aussi loin que possible de tout élément surnaturel. Cela rétrécit l'univers. A entendre son père, tous ses ancêtres sont nés là, et y sont morts, et pourquoi ne s'en contenterait-elle pas? Est-elle meilleure qu'eux? Sa mère, elle avait vu un peu de pays, avant d'épouser cet épouvantail-là, et lui racontait parfois la campagne, l'immensité. A l'entendre, elle avait eu deux grandes douleurs, sa mère: se cloîtrer entre quelques murs, et lui donner la vie. Douleur morale, douleur physique. Toutes deux causées par le Père.

3. mes tourments ventriculaires.
Célibataire, elle s'est brûlé la pulpe des doigts, la fleur de peau, les lisières du cœur, elle a connu l'incendie, celui qui calcine, Katinka. Elle a faillit y laisser la vie, à trop aimer sa Nadiya, à la suivre, à désirer si fort la suivre, où qu'elle aille... Elle en garde des blessures, une santé fragile, un corps vite épuisé, et la honte que le Père a réussi à lui imposer. Un homme. Elle préférerait un homme. Ce serait plus normal. Ce serait plus simple. Ce serait plus sûr, un homme, plus rass… Ou non. OU ce serait dangereux. Autant qu'une femme.

Et elle reste célibataire.

4. mes espoirs éphémères.
Après des études inexistantes, une longue convalescence, elle a abandonné les études, Kat. Elle a aidé son père, elle n'a même pas essayé de trouver un autre job, pas même fait semblant de s'intéresser sérieusement à autre chose. L'imprimerie. Le violon d'Ingres, secret, moqué. Le dessin. Et, quelques années durant, la brûlure insupportable de la vengeance, les sillons brûlants qu'en laissait le désir au creux de son être. Venger la mort de Nadiya. Retrouver celui qui avait vendu le poison, et le supprimer… Mais le temps est passé par là, a estompé même ça.

Elle en garde des bibliothèques pleines d'ouvrages sur les plantes, la botanique, les simples et les mortelles.

C'est l'Intolérante qui finit parla bousculer, l'éjecter de son poste servile, auprès d'un père violent. C'est le hasard qui met Esfir sur son chemin. Ce sont ses pas léger qui la suivent, trouvent son salon, y entrent. Un tatouages. Tant de curiosité, de questions, de méfiance. Quelques dessins.

Apprentie… Apprentie, pour un jour, graver sur la peau des Hommes et des Autres mille dessin, y imprimer sa marque, les faire sien.

Et les informations, celles qui s'échangent, sous le manteau, contre billets ou petites merveilles, bagatelles, escarbilles qu'elle désire et collectionne. Les informations, et l'espionnage tranquille. Les bribes d'informations, chez le père, entre deux repas, deux coups de balai. La vengeance sui se tourne contre lui et son univers si étriqué qu'elle y étouffe.

5. mon cocon mortifère.
Esseulée plus que solitaire - pragmatique - adore le dessin - revancharde et rancunière - vite effrayée - plie l'échine mais ne rompt pas - pleine de préjugés - violence souterraine, douceur en surface - humour plein de trop d'autodérision, à vous mettre mal à l'aise - fataliste - serviable - s'émerveille d'un rien - dort peu - patiente - modeste - introvertie - distante - curieuse - appliquée - méfiante - anxieuse - envieuse .


8. le monde délétère.
Elle a grandi dans un univers intolérant, Katinka, où tous les maux de la terre étaient causé parles Autres, la foule des êtres surnaturels. Sa mère a a peine tempéré l'acidité de cet univers là de quelques histoires et d'un peu de douceur, avant de disparaitre. C'est son premier amour qui l'a un peu obligée à réfléchir, à se poser des questions. Nadiya avait soif d'échapper à sa condition d'Humaine, se voulait dotée de talents surnaturels, et la voulait, elle aussi, changée, à ses côtés. Elles en ont tant et tant parlé. Par cette brèche, par cette mort, quelques vagues de doute se sont infiltrées, sont venus ronger le calcaire des falaises de son éducation. Ce sont ensuite les vagues de haine qui ont continué à creuser des grottes, des failles, des cavernes.

Au fil des rencontres, les falaises s'abiment, s 'effritent. Elle est de plus en plus curieuse, avide de découvrir tous ces univers qui lui étaient cachés. Fascinée, même. Restent bien des préjugés, des incompréhensions et des craintes. Mais les quelques surnaturels qu'elle fréquentent régulièrement ne lui ont encore causé aucun mal, et elle déteste son père bien plus qu'elle ne les craint, eux...



pseudonyme : Alou. âge : trop vieille  We hope that you choke, that you choke 1276604978 . pays : Belgique comment as-tu connu le forum ? Artiom m'attirée. des questions, des suggestions ? Pas encore. crédits : obligatoires, Avatars: Lyelle, pbf - titre fiche: Radiohead

  Lun 19 Aoû - 2:32
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my story begins
mes épopées



Tu ne convoiteras rien qui soit à ton prochain
Dt 5:21


Il hurle. Il est entré dans une rage noire comme on rentre dans une pâtisserie: avec précipitation, gloutonnerie et déilces. Je le soupçonne d'adorer la fureur et la violence, je le soupçonne de s'y abandonner avec joie, de ne jamais se retenir. Jamais dans le secret de notre foyer. Le sais-tu, toi, Mère? Le sais-tu? L'as-tu connu autre? Avant, au temps du mariage et de la lune de miel? Ou n'était-ce déjà que mensonge, reproches et fiel? N'as-tu jamais connu que cela, avec lui?

Est-ce pour ça que tu es partie?
Pour gouter au miel, à la meringue?
À la chantilly, au sucre et à la légèreté?
Les as-tu trouvées, les douceurs de la vie?
Ou mon souvenir est-il un poison?
Suis-je au moins un arrière-goût amer?
Ou t'en es-tu lavée la bouche et les mains?
De moi, de mon père, de nous?

C'est pas que je t'en veuille, ou si peu, à peine, juste assez pour avoir l'acide aux lèvres. Je comprends tes envies de fuite, tes besoins de liberté, cette nécessité. Tu étais restée dix-sept ans, déjà.

Si tu le voyais. Il est si laid. Je n'ai pas besoin de le regarder pour savoir. Je ne le verrais pas, à travers mes larmes, et ma joue brûlante. Il hurle. Il a pris du ventre, et du nez, ce nez si rouge, couperosé. Perdu des cheveux. Le bleu de mes yeux peut-il s'assombrir, s'enflammer comme l'azur glacé des siens?

Il me faudrait oser la colère, pour savoir.
La colère, la rage, la fureur, et un miroir.
Je n'oserai, ne saurai jamais.
Et qui me le dirait?

Pas toi, mère, puisque tu t'es envolée.
Echappée, évadée, libérée.

Sans t'embarrasser de mon poids.

Jouis de la vie avec la femme que tu aimes,
pendant tous les jours de ta vie futile
Eccl 9:9



« Tu le hais, non? »

Je sens encore ton souffle, Nadiya, dans ma nuque, et le sourire de tes lèvres à la racine de mes cheveux. Je sens encore la chaleur de tes bras autour de moi, et la nudité tiède de mon dos contre toi. J'entends encore ta voix, sa caresse, et son impatience amusée. Imagine, après cinq ans... Je sens encore le coton des draps, et le poids des couvertures sur nos corps. C'était l'hiver; ton corps ne suffisait pas à me réchauffer, ni nos économies de chauffage. Te rappelles-tu le givre aux vitres de ma chambre?

« Pourquoi t'hésites, alors? »

Je me rappelle la morsure rieuse de tes dents, dans ma nuque, et le bonheur absurde à être là, au creux de tes bras. Mon souffle suspendu à tes lèvres, et mes hésitations qui fondaient comme neige au soleil. Ne le détestais-je pas, ce père de pierre, de métal et de glace, tout en dorures pour tromper le monde extérieur, et qui n'avait pour sa famille que grès et basalte? Dedans c'était l'Arctique, dehors c'était le sourire et la gouaille du bon commerçant.

Et ne t'aimais-je pas, toi, plus que tout?

« Il est affreux, avec toi. Ta mère a foutu le camp, pourquoi tu restes? »

Je sais plus pourquoi je restais. Par habitude, par faiblesse, par impuissance, peut-être. Parce que je n'avais pas ta force, ou que j'avais grandi dans la cage de cet amour-là. De cette famille-là. ¨Parce que, jusque là, je n'avais connu ni ta force ni tes bras. Je me revois te répondre. Je me souviens. Pas des mots. Mais de t'avoir parlé... Je me souviens: je pouvais tout te dire, même les choses les plus idiotes. Même ce que tu ne comprenais pas, tu l'écoutais.

Je t'idéalise peut-être, mon ange.
J'étais folle, aveugle, sourde et amoureuse.
Tu n'étais sans doute pas parfaite.

« Je l'ai eu à un super bon prix... Assez pour deux. Allez... »

Après tout, c'était il y a déjà cinq ans...

Même l'odeur de ta sueur me poursuit. Même elle me manque.

« Alleeeez...

Et je me souviens de tes doigts, qui m'ont soudain chatouillée, et d'avoir ri, ri à en étouffer, ri à en pleurer.


Il y a un temps pour aimer et un temps pour détester,
un temps pour la guerre et un temps pour la paix.
Eccl 3:8



Je sens encore l'odeur du vomi, le tien, le mien, de la mauvaise sueur, la nôtre: le parfum de ta mort. Je me souviens de ton corps glacé, empoisonné, et moi qui me sentais mourir, moi qui m'étais pourtant réveillée.

Je me souviens avoir pleuré.
Toutes les larmes de mon corps, et celles qui n'y étaient pas encore.
Je me souviens avoir chialé, chialé à en crever, sans en crever.
Je me souviens avoir hurlé.

Le reste, je ne m'en souviens plus.
Ni les semaines à me trainer, faible, malade, zombie.
Le reste s'est imprimé en moi.
Une santé fragile, et les refrains de mon père.

Tu me manques, comme l'oxygène manque au noyé.
Tantd'oxygène dans l'eau, pourtant…

Tu t'effaces.
Tu t'effaces déjà.
Au réveil j'oublie tes traits.

Tout est pur pour ceux qui sont purs,
mais rien n'est pur pour ceux qui sont souillés et incrédules,
leur intelligence et leur conscience sont souillées.
Tt 1, 15


Je sais. Je le sais, ne me le répète pas. Je connais le refrain, la chanson, Père. Dessiner ne sert à rien, qu'à me remplir le cerveau de rêves idiots. Comme lire. La vie, ce n'est pas dessiner, c'est se salir, travailler, porter, suer, hurler, compter le moindre sou et se battre pour exister. Je sais…

Etsi je faisais plus d'efforts, j'irais mieux, je ne serais pas essoufflée après avoir porté une seule caisse de feuilles. A mon âge, tu en portais cent, sans broncher. Tu as raison, c'est de mère que me vient ma faiblesse, ce sang pourri, qui m'a menée dans les bras de cette fille qui m'a empoisonnée. C'est ma mère qui a tous les torts. Ce n'est qu'une femme. Un homme me remettrait dans le droit chemin, me rendrait force et santé. Tu as raison. Tais-toi, maintenant…

Je préfère t'entendre déblatérer sur les créatures, la foule des non-humains, qui nous prennent nos jobs, nos enfants, notre pain. Je préfère que ta haine se concentre sur eux, que tu m'oublies un peu. Que je respire un peu.

Ta gueule.

Mais je me tais, tu vois.
Je t'écoute, je ne relève pas.
Je t'écoute, je ne proteste pas.
J'oublie comment me raconter.
Lentement, surement.

Les frontières de ce que je suis se diluent sous les averses de tes mots.

Alors… Ta gueule, papa.
Il faudra bien, un jour, que tu la fermes…
Je prie pour ce jour-là.

Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n'ai pas la charité,
je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit.
Co 13, 1

Au milieu de l'or et de l'écarlate, je les dévore des yeux. Serais-tu aussi fascinée que je le suis, Nadiya? Ces dons dont tu rêvais, ceux que tu espérais, ressemblaient-ils à ceux-là? Ce dont tu parlais n'avait pas cette magie, semblait absurde, plus que merveilleux, et moi… Moi j'étais prête à en gagner, mais juste pour toi, peu importait à quoi ils ressembleraient.

Tu les aurais adorés, tu aurais passé des heures à les admirer, à les regarder, toi qui rêvais tant de leur ressembler. Et pour la première fois, je crois, je te comprends. Pour la première fois, je les envie presque. Ce mélange étrange de révulsion et d'attirance que je sens fourmiller sous ma peau, frissonner sous la pulpe de mes doigts que je serre sur mes genoux.

Ils se montrent en spectacle, pourtant, ils s'affichent.
Ils n'ont même pas honte?
Et moi je bois leur magie, leurs gestes, leurs mots.
Avec  ce mélange d'émerveillement et de dégout qui me tord le ventre et la gorge.
On dirait presque des miracles, leurs dons.
On dirait presque des contes.

Je reviens chaque jour. Je creuse dans mes maigres économies.
Tu ne serais pas surprise de le savoir pingre, n'est-ce pas?, ce géniteur qui m'étouffe?
Je bosse pour lui, je suis nourrie, blanchie, logée. C'est déjà beaucoup.
C'est ce qu'il dit…

Et puis un soir, c'est elle que je vois. Elle, la flamme de ses cheveux, et l'encre sous sa peau, la beauté des lignes, des ombres, des pleins, des déliés. Les plumes. Et c'est elle que je dévore des yeux. Les tatouages et l'étrangeté.

Car ils ont semé le vent, et ils moissonneront le tourbillon.
Il n'a pas une tige de blé; elle germerait, qu'elle ne produirait pas de farine;
et en produisit-elle, des étrangers la dévoreraient.
Os, 8.7

Il paiera.
Il paiera sa haine.
Il paiera sa mesquinerie, sa violence.
Il regrettera.
Il pleurera des larmes de sang.

Je lui souris toujours, pourtant.
Chaque soir, en rentrant, en cuisinant son repas.
Mais il paiera.

L'Intolérante a voulu un agent auprès de lui, qui m'a remplacée, libérée. A l'agent les joies de l'imprimerie et du père alcoolisé, à moi de trouver un autre emploi, un métier. A moi la liberté.

Et me voici. Apprentie.
Un tatouage qu'elle m'a fait, caché au creux des reins, là où Lui ne le verra jamais.
A tenter de m'habituer à elle. A eux tous.
Entre fascination et peur.

Et me voici, qui accepté contre paiement de révéler ses secrets.
Qui me régale à espionner, à capter les lambeaux de conversation, à dérober quelques documents imprimés, qui s'échangent sous le manteau, et que moi je revends.

Pourvu que cela suffise à le faire payer.
  Lun 19 Aoû - 2:34
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Oda Tolma
MONSTER UNDER YOUR BED
Oda Tolma
Impétuosité : 128
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LUNA
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cette trogne de feu
BLBLBLBLBL
  Lun 19 Aoû - 8:08
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Esfir Lolkova
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Esfir Lolkova
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Evanna Lynch est un choix tellement parfait! We hope that you choke, that you choke 1854227859 We hope that you choke, that you choke 1276604978 We hope that you choke, that you choke 985036731 We hope that you choke, that you choke 3143307113

Bienvenue par ici! Hâte d'en découvrir plus sur cette humaine! We hope that you choke, that you choke 960012781
  Lun 19 Aoû - 14:10
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Yulian Letov
MY MIND IS POWER
Yulian Letov
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Oh non cette tête je meurs, elle est si douce je veux la caliner.

J'ai vraiment hâte d'en lire plus! We hope that you choke, that you choke 488847182
  Lun 19 Aoû - 15:11
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OH, moi qui n'étais pas certaine de mon choix, vos réactions me convainquent We hope that you choke, that you choke 1191760433 Merci à vous trois!
  Lun 19 Aoû - 17:01
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Malphas Meister
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Malphas Meister
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Bienvenue par ici !
  Lun 19 Aoû - 19:46
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Maksim Milosevic
RULE THE MONSTERS WORLD
Maksim Milosevic
Impétuosité : 209
https://thecult.forumactif.com/t163-le-crane-defonce-mak https://thecult.forumactif.com/t152-la-femme-folle-mak
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Allez, je passe enfin te dire bienvenue par ici, et comme je te l'ai déjà dit, je suis fan de l'avatar que tu as choisi (si rare sur les forums maintenant ! We hope that you choke, that you choke 488847182 ), et des choix que tu fais ! We hope that you choke, that you choke 488847182 J'ai fort hâte d'en lire encore davantage We hope that you choke, that you choke 4163681271
  Mer 21 Aoû - 9:03
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Merci à vous deux *_*
J'avance lentement mais surement!
  Mar 27 Aoû - 3:07
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Niilo Dahl
MONSTER UNDER YOUR BED
Niilo Dahl
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https://thecult.forumactif.com/t461-beauty-always-comes-with-dark-thoughts-niilo https://thecult.forumactif.com/t440-a-virtue-to-vice-niilo
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AAAAAAAAAAH CET AVATAR.
LSJZBZJDBEJEJ

BIENVENUE ! J'ai hâte d'en savoir plus !
  Mar 27 Aoû - 8:19
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Merci Niilo Very Happy

Je suis curieuse de te lire avec Alyo (et de rire, normalement) We hope that you choke, that you choke 4207410330
  Dim 1 Sep - 0:22
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Esfir Lolkova
YOU WILL HEAR MY LEGEND
Esfir Lolkova
Impétuosité : 946
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tu es validé !
bienvenue !

Félicitations ! Tu viens d'être officiellement validé, voilà qui nous mets en joie !

Le personnage est attachant! J'adore ce que tu as fait d'elle! J'ai eu de la peine pour Katinka! Et cette plume! Que de merveille!  We hope that you choke, that you choke 290853227

Maintenant que tu as obtenu ta charmante couleur, te voilà fin prêt pour entrer dans l'aventure ! Avant toute chose, n'oublie pas d'aller te recenser dans ce sujet. Tu peux ensuite vagabonder sur le forum à ta guise, en commençant par la création d'une fiche de liens. Si tu recherches un personnage particulier, tu peux te rendre du côté des scénarii, ou même aller créer ton propre arbre généalogique pour trouver toute ta petite famille !

Tu peux désormais entamer ton voyage ! Si tu as la moindre question, n'hésite pas à contacter le staff directement. Nous te souhaitons un jeu mémorable au sein de Cult of Hel, et nous te remercions encore pour nous avoir choisis !
  Dim 1 Sep - 0:36
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Oh lala le soulagement We hope that you choke, that you choke 488847182 We hope that you choke, that you choke 488847182 We hope that you choke, that you choke 488847182

Merci pour la valid, pour ton aide et tes réponses à mes questions, pour le compliment *_*
  Dim 1 Sep - 0:40
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